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Je ne me vante pas souvent. Pas tant que ça en fait. Mais le 17 mai 2007, pour une fois, j’avais inventé un truc pas trop mal…

Je ne me vante pas souvent. Pas tant que ça en fait. Mais le 17 mai 2007, pour une fois, j’avais inventé un truc pas trop mal…

(…)

En cette période d’anniversaires (Sarkozy hier, Fillon demain), il n’est jamais inutile de se replonger dans les archives.

Dans ses archives, même.

C’était sur un blog défunt, que vous pouvez consulter, en bas à droite, dans la rubrique « ouvert la nuit ».

Et ça ressemblait à ça…

Pas mal ? Non ?

Vous voulez que je vous dise ?

Les racines, ses racines…

Il n’y a que ça de vrai !

10 Commentaires

  1. Je me souviens aussi que c’est la période, en dehors de cette invention, de la découverte du chemin tortueux qui pouvait conduire à l’ANPE (on ne disait pas encore Pôle Emploi)…;-)
    « T’inquiètes tu vas rebondir… »
    Pas à dire, cette époque pas si lointaine, c’était de la balle…
    😉

  2. Encore fallait-il avoir droit au chômage…

  3. Guy,
    Cela n’empêche pas d’être inscrit…Et les statistiques alors ?
    😉

  4. hé hé hé ! Salut Mclane, salut Guy,

    « L’expérience est un projecteur qui n’éclaire que le passé. »
    Li Fu Chan Ku

    Ce n’est pas en mangeant ses racines, qu’on devient écolo
    Tsun Tao Liu

  5. « Présiment Sarkozy » !! YES !

    « Retraites : Sarkozy mentait en 2007 »
    Regardez bien cette vidéo, jusqu’au bout pour comprendre que Sarkozy racontait des bobards sur les retraites lors de la campagne de 2007. La dernière phrase est répétée 2 fois: le financement des retraites est assuré jusqu’en 2020. Ségolène Royal le reprend, il recommence.
    http://www.intox2007.info/index.php?post/2009/07/02/Retraites-%3A-Sarkozy-mentait-en-2007

    Je croyais d’ailleurs que cette réforme n’était pas dans le programme présidentiel de 2007 !

    C’est oublié que Sarkozy avait un frère.

    « Retraites : la réforme rêvée de Nicolas et Guillaume Sarkozy »
    Chez les Sarkozy, on se partage le travail : Nicolas diminue le niveau des retraites et Guillaume propose des complémentaires aux salariés les mieux payés.
    http://www.rue89.com/2010/03/03/retraites-la-reforme-revee-de-nicolas-et-guillaume-sarkozy-141278

  6. Le mensonge n’est-il pas en nous tous, lunettes de soleil de montagnard sur nos yeux regardant (le) des astres.
    Pour les retraites, deux faits familiaux :

    Mes parents ont accueilli notre grand-père en lui résevant un lieux privé au sein de la maison familiale jusqu’à la fin de sa vie.

    Mon père, de 55 ans à 83 ans, a touché sa retraite
    Soit une vie de travail estimée de 15 ans à 55 ans, 40 ans
    Une période de retraite de 28 ans.

    J’ai l’exemple dans un cas de la solidarité familiale face à la vieillesse, avec l’inconvénient d’une dépendance générationnelle, dans l’autre cas, il faut faire confiance à la solidarité populaire avec comme aléas une bonne balance financière entre deux temps, celui du travail et celui de la retraite. Je pense qu’économiquement assumer une durée similaire de retraite à celle d’une espérance de travail pleine ne peux plus marcher.

  7. Et il ne s’est pas calmé depuis. Mais.
    Il faut quand-même finaliser la fonction Pinocchio chez nos pantins politiques. Mais en même temps, le nez s’allonge momentanément,et les jambes raccourcissent définitivement. D’ailleurs,pour ce dernier, j’ai dégoté l’enzyme chez les liseurs de prompteurs de la télé. Le premier à l’avoir essayé,est not ministre de la fonction publique.

  8. Ne me demandez pas comment j’ai atterri sur votre blog
    Je serais incapable de vous répondre (j’ai observé d’ailleurs plusieurs fois ce phénomène incongru, je tenais des comptes jusqu’à récemment, avant d’y renoncer, et hop, une incongruité de plus, vous avez idée du mécanisme)
    Toujours est-il que, ce matin, 8h11 ou 12, je tombe dessus
    A cette heure, je suis au bureau, mais j’y ai quelques libertés
    Dans l’exacte mesure de celles que s’accordent mon supérieur, qui arrive quand ça lui chante
    C’est dire que je suis tantôt un planqué, tantôt non
    Et qu’il faut s’adapter à chaque fois
    Mon supérieur ne se rend pas bien compte, d’ailleurs
    Donc ce matin (un lapin… Je le dis souvent à Ginette, ma collègue, et ça la fait rire), je vous lis
    J’ai été content de voir que vous (non plus), vous n’êtes pas un vantard
    Car, entre nous, la modestie n’étrangle pas grand monde aujourd’hui
    J’ai trouvé rafraîchissant de découvrir que j’étais arrivé chez un inventeur, j’en ai déduit (une manie pour le coup que je sais parfaitement expliquer, enfant, je rêvais de devenir trouveur, ça laisse des traces d’être contrarié tout petit) que le moment pouvait être enrichissant
    Je n’ai pas été déçu
    Tout ne tenait pas, ce matin, à mon supérieur qui n’est peut-être pas encore rentré de week-end au passage car au moment où je vous parle, il n’a toujours pas pointé le bout de son nez
    En effet, on dit que les inventeurs ne parlent jamais de leurs inventions, or, vous nous obligez à revoir nos positions, à nous poser des questions sur les inventeurs (*)
    On dit aussi que les inventeurs ne vivent que pour leurs inventions, vous faites la preuve que l’inverse existe
    Non, vous ne vivez pas sur une autre planète, vous vivez pour la planète
    Vous ne vous contentez pas de produire du nouveau (celui qui n’est pas vantard ne « se contente » pas), vous lui donnez un sens
    Ce n’est pas à vous que j’apprendrai à quoi servait votre allusion à la force naturelle des racines (cette force, elles l’ont car elles sont incontestables, après on les conteste si l’on veut, mon supérieur en est la preuve vivante)…
    Mais j’ai plaisir à le redire, du « sens »
    Et le sens ne s’inscrit pas seulement dans l’histoire, mais dans l’éternité
    dois-je dire Monsieur l’inventeur ou Monsieur le magicien ?
    je sais bien que je m’adresse à Monsieur l’inventeur, mais c’est d’un magicien dont j’aurais besoin (depuis 8h11 ou 12)
    1-pour m’expliquer comment les racines (les siennes, précisez-vous) peuvent compter à ce point quand on ne sait pas prendre les choses par là, quand on ne sait pas les prendre par où elles tiennent, qu’elles vous glissent entre les doigts, qu’elles vous échappent, quand on ne sait pas où les choses tiennent, il est vraiment tentant de croire qu’elles ne tiennent à rien
    Ginette (celle du lapin) ne m’est d’aucun secours, elle ne parle jamais que des racines des pissenlits et là, bonjour le mystère
    2-pour retrouver l’adresse de votre blog
    car j’ai cliqué sur la croix de la fenêtre en haut à gauche (quelle drôle d’idée, mais elle a fini par rentrer) en entendant les pas de mon supérieur
    il serait furieux s’il me savait ailleurs alors que je suis là

    (*) Soyez assez gentil pour ne pas croire que n’apprécient de se poser des questions que ceux qui trouvent à chaque fois des réponses.

  9. Je ne vais pas commenter sur votre talent d’alors et de maintenant, je l’ai fait sur Twitter ce matin.
    Mais cette chanson de Lamont Dozier… M. Guy Birenbaum, c’est un fait, vous êtes décidément un homme de (bon) goût.

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17 Mai, 2010

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