De l’utilité de la greffe – tardive – de couilles en politique…

New Balls

Ça c’est une confession…

Ça c’est une confession…

(…)

Pierre Charon l’ami – l’ex-ami ? – du Président Sarkozy a pris son envol.

Il a décidé d’aller jusqu’au bout : de se présenter aux sénatoriales à Paris, en dépit de l’opposition du Président et de ses fidèles.

Il s’en explique cette semaine dans Le Point devant Anna Cabanna : c’est « la révolte du compagnon blessé ».

On on en apprend plus sur son « entrée en dissidence » et sur la manière dont il a décidé « d’aller jusqu’au bout ».

L’article est truffé de propos entre guillemets de Charon, dont cette saillie assez incroyable quand on la lit bien :

Expliquant qu’il ne cèdera pas Charon lâche :

« Il y a beaucoup de rejets dans les greffes de couilles, mais là, ça tient ! »

À 60 ans, il était temps…

23 Commentaires

  1. Et quand ça lui en touche une,l’autre bouge?

  2. Mieux vaut tard que jamais ….

  3. Non. Non, et NON. Jamais, jamais, tiens Dieu m’est témoin, on peut pas plus, jamais j’eus oser écrire le fond de mes analyses politiethnologiques.. Oui, je me dois de l’affirmer avant de me faire discréditer par la gente féminine.
    Oui tous les politiques sont des travelos bistouriqués de la quéquette. D’où quelques fois des ratées malheureuses.
    Mais me direz-vous! vous en avez le droit, disons, le devoir. Qui fait leurs mômes. Et, ben oui, ne tergiversons pas, où les prennent-ils? la question qui a récupéré celles de dati ne se pose pas! Pour charon soyons charitable, il ne les a pas récupéré sur un faisan présidentiel.

  4. Ceci étant, la France sarkosyste barre en couilles.
    Au moins au temps de Chichi on parlait « Tripes » « Tête de veau » on parlait Bastille, on parlait Peuple. ‘Jourd’hui on parle bois bandé de boulogne.

  5. En plus d’être méchamment burné, il est classe, le Charon…

  6. Alors  » Casse-toi pov con » brutalement étendard c’est de charon.
    Ben moi qui suis un p’tit peu trouillard, je vais attendre la descente d’organes, on sait jamais une coquille est si vite arrivée.

  7. Notons tout de même à la décharge de Charon que l’article du Point est assez peu amène à son endroit…

    – verbes (« démissionner », « jurer », « plastronner »)
    – mode conditionnel ironique (« il n’aurait pas… s’il n’avait pas »)
    – Discrédit (« job chez Leroy » [-Merlin?] )
    – Dérision (« délicieuse responsabilité des chasses présidentielles »)
    – Rupture des registres de langue (« brûler ses vaisseaux » / « greffer des couilles »)
    – Didascalie en forme de guillotine (« Silence. »)

    Le gars mérite sans doute un pareil traitement, mais de fait je m’interroge sur l’origine de cette incroyable saillie et surtout, sur les intentions de la petite plume qui l’a relayée.

    Mais c’est rigolo quand même !

  8. NK dit :
    21 septembre 2011 à 18h33

    « Notons tout de même à la décharge de Charon »

    Et en plus elles sont opérationnelles.

  9. bah oui, tant qu’à faire 😉

  10. J’ai cru un instant en restant sur la belle illustration de couverture de l’article que votre trait du jour visait François Hollande
    Il se serait levé contre la règle d’or
    Il aurait promis de faire la peau à l’Hadopi
    Il se proposerait de passer une nuit dans l’enceinte de Fukushima
    Il nous aurait communiqué sa position sur la reconnaissance de la Palestine avant le vote à l’ONU

    Ben Non On charie ici le Charon

  11. Il aurait pu s’appeler Pierre Chapon…

  12. Après avoir fait franchir le Styx aux pauvres cerfs et biches des chasses présidentielles, le voilà qui franchirait le Rubicon grâce à une greffe?

    Il est dommage qu’il ne précise pas où elles lui ont été greffées, ou plutôt de quel côté? Devant ou au bas du dos?

    Charles.
    http://www.lepost.fr/perso/charles-ex-hautetfort/

  13. Olalala ça se barre en couilles…….

  14. Ma dernière pensée avant de fermer l’ordi est pour TRoy Davis
    et elle sera la première demain, je n’ai aucun espoir,

    à 1 heure, je dormirai, quand il vont vous l’ assassiner….

  15. Ce monsieur est divertissant. La dissidence artificielle est toujours utile pour détourner les lecteurs des sujets fondamentaux.

  16. Langage fleuri au … poil, à l’image des saillies de son ex-mètre étalon qui a déclaré dans son entourage du moment … « Charon ne pèse que son poids de graisse ! » Il aurait pu ajouter « moins que les valises qui revenaient de Suisse pour son Mentor Balladur. »
    Hervé Charrette avait pris en son temps une volée de bois vert en débarquant de la Sarkozie pour échouer au Nouveau Centre !
    C’est comme dans certaines religions, il faut croire que l’apostasie est interdite en Sarkozie sous peine de mort …politique !

  17. Exécrable cette politique de burné.
    Ces burnés de salon,ces couillus dans le confort et le conventionnel,ces courageux de partis en démocratie.On a des cacahouètes quand on les mets sur le billot,a la vie à la mort;pour ces idées; ses valeurs ou le bien des autres.
    Des petites personnes en fait.
    En colère car j’ai écouté notre burne en chef à l’onu dans son discourt sur la défense ,aveugle,de l’État d’Israël.Cela devant le monde entier,sans concertation parlementaire.pas un couillu juste un néoconservateur

  18. La femme est l’avenir de l’homme. Une femme debout en vaut deux. Un homme aplati + un homme raplapla.
    L’homme aplati : un vibrionnant lascar (Karachi, c’est pas fini et dire que c’était le lieu de ma première valise, m’amour.) qui n’aura fait que servir les puissances d’argent (pour les non gauchos, équivalent du Grand Capital). Misèèère ! misèèère… quand tu nous tiens, tu nous tiens bien ! Bien profond à droite !
    L’homme raplapla : être sans énergie, mollasson, déjà vendu aux financiers (tout est fait pour que ce soit lui). Centrisme à la Barre-Balladur (on en peut faire un jeu de mots)… on peut même en rajouter comme le Nescafé. La cour des comptes… quoi ! (un machin qui ne sert à rien car non punitif) Gestion de pure forme. Et qui c’est qui trinque ? Mes zigues et mes zagues. Le noble peuple qui en a MARRE !
    Le désir apporte la joie quand vient le jour de la délivrance. *L’apathie apporte le malheur ou la désespérance.
    Un bon désir d’avenir dans la popoche, ça ne serait pas pour me déplaire, par Arbacès et tout ce qui s’en suit !
    WARNING : faites attention, vous avez parmi vous un petit homme (Pirouette ! Cacahuète !) qui a des idées monstrueuses. Très BAS DU FRONT !
    Je conclurais ceci ou cela par un commentaire d’Origène, qui n’est pas un cynique :
    « A quoi me sert de lire que Jésus ait fait marcher des paralytiques si je reste moi-même, devant cette page, engourdi et ankylosé, si mon esprit demeure immobile et ne bondit pas avec alacrité de la civière de ses préjugés ? »
    *L’apathie : terme générique qui pourrait s’appliquer à tous les journaleux qui commentent le commentaire du commentaire du commentaire… sans bouger leur fessier de leur siège. En gros… qui n’ont jamais traversé le périphérique.

Trackbacks/Pingbacks

  1. Section socialiste de l'île de Ré » Comment Copé savonne la planche de Sarko - [...] (Solly, Louvrier, Charon, qui m’a bien fait rigoler tout de même avec sa saillie sur sa greffe de couilles)…

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

21 Sep, 2011

Épicerie ouverte

Prenez votre temps…

Conserves

Images

« Y’en a un peu plus, je vous l’mets quand même ? »

Miller, les juifs, la France, la morale, le fond et la forme

Miller, les juifs, la France, la morale, le fond et la forme

Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...