El secdleto de la tlompeta

Court-métrage

[googlevideo]http://video.google.com/videoplay?docid=1353124975477504734#[/googlevideo]

J’ai vu ce court-métrage espagnol de Javier Fesser l’année de sa sortie (1995) sur Canal+. J’en garde un incroyable souvenir. Je le retrouve aujourd’hui sur le net. Et je me réjouis de vous le faire partager, en version originale.

J’ai vu ce court-métrage espagnol l’année de sa sortie (1995) sur Canal+. J’en garde un incroyable souvenir. Je le retrouve aujourd’hui sur le net. Et je me réjouis de vous le faire partager, en version originale.

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http://video.google.com/videoplay?docid=1353124975477504734#

7 Commentaires

  1. Génial! Je ne le connaissais pas, merci! Ambiance loufoque comme il faut le tout dans une VO inégalable. Mention spéciale aux 2 mecs de la Telefónica et leur première scène sur fond de Queen 🙂

  2. hihihi es una locura de pelicula, merci pour le partage

  3. Merci beaucoup ! Excellent moment… Du délire, ou l’essence de l’art du flashback ;-).

  4. J’adore totalement décalé
    :-))

    Padre Lucas à chaque tour de pédale on se dit que l’orgasme n’est pas loin…jamais l’effort ne m’est apparu si proche de la récompense …les voix du seigneurs
    Merci pour ce bon moment

  5. Un « GRAND »..petit bijou!..que du bon!
    Délirant…

  6. Dans le genre loufoque et hilarant, il y a « Essai d’ouverture » du Luc Moullet (1988, 14 mn).
    Luc Moullet se met lui-même en scène c’est le barbu à la voix inimitable.

    J’avais un à priori sur Moullet, je pensais que c’était « à peu près nul, et chiant ». Jusqu’à ce que je découvre ce court métrage. Là j’ai tilté. Luc Moullet c’était donc cet acteur incroyable (un barbu assez âgé), à la prestation hilarante bien que totalement pince sans rire, déprimée même (incarnation parfaite du personnage), bref cet acteur qui a deux scènes d’anthologie dans « J’ai horreur de l’amour » de Laurence Ferreira-Barbosa (1997) (film qui rétrospectivement paraît entièrement habité et inspiré par cet « humour moullésien », il me semble que l’on ne retrouve pas ça dans les autres films de Ferreira-Barbosa). Dans sa première scène dans « J’ai horreur… » , rien que sa façon de dire « yaour » (pour « yaourT ») c’était du génie (qui pourrait passer inaperçu).

    PS. Il vient de sortir un long métrage, à l’affiche dans 2 salles à Paris, « La Terre de la folie » (pas encore vu).
    Dans la filmographie de Moullet, il faut privilégier les courts ou longs métrages où il se met lui-même en scène (et en voix). Le reste peut paraître effectivement assez chiant (pas tout vu). Bref pour accrocher il faut d’abord accrocher à Moullet lui-même (le personnage et sa voix), avoir bien repéré le truc, et là c’est génial.

    Le « Essai d’ouverture » peut se trouver via tel ou tel logiciel de « partage », et aussi sur « youtube » (image pourrie c’est dommage)
    http://www.youtube.com/watch?v=GONWY0nKwz8
    http://www.youtube.com/watch?v=veCOIsqmC78

    Il y a aussi un DVD regroupant pas mal de couts-métrages de Moullet (je vais le commander c’est trop bien).

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6 Mar, 2010

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