La pie qui pleure

Cui cuit

C’est beau…

C’est beau…

(…)

Fascinant même…

 


Même les oiseaux pleureraient pour Kim Jong Il par euronews-fr

17 Commentaires

  1. « L’essentiel est sans cesse menacé par l’insignifiant. » René Char

    Très belle citation!!!

  2. Ce sont des pies voleuses… de peuple.

    Les Pathétiques, les Pathologiques…

    😉

  3. Les dictateurs ont toujours fasciné, on peut se souvenir de la foule amassée autour de la dépouille de Staline. La psychologie des foules autour d’une paire de baskets sérigraphiée aussi…

  4. Est on programmé à vie pour éventuellement sombrer dans ce genre de conditionnement ou alors sommes nous immunisés définitivement pour des raisons de savoir, d’éducation, de culture ?
    Je ne jure plus de rien !
    Quand je pense que tout le boulot de la retransmission du savoir est à refaire à chaque nouvelle génération rien ne dit que le peuple français soit définitivement à l’abri de quoi que ce soit !
    Déjà avec du savoir et de la culture ça vote Sarkozy alors sans savoir aucun je ne préfère pas imaginer ! 🙂
    Bref pour moi il ne s’agit plus de savoir si on est plutôt programmé à l’origine pour ce genre de système totalitaire mais il s’agit de savoir quels moyens on peut se donner pour continuer à déprogrammer ce genre de fonctionnement qui de mon avis est bien plus naturel que la liberté au sens où on l’entend !
    Le conditionnement à la liberté s’il n’est pas inhumain il est peut être surhumain, surnaturel ? si ça ne coule pas de source, si ce n’est pas spontané ?
    Je serais curieux de savoir un jour ce qu’est la norme, ce que prévoyait la nature ! J’ai de gros doutes sur la nature humaine : le mystère reste entier…

  5. autrement dit à propos des pies j’ai moins de doute et je crois savoir qu’elles ont de bonnes raisons de s’accrocher aux branches ! 🙂

  6. Les pies sont attirées par ce qui brille… c’est bien connu 😉

    Là elles guettent le moment où elles vont pouvoir récupérer les pièces d’or confisquées par le petit timonier. Et elles pleurent parce que ça ne va pas assez vite… elles s’impatientent 🙂

  7. Et c’est bien parce que nous ne sommes pas dans un régime totalitaire qu’il nous sera permis d’analyser comment un vote parfaitement libre et démocratique peut positionner par exemple le FN comme première force politique française en 2012…
    Alors bien sur c’est toujours pareil : si j’en parle trop avant c’est moi seul qui suit responsable de sa progression, si on en parle pendant c’est pas le bon moment non plus et après c’est déjà une vieille histoire donc inutile à revisiter !
    Et pourtant, en simple observateur de la situation je suis en droit de voir dans ce FN une capacité à attirer à lui dès le premier tour non seulement les frontistes primaires de base mais aussi tous les mécontents en tous genres et en prime « des abstentionnistes » qui auraient décidé de porter un coup de gueule !
    J’ai l’impression que ça peut faire du monde au balcon cette affaire là !
    Et en matière de démocratie j’aimerais bien savoir quels arguments on pourra défendre si ce FN atteint la barre des 40 % par exemple ?
    Ne levez pas les yeux au ciel (oui je vous ai vu) parce que ce sera une loterie telle que tout peut arriver ! C’est bien gentil de ressortir à chaque fois « le front républicain » telle une bombe anti-moustique mais jusqu’à quand ?
    Battre le FN on sait toujours faire mais jusqu’à quand ? Le combattre politiquement sur le terrain social c’est une autre paire de manches !
    Je ne parle que du FN ? Oui pas faux ! Je ne vois rien d’autre d’essentiel pour l’heure !
    J’avoue ne pas être un démocrate dès lors qu’un système présidentiel à deux tours peut parfaitement permettre l’élection dès le premier tour du FN (dans des circonstances exceptionnelles pourra-t-on dire) ! Rien que pour prendre la photo en gros plan des gueules enfarinées aux yeux de merlans frits toujours étonnés de tout on mériterait presque que ça nous tombe dessus !
    Je ne peux pas cautionner : c’est au dessus de mes forces ! Le plus cocasse ce serait que la surprise du chef (Sarkozy) consiste à proclamer l’interdiction du FN pour des raisons d’ordre républicain ! On aura l’air bien d’aller défendre la démocratie et le maintien du FN non ? (là encore y aurait des belles photos à prendre) 🙂

  8. Et puis c’est partout pareil, là est mon inquiétude : à peine je me réjouissais d’un mouvement anti-Poutine que j’apprends que l’instigateur, blogueur de son état, est la moitié d’un nationaliste ! 🙂
    C’est un monde quand même ce binz ! Pschitt les Gandhi, les Luther King et compagnie : on n’en a plus un seul en magasin ! On est dans le mauvais cycle !

  9. Tsss, Malbrouck… Voyons, ressaisissez-vous !

    😉

  10. « Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l’accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l’apparence de la solidarité à un simple courant d’air. »

    « Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent.  »

    Rien que pour ça il mérité sa statue le George. devant la BBC moins sûr.

  11. Est-ce qu’un pigeon qui chierait sur la statue de notre bien aimé conducatore serait condamné à mort ? Non, bien sûr. C’est là que l’on peut distinguer une démocratie progressiste comme la nôtre d’une horrible dictature.

  12. Je donnerai à manger des graines aux oiseaux nord-coréens mais ça me fait mal au cul

  13. Une pie ça va… c’est quand il y en a plusieurs que…

  14. Tout le monde sait que les erreurs faites par Kim Jong-Il les trois premières années de son mandat sont rattrapées. Ce sera sans doute vers Kim Jong-eun que j’irai.

  15. Aujourd’hui des pies, mais si on était en 1940 ce serait des corbeaux, n’est-ce pas Guy ?

  16. Intéressant, l’article de l’expansion-l’express 🙂

    5 pages, c’est bien long : j’ai lu la 1ère, puis la dernière. Extrait de la page 5 :
    « « Ils sont prêts à dépenser 400 millions d’euros pour le foot et veulent Le Bossu de Notre-Dame pour 5 millions. Ils veulent le beurre, l’argent du beurre et tout le reste », s’emporte l’acteur. »

    Depardieu est extraordinaire dans certains films, odieux dans d’autres. Vous me direz que c’est parce qu’il est un grand acteur qu’il sait être l’un ou l’autre en fonction du contexte du film…

    Et bien moi, je vous dirais qu’il est un reflet quasi parfait du paradoxe sur le comédien de ce Grand Denis Diderot.

    Gérard Depardieu ne sait pas se faire aimer, alors il compense par ses « go-between » (cf. chute de l’article de l’expansion) :

    « Cette fois, c’est Dimitri, le fils de Carole, qui prépare son voyage à New York. Oui, Gérard peut lui obtenir des prix pour L’Essex House, un palace donnant sur Central Park : « C’est l’ancien hôtel de Milos Forman. Un bon cinq-étoiles repris par des Japonais. Je peux t’avoir 25 %. » Toujours l’art consommé du go-between. »

    Je ne suis pas critique de cinéma, ni quoi que ce soit d’autre. Mais Depardieu, dans certains films dont je garderai les titres pour moi, m’est TOTALEMENT insupportable : je ne peux tout simplement ni l’entendre, ni le voir si « naturel » dans certaines scènes (hard ou soft n’est pas le sujet, que ce soit clair).

    Donc, Gérard, si tu me lis, ré-écoute Coluche… et pense à Guillaume et Julie.

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26 Déc, 2011

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