Guy Birenbaum – Wikipédia

Corrections

Je me suis rendu compte que de nombreux internautes vont sur Wikipedia, pour se documenter sur moi…

Je me suis rendu compte que de nombreux internautes vont sur Wikipedia, pour se documenter sur moi…

(…)

Je n’ai rien contre l’encyclopédie collaborative, mais il se trouve que, me concernant, c’est un assez joli tissu d’erreurs, d’oublis et même parfois de commentaires tendancieux.

Comme je sais que si je corrige, des puristes de Wikipedia ou ceux qui semblent se passionner pour cette page risquent de m’expliquer que je suis mal placé pour corriger ma propre fiche (c’est arrivé, récemment, à l’illustre Philip Roth), j’ai décidé de la « corriger » un peu ici même.

À vous de m’aider à faire en sorte ce que cette entrée, bien plus exacte, passe devant le Wikepedia « officiel » en référencement…

En vert tout ce qui ne va pas…

Du tout !

Guy Birenbaum

Guy Birenbaum est un universitaire (faux, j’ai démissionné de l’Université) éditeur (faux, je ne le suis plus) et chroniqueur français (je ne sais pas ce qu’est un « chroniqueur », c’est aussi débile qu’un « expert » ou un « spécialiste »…) né le 8 août 19611

Sommaire

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  • 1 Biographie
    • 1.1 Carrière dans l’édition
    • 1.2 Carrière de chroniqueur
  • 2 Controverse
  • 3 Publications
  • 4 Références
  • 5 Lien externe

Biographie[modifier]

En 1992, Guy Birenbaum a consacré une thèse universitaire (une thèse pour le doctorat de science politique à la Sorbonne) en sciences politiques (science politique ne prend pas de « s » à l’Université) au Front national. En 1993, il est recruté sur concours comme maître de conférences en sciences politiques (pas de s) à l’université Montpellier I. (J’ai démissionné de l’Université depuis, mais mon titre de docteur, mon fils, ma bataille et mon Habilitation à Diriger des Recherches, je les garde…).

Il devient ensuite corédacteur en chef de Vendredi-Idées, une publication du Parti socialiste (c’est faux, je le suis devenu avant, pendant l’année où je n’avais pas de travail car je n’avais pas été recruté à la Fac ; puis je suis parti de la rue de Solférino exactement au moment de ma nomination à la Fac) Birenbaum travaille également pour Globe Hebdo (ça c’est arrêté en 1994) et VSD2 

Il manque mon passage à France 2, 1994/1995 où je m’occupe des émissions politiques sous la direction de Jean-Luc Mano, directeur de l’information.

Carrière dans l’édition[modifier]

En 1998, devenu directeur de collection des éditions Denoël (aux éditions Denoël, pas « des », car il n’y avait pas que moi, ni une seule collection), il publie notamment des livres d’Arnaud Montebourg (Parti socialiste), de Brice Hortefeux (Union pour un mouvement populaire), de Bastien François (C6R), du gendarme Michel Roussel, enquêteur dans l’affaire Alègre (oui… Enfin j’en ai publié énormément d’autres, pas du tout politiques – je ne connais même pas toute la liste – pourquoi ceux-là ?).

En 2004, Guy Birenbaum crée, avec deux associés, Emmanuel Pierrat et Pierre-Louis Rozynès, les Éditions Privé (c’est faux Emmanuel Pierrat s’est retiré avant la création de Privé) qui publient trois à quatre livres par mois, certains se vendant à plus de 30 000 exemplaires (Le Crime de NapoléonUn agent sort de l’ombre), d’autres ayant moins de succès (cette remarque est, vous en conviendrez, assez stupide et volontairement tendancieuseLe Crime de Napoléon suscite une certaine polémique en considérant que Napoléon, en ayant sciemment organisé un « génocide » des esclaves français aux Antilles, serait un précurseur d’Adolf Hitler (cette assertion est évidemment destinée à émouvoir voire révolter les lecteurs de ma fiche ; et je pense deviner qui est son auteur).

En janvier 2007, les Éditions Privé se séparent de plusieurs collaborateurs et continuent leur activité en restreignant leur production ( c’est exact, il faudrait ajouter que c’est à la demande expresse de mon associé Michel Lafon qui avait racheté ses parts à Pierre Louis Rozynès l’année d’avant). Guy Birenbaum en quitte la direction à la fin du mois de juillet3. (ici il manque juste la suite… J’ai ensuite été viré par mon associé Michel Lafon qui m’a « racheté » Privé un euro en me foutant dehors et en bloquant à l’imprimerie la parution du livre de Laurent de Villiers comme je l’ai raconté publiquement plusieurs fois)

En 2010, il reprend des activités d’éditeur chez Fleuve noir4 . (J’ai travaillé un an chez Ramsay entre temps, sans beaucoup de succès, il est vrai, faute de distribution des livres, ett j’ai aussi quitté Fleuve Noir depuis, en dépit du succès du livre de Jaddo.fr (son blog).

Carrière de chroniqueur[modifier]

Comme chroniqueur (je déteste donc cette appellation qui ne veut rien dire) Guy Birenbaum a participé aux émissions Le Grand journal sur Canal+ (il n’est pas précisé que j’ai été viré lorsque j’ai publié le livre dans lequel Pierre Martinet révélait comment Gilles Kaehlin espionnait des salariés de la chaîne), et On refait le monde sur RTL (dont j’ai été viré en plein été 2007…), à 20 minutes (je n’ai jamais touché un centime à 20 minutes) ainsi qu’au magazine VSD (sauf que c’était dix ans avant…). Il devient en février 2007 un des collaborateurs extérieurs de Choc Hebdo (je suis resté un mois…), sous la nouvelle direction de Pierre Lescure.

De septembre 2007 à mars 20105, il a publiés des billets quotidiens sur le site Internet LePost.fr, appartenant au Monde Interactif, filiale du groupe Le Monde.

Il a tenu entre avril et juin 2008 une chronique quotidienne sur la radio française Rire et Chansons. Il présente durant l’été 2008 sur Europe 1 dans le Grand Direct la chronique Politiquement incorrect, en remplacement de Frédéric Bonnaud. (Oui mais Il n’est indiqué nulle part que j’ai rejoint Europe 1 en 2007, pour une prestation par semaine et que c’est désormais mon employeur au quotidien).

De mars 2009 à mai 2011, il présente l’émission Ligne J@une sur le site d’Arrêt sur images6

En 2010, sur Europe 1 il anime une chronique titrée C’est pas très net (au sujet d’Internet) durant l’émission Le Grand Direct des Médias7.

De 2011 à 2012, sur Europe 1 il anime une chronique titrée Deux minutes net durant la matinée8.     

(En fait dans la petite matinale – avant 7h – et depuis août 2012, dans la matinale – à 7h22 -…)

Il a été l’un des collaborateurs de Karl Zéro sur BFM TV pour Sarko Info et Zéro Info (oui mais aussi dans les deux dernières saisons du Vrai Journal) Par ailleurs il présente dans la pré-matinale d’Europe 1 la chronique La revue du net (faux puisque c’est donc désormais dans la matinale de Bruce Toussaint…), il est aussi chroniqueur sur cette même station dans l’émission d’actualité des réseaux sociaux Des clics et des claques de 20h à 21h en compagnie de Laurent Guimier, David Abiker, Agnès Léglise et Lise Pressac (non l’équipe a changé c’est Bérangère Bonte qui présente la tranche depuis la rentrée d’août 2012…).

Par ailleurs, j’ai écrit sur Le Lab d’Europe 1 la saison dernière.

Et je suis désormais tous les jours sur le Huffington Post. Pas davantage d’informations à ce sujet.  Ni sur les activités numériques en général : pas de mentions du compte Twitter par exemple…  

Ni de « Vous Trouvez Ça Normal sur France 2 » en même temps, comme l’émission n’est pas reconduite en janvier… 

 

Controverse[modifier]

En 2003, il est l’auteur d’un livre intitulé Délits d’initiés, mes soupçons de citoyen (Chez Stock) dans lequel il raconte des éléments de vie privée de personnalités du milieu médiatique et politique (aventures sexuelles et amoureuses, rumeurs sur un fils caché de Jacques Chirac, etc.) (Cette présentation est totalement tendancieuse, fallacieuse voire inexacte et uniquement destinée par son/ses auteurs à dévaloriser mon livre qui dépasse de loin ce cadre, sinon je ne pense pas que Gallimard l’aurait publié en Folio).

Ce livre a créé une polémique importante à sa sortie ; Christophe Barbier critique ainsi dans l’Express un livre fait « de bric et de broc » et « mal écrit » : « En guise d’enquête, son livre n’est donc qu’un ragoût de racontars9 ». Bernard-Henri Lévy dénonce une « pente du journalisme de caniveau et dont la défense ne saurait se dissocier de celle de l’esprit démocratique : gare à ces néo-inquisiteurs, ces mouchards, dont la prétention à la vérité ne fait que creuser le lit d’un type nouveau d’asservissement10. » Pour Maurice Szafran, de Marianne, « le “livre” de M. Birenbaum, Nos délits d’initiés, est une saloperie11 ».

Ne figurent donc ici que les critiques négatives. Aucune critique positive et pourtant il y en a beaucoup. Ce n’est pas une controverse, c’est un flingage en règle. Pourquoi pas le portrait de Libération ? Pourquoi pas ce papier dans Technikart ? Pourquoi pas celui du Nouvel Économiste ? Et j’en oublie évidemment, comme les dizaines de papiers dans la PQR, les Inrockuptibles, etc…

Publications[modifier]

Références[modifier]

  1.  Les portraits du nouvel Économiste: Guy Birenbaum [archive]
  2.  Biographie [archive] sur La République des Lettres, 2 décembre 2008.
  3.  « Fin de partie » [archive], blog de Guy Birenbaum, 27 mai 2007.
  4.  « Guy Birenbaum revient à l’édition chez Fleuve noir » [archive]Livreshebdo.fr, 23 août 2010.
  5.  « Adieu Le Post » [archive]L’actualité vue par Birenbaum, 4 mars 2010.
  6.  Daniel Schneidermann« Point à la ligne (jaune) » [archive]@rrêt sur images, 14 juin 2011.
  7.  C’est pas très net, page historique. Europe 1 [archive]
  8.  Deux minutes net, page historique. Europe 1 [archive]
  9.  « Flagrant délire » [archive]L’Express, 4 septembre 2003.
  10.  « Le bloc-notes de Bernard-Henri Lévy » [archive]Le Point, 12 septembre 2003.
  11.  Maurice Szafran« Un livre ? Non, une mauvaise action » [archive]Marianne, 8 septembre 2003.

Lien externe[modifier]

Voilà…
Ça calme.
Enfin moi en tout cas.
Bien évidemment, si je fais toutes ces corrections, elles ne passeront jamais toutes ou seront ensuite amendées voire corrigées par des contributeurs qui savent mieux que moi ce que j’ai fait, c’est évident.
Voilà pourquoi je ne corrige pas ma page Wikipedia (que je n’ai absolument pas initiée) et que j’ai décidé de la corriger ici, même si mon pedigree est loin d’être complet.

To be continued… 

64 Commentaires

  1. Impressionnant ! Que d’erreurs! Presque autant que dans la biographie de Botul…

    Autre sujet d’amusement (si l’on ose dire) les « suggestions » de Google quand on tape votre nom.
    Guy Birenbaum « Gay », « Juif », « Twitter »…
    Bon, il se dégage quand même de cette page Wikipedia, remaniée ou pas, que le garçon est instable. J’en voudrais pas comme directeur stratégique à la Sofraco.

  2. Au secours !!!!! Mais vous êtes un mec super sérieux en fait, il fiche la trouille votre CV !

  3. dis donc le taulier , t’as quand même souvent été viré , non ? :)) bien vu , en tous cas . Amitiés

  4. Bel exercice de modestie.M. Birenbaum, je vous aime bien d’ordinaire, mais honnêtement, on se fiche un peu des détails de votre vie. Etes-vous si central dans la vie intellectuelle de ce pays qu’il vous faille consacrer une chronique à l’exégèse de votre notice wikipédia? Je ne le crois pas, mais ce n’est que mon avis.

  5. a ce jour Guy coule des jours heureux de chroniqueur chez twitter d’ou il ne s’est jamais fait viré…

    blague a part, on mesure le temps qu’il faut pour reprendre la notice wiki?

    bio riche d’entreprise, et sans aigreur ni indulgence, c’est sympa.

  6. Valérie, si vous ne comprenez pas la démarche, c’est très dommage car ce que je fais là est essentiel dans mon travail…

  7. Bon courage Guy,

    la vie publique n’est pas de tout repos je ne vous apprend rien, la vie sur internet ne l’est pas davantage c’est certain mais je sais que vous avez le cuir bien épais et que s’il faut ferrailler, vous êtes armé pour ça, vos propos ci dessus en sont la preuve.
    N’oublions pas Camus et son Sisyphe heureux 😉

  8. Corrigez donc, on ne vous en voudra pas !

  9. C’est honteux, ta bio wikipédia passe sous silence tes exploits tennistiques !!!!

  10. Je veux bien vous croire, Guy, mais en ce cas, expliquez-la, votre démarche! Dites-nous en quoi elle est essentielle à votre travail, ce sera plus intéressant que cet exercice de correction qui vous donne l’air (un peu) nombriliste et qui semble sorti de nulle part. J’imagine que cela va un peu plu loin que « comme Philippe Roth, je ne peux pas faire valoir mon droit à ma propre biographie ». Je ne demande qu’à comprendre !

  11. Bonjour,

    Je laisserais l’intro telle quelle (on prend en compte tout le parcours et tu as bien été universitaire et éditeur). Chroniqueur ne me choque pas : cela désigne quelqu’un qui travaille dans le milieu du journalisme mais en tant que personnalité écrivant des billets d’humeur. Un autre terme est possible mais celui-ci me semble clair pour tout le monde.

    « recruté sur concours » : c’est tjs sur concours => superfétatoire. En revanche, pourquoi pas indiquer le sujet de thèse et la HDR.

    Si possible expliquer le départ du monde universitaire (avec des sources) : ce n’est pas si fréquent

    Donner des sources sur Vendredi-Idées et passage à France 2, si possible

    Plutôt que citer Montebourg, Hortefeux, etc. : voir s’il existe source permettant de dire (par exemple) « il publie 28 livres dont 16 sur des politiques… »

    « Emmanuel Pierrat s’est retiré avant la création de Privé » => retiré de quoi ? => expliciter cette création (avec sources)

    Réorganisation des éditions Privé en 2007 :expliciter les problèmes qui expliquent le départ (avec sources)

    Rachat et licenciement : sonne bizarre quand on ne connaît pas l’histoire. Expliquer (de manière neutre, ce qui ne sera pas forcément facile) pourquoi tu as vendu la boîte 1 euro si elle valait plus et si cela signifiait se faire virer…

    Licenciements (en particulier de Canal) : si l’accusation de censure ou en tout cas de licenciement lié à une prise de parole apparaît (si elle a déjà été émise publiquement et si elle n’est pas diffamatoire), bien l’attribuer à un point de vue (avec source) et donner en retour celui de Canal.

    À mon avis (mais tous les wikipédiens ne seront pas d’accord avec moi), supprimer le paragraphe « controverses » et intégrer les faits dans l’analyse générale du parcours (si possible plus problématisé que seulement donner des dates qui se suivent)

    En espérant que cela permettra d’avancer pour rédiger un meilleur article,

    Rémi

  12. Je crois que tout le monde a compris sauf vous…

  13. La première mention de la polémique sur le crime de Napoléon est imputable au contributeur Jean608 ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Jean608), le 30 mars 2007. La rédaction originale était la suivante :
    « Le Crime de Napoléon crée une polémique importante dans le pays, il sort peu avant la commémoration du bicentenaire de la bataille d’Austerlitz, à laquelle Jacques Chirac et Dominique de Villepin décideront de ne pas envoyer de représentants français, alors qu’ils en avaient envoyé pour commémorer la défaite française de Trafalgar peu avant. La polémique sur le livre vient aussi du fait que son auteur, Claude Ribbe, y compare Napoléon à Hitler, les gaz employés dans les bateaux de négriers aux chambres à gaz, et l’esclavage à la Shoah. Mais Claude Ribbe et son éditeur nient toute compétition victimaire ou concurrence de victimes. »

    Elle est remplacée le 5 avril 2007 par un contributeur anonyme, dans la version suivante :
    « Le Crime de Napoléon crée une polémique importante dans le pays, il sort peu avant la commémoration du bicentenaire de la bataille d’Austerlitz, à laquelle Jacques Chirac et Dominique de Villepin décideront de ne pas envoyer de représentants français, alors qu’ils en avaient envoyé pour commémorer la défaite française de Trafalgar peu avant. »

    l’actuelle version date du 8 mai 2007 à 14:33. Elle est effectuée par le contributeur Martin ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Utilisateur:Martin ).

  14. C’est le même Jean608 qui écrit le passage sur Délits d’initiés. Un ami, certainement.

  15. Il suffit de suivre le lien que j’ai mis vers son site pour savoir de qui il s’agit 😉

  16. wiki pédia , ton univers impitoya-a-a-a-ble

  17. Wahou, se faire traiter de « cuisinier de racontars » par Barbier et de « journaliste de caniveau par BHL » quels trophées! Moi je n’enlèverais rien à cette partie 😀

  18. Bien pervers tout ça. Et je me demande combien de fois, j’ai pu passer à côté du parcours de quelqu’un grâce à ce type de fiche… Á utiliser avec (encore plus de) modération, donc.
    J’adore ce(s)-tte correction(s) en tous cas.

  19. Le lien est un peu sioux. C’est le reprise d’un article d’Eric Guéguen. Il n’y a que le chapeau dans lequel l’auteur parle de lui à la 3ème personne. Et puis ça me faisait plaisir de te préciser qu’il était aussi l’auteur du passage sur Délits d’initiés. 😉

  20. Je le savais tu sais 😉

  21. Puisque c’est ça, je ne modifierai rien dans ta fiche !

  22. Salaud !

  23. Ce que je retiens c’est :

    1 – Vous avez été plus souvent viré que recruté… 😉
    2 – Vous voulez, en fait, qu’on écrive un article à votre sauce. La liberté de rédaction vous est étrangère.

    Moi qui ai de l’estime pour vous, je suis déçu sur ce coup.

  24. En règle générale je ne regarde sur wikipédia que les dates de naissances et.. de mort..quand evidemment ;)) C’est important pour comprendre la génération.. J’avais donc juste sur l’essentiel … Ça me plait bien que tu te sois fait souvent virer. C’est très bon signe dans ce monde là.. 🙂 Pour info je cherche des trucs sur Le Pen et le front national. On trouve toujours tes bouquins? Merci Guy. Bonne soirée 🙂

  25. ND ce que vous écrivez est très drôle. Je dois laisser écrire n’importe quoi pour vous faire plaisir parce que ce sera libre. Je le note…

  26. Pour quelqu’un qui a un tel parcours, vous êtes souvent très patient avec les défaillances des autres.

  27. 😉

  28. j’ai pas tout lu ( diagonale)pour ceux qui vous suivent on en sait déjà un bout….
    mais j’adore à mettre entre les mains de tous ceux qui wiképed à l’insu de leur plein d’erreurs
    il peuvent aussi aller faire un tour chez arrêt sur image
    les boss sont de vrais caricatoures
    http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=5394

  29. Je suis un contributeur régulier à Wikipédia et adepte du « tu as vu un truc faux sur Wikipédia… et tu l’as pas corrigé ? »

    Je me fiche de savoir qui est derrière wikipédia (et je me suis souvent moqué de leurs bannières) j’ai des copains (IRL ou non) qui y contribuent et s’y investissent énormément, ça me suffit pour me donner envie d’y contribuer.

    Après, les pages wikipédia c’est comme le jardinage : il faut toujours y jeter un coup d’oeil car la mauvaise herbe peut s’y installer et elles ne sont pas gravées dans le merbre.

    En tout cas, vu l’historique, ça s’est démené depuis 16 : 00 pour faire une page toute propre et dégager les jugements à charge.
    http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Guy_Birenbaum&action=history

  30. Aux adeptes de wikipédia. Qui aura un jour le courage de corriger la page de Copé, qui n’a jamais de sa vie été « maître de conférences » à l’université – car il faut une thèse que Copé n’a jamais eu, et passer un concours consigné dans le Journal officiel – où on ne trouve comme de bien entendu aucune trace du concours réussi par JF Copé. Quant à Copé, ni doctorat ni HDR, professeur en économie et finances à Paris VIII – oui oui, ex fac de Vincennes. J’ai cherché d’où pouvaient venir ces pseudo-informations, sur une page sous la haute surveillance de wikipédiens adhérents de l’UMP. La réponse est : elle provient des « éléments de langage » auto-publiés par Copé lui-même. wikipédia, où la qualité de l’information.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Cop%C3%A9

    Bravo pour votre manière exemplaire de décrire comment s’écrit wikipédia.

  31. Vous croyez qu’ils se sont posés la question, ceux qui ont écrit ou modifié votre page Wikipedia, du temps ainsi perdu pour écrire leur propre destinée, qu’elle soit digne de référencement ou pas, qu’elle puisse susciter un article dans le Who’s Who ou tout simplement les rendre heureux ? Parce qu’à cette heure ci, c’est la question que je me poserais.

  32. Le DEL reste pur underground alors.

  33. C’est scandaleux que l’émission VTCN ne continue pas.

  34. Wikipédia n’est pas le support idéal pour les bios de personnes « en activité » (manque de recul et problème d’actualisation), mais quelle encyclopédie l’est ? Il reste du chemin à faire pour que Wiki soit parfait surtout lorsqu’elle traite de thématiques pas très encyclopédiques : pokémons, mangas, séries télés et pseudo célébrités du jour.

  35. Je comprends très bien que Guy veuille que soient rectifiées les erreurs dans sa bio. Par contre, un chroniqueur, c’est un chroniqueur. Qu’il ne se plaigne pas, wiki n’a pas parlé d’éditocrate.

  36. Je maintiens que ce terme ne signifie rien.

  37. Comme Zazie de Mars, je regarde généralement Wiki pour les mentions d’état civil.

    Comme Gérard, je pense que ce type de support est compliquée quand il traite de personne vivantes. Le travail de biographie repose sur des données rigoureuses de recherche et de preuves factuelles et non par sur des « contributions » d’inconnus.

    Et comme Dominique Godin, je trouve que chroniqueur est plus plaisant qu' »éditocrate » barbarisme fort bien trouvé pour certains éditorialistes de la place de Paris.

    J’admire ce travail de correction fort courageux.
    Mais pour ma part, je ne prends jamais Wikipédia comme unique support de travail quand je dois faire des recherches sur un être ou des choses.

  38. Ps: une fois n’est pas coutume, j’ai beaucoup aimé votre 13 h du Huff et je suis navrée de l’arrêt de VTCN.
    Même si l’émission était perfectible, elle méritait qu’on lui laisse le temps de s’installer. Même chose pour l’excellente émission de Franck Ferrand qui passe à la trappe alors qu’elle était culturellement intéressante sans être chiante.
    Je ne comprends vraiment pas quelle direction veut prendre France 2.

  39. Il y a une fiche wikipedia pour « chroniqueur » 😀

  40. Alexandre Vialatte donne des chroniques à « patati… » il est rédacteur chez « bidulechose ». C’était à l’époque. Et pourtant c’est sur wikip.

  41. Oh la vache !
    Tu en as fait des employeurs, alors une chose;
    Ou tu es un emmerdeur ou tu as la grosse tête ? ?
    Ou peut être les deux ? )))

  42. Si pour se faire virer, il suffisait d’avoir la grosse tête, toutes les rédactions seraient vides…

  43. Moi ce que je constate c’est la vitesse pour ne pas dire la ferveur avec laquelle votre page, cher Guy, a été corrigée, ce qui prouve bien que ce qui vous touche ne laisse pas indifférent vos lecteurs/auditeurs/internautes qui je suppose comme moi, respectent votre travail de relai et de pédagogie. (Maintenant si vous avez payé un pote pour faire vos corrections, la remarque n’en est pas moins valable.) 😉

  44. Je n’ai rien demandé à personne, bien évidemment. J’ai décidé ça hier matin.

  45. Je ne comprends pas pourquoi il n’est pas mentionné que tu es épicier.
    « Tour à tour universitaire, éditeur, chroniqueur, GB est aujourd’hui, selon ses propres dires, « épicier ». Il monnaye des chroniques, des éditoriaux, des vieux clips, à une clientèle variée d’auditeurs, d’internautes et, plus rarement, de téléspectateurs »

  46. Salaud, tout est gratuit ici !

  47. bon ben, voilà vtcn c’est fini, je l’apprends avec 24 h de retard (çà sert donc à rien d’etre connectée, je manque de TEMPS) et moi je dis que c’est bien dommage
    sinon il est bien ton CV, un peu long mais il es bien

  48. La révolution dans l’omelette

    Le Zèbre :
    -Eh, l’ours ?
    L’Ours :
    -Ouais ?
    Le Zèbre :
    -Ca va ?
    L’Ours :
    -Je suis vidé !
    Le Zèbre :
    -Dure la cadence aujourd’hui, n’est ce pas ?
    L’Ours :
    -Un vrai jour de noël !
    Le Zèbre :
    -T’as réussi ?
    L’Ours :
    -Je crois que oui. Je suis même à 125 %.
    Le Zèbre :
    -Tu as réalisé 125% de tes objectifs ?
    L’Ours :
    -Ouais. Il faut dire que je suis un peu aidé. Il y a pas mal de film qui sortent en ce moment au cinéma avec des histoires d’ours. Ca rameute les foules.
    Le Zèbre :
    -125%… Ca te fait combien de visiteurs, ça ?
    L’Ours :
    -Je sais pas trop, il faudrait regarder sur le compteur. Et toi ?
    Le Zèbre :
    -Bôf, tu sais les zèbres, ça n’intéresse plus personne!
    L’Ours :
    -Pourquoi tu dis ça ?
    Le Zèbre :
    -Je ne suis qu’à 60. Je crois que je n’aurai pas de prime cette année.
    L’Ours :
    -Il faudra en discuter avec le directeur, lui expliquer que les circonstances ne te sont pas favorables.
    Le Zèbre :
    -Je sais déjà ce qu’il va me répondre : « Tu restes trop dans ton coin, tu ne souris pas assez… » Sont marrants, comme ci c’était facile de sourire…
    L’Ours :
    -Heureusement moi, on ne me demande pas de sourire, je dois faire le méchant. Parfois je montre mes dents. Je rôte, je pète pour montrer que je suis un véritable animal et c’est tout !
    Le Zèbre :
    -Je ne suis pas d’accord. La direction veut me forcer à manger les cacahuètes que les visiteurs me balancent. Ils disent que c’est une façon de bien recevoir le client. Je ne vais pas changer ma nature, je déteste les cacahuètes !
    L’Ours :
    -On ne peut pas te forcer à manger ce que tu ne peux pas, c’est dans la convention collective !
    Le Zèbre :
    -T’as entendu parler des horaires élargis ? Ils veulent ouvrir le zoo 24/24 !
    L’Ours :
    -Ah bon ? Et quand va-t-on dormir ?
    Le Zèbre :
    -Ils vont nous filer des amphétamines afin que l’on soit toujours éveillés. Fini l’extinction des feux !
    L’Ours :
    -Bonjour l’extinction tout court !
    Le Zèbre :
    -Il faudrait en parler à la prochaine réunion.
    L’Ours :
    -Tu parles, Il n’y a jamais personne qui ose l’ouvrir.
    Le Zèbre :
    -C’est parce que nous sommes désunis. Il faudrait que nous soyons plus solidaires. Il nous faudrait former un groupe pour dire non !
    L’Ours :
    -Non à quoi ?
    Le Zèbre :
    -Non à l’anthropomorphisme, non aux expérimentations animales, non à l’extinction des races, non à l’assujettissement de l’animal par l’homme, non à la pauvreté, non aux brimades, non à l’injustice !
    L’Ours :
    -Tu me fais marrer, déjà qu’ils se bouffent entre eux. Comment veux-tu qu’ils prennent acte de nos considérations de bêtes !
    Le Zèbre :
    -N’est bête que celui qui veut l’être et moi, j’ose prôner la révolution.
    L’Ours :
    -La révolution ?
    Le Zèbre :
    -Oui, la révolution. Nous entraînerions avec nous les plus faibles, hommes comme animaux. La misère est universelle. Le tout c’est de le vouloir, vouloir mener la lutte !
    L’Ours :
    -Mais la lutte pour quoi ?
    Le Zèbre :
    -La lutte contre l’injustice, l’avilissement, les dégradations morales occasionnées par les plus forts sur les plus faibles.
    L’Ours :
    -Tu es un utopiste, mon zèbre.
    Le Zèbre :
    -C’est la volonté qui sépare l’utopie de la réalité.
    L’Ours :
    -Les zoos sont pleins de philosophes à ce que je vois. Hier, l’éléphant parlait presque comme toi.
    Le Zèbre :
    -C’est qu’il en a marre, lui aussi de tendre la trompe quand on lui dit de le faire. Ne pas réagir, c’est se laisser mourir !
    L’Ours :
    -Mais mon pauvre ami, te rends-tu compte que nous sommes déjà morts ? Tiens, si on te rendait ta liberté maintenant, crois-tu vraiment que tu pourrais retourner folâtrer dans les herbes folles de la lointaine jungle de tes ancêtres ? Tu n’es plus un animal, tu n’es pas un homme, tu n’es plus rien. Aujourd’hui, tu penses parce que l’homme en a décidé ainsi. Te rappelles-tu l’injection qu’on nous a faite ? Pourquoi a ton avis, nous ont-ils donné une mémoire, une pensée et même aujourd’hui la parole ? C’est pour que nous puissions calculer notre chiffre d’affaires, c’est pour que nous nous souvenions de nos clients comme s’ils étaient de notre famille. C’est pour penser aux stratégies commerciales les plus à-même de rapporter encore plus d’argent. Nous ne sommes que des pions et c’est ainsi… Il n’y a pas de révolution qui tienne. L’argent à ficelé toutes les velléités de liberté, crois-moi.
    Le Zèbre :
    -Quel pessimisme ! Mais le libre arbitre, tu n’y crois pas au libre arbitre ?
    L’Ours :
    -Mais mon ami, le libre arbitre ça n’existe pas. Tiens, même pas au football ! Et puis d’abord, comment veux-tu l’appeler ta révolution ? Celle des œillets et des tulipes, c’est déjà pris ; de même que la rouge et la orange.
    Le Zèbre :
    -Je l’appellerai la révolution du zèbre, elle sera représentée par un grand Z.
    L’Ours :
    -Un grand Z ? Ca fera de beaux T-shirt ! Mais Z, ça me dit quelque chose… A mon avis, c’est déjà pris ! Aussi, prépare-toi à racheter des droits.
    Le Zèbre :
    -Qui te parle de vendre ou d’acheter ? Je te parle de révolution !
    L’Ours :
    -C’est la même chose.
    Le Zèbre :
    -Quel manque d’idéalisme, tu es bien un ours, va !
    L’Ours :
    -Oui, et ça me va très bien comme ça.
    Le Zèbre :
    -Et bien moi, non ! Ma vraie nature, c’est d’être un animal et je veux faire intervenir mon libre arbitre pour reconquérir ma liberté.
    L’Ours :
    -Mais la liberté telle qu’on l’entend, c’est un rêve qu’on a mis dans la tête des petits pour les faire avancer. Personne n’est libre, tout le monde est soumis à quelque chose ; A l’argent, au sexe, aux sentiments, aux idoles…Crois-moi, la voie de la liberté est la voie opposée à celles des révolutions comme on les entend aujourd’hui… La liberté, c’est la sérénité. On est vraiment libres lorsqu’on n’est plus emprisonnés par ses propres démons. On est vraiment libre que lorsque notre conscience est libérée de toutes les entraves d’ordre matérielle, morale ou intellectuelle. La révolution, la vraie, celle qui mène à la liberté, la vraie, elle ne se fait pas par les armes, elle passe par notre esprit. Seulement, notre esprit nous est beaucoup moins perceptible que les ennemis dont nous croyons être entourés.
    Le Zèbre :
    -Nous ne sommes que des animaux, il faut être très fin et très intelligent pour percevoir son esprit.
    L’Ours :
    -Il faut voir avec le cœur, le chemin du cœur mène directement à l’esprit qui mène directement à la liberté.
    Le Zèbre :
    -Tu parles là d’une révolution intérieure ?
    L’Ours :
    -C’est ça. La révolution, elle passe par toi-même mon zèbre, elle ne passe pas par les autres.
    Le Zèbre :
    -Pour le coup, c’est toi que je trouve bien utopique.
    L’Ours :
    -Tu as donc si peu confiance en toi ?
    Le Zèbre :
    -Mais nous sommes tous des bêtes et qui plus est, enfermés dans un zoo. Nous mangeons à heure fixe, nous pointons à heure fixe et la selle aussi, nous la faisons à heure fixe.
    L’Ours :
    -Tu as peur de tuer tes habitudes ?
    Le Zèbre :
    -Non, mais je dois pouvoir un jour posséder mon propre abri, je voudrais me marier et assurer ma descendance. J’ai envie de voir des tas de choses, j’ai envie de connaître la vie quoi !
    L’Ours :
    -Et que vas-tu connaître de la vie, enfermé dans ton propre zoo ? Quand tu sauras t’affranchir de tes propres besoins mon zèbre, tu pourras parler de révolution. En attendant, je te conseille d’aller dormir, comme tu l’as si bien rappelé, nous pointons tous les deux à 8 heures, demain matin.
    Le Zèbre :
    -J’y vais, mais tu es vraiment fort pour casser ce qu’on appelle, une révolution dans l’œuf.

    FIN

  49. Et oui VTCN c’est fini et c’est bien dommage, cette émission avait trouvé son rythme, j’ai vraiment du mal à comprendre les décisions des dirigeants de F2. Sinon je persiste, impressionnant le CV, vous n’avez pas la tête de l’emploi, ni la voix d’ailleurs…….surtout en tenue cam’ pour remémorer le débarquement à Hervé Morin.

  50. Pardon Mr Birenbaum, je peux ?

  51. Perso, je ne vais sur Wiki que pour m’assurer que deux et deux font quatre, ou avoir la définition de « barbarisme ».

    Qui a ferraillé une fois dans sa vie sur les blogues avec Jean de Bois en a encore des frissons partout.

    Ou mal aux côtes à force de rire, selon son tempérament.

    http://tinyurl.com/67j7vy

  52. « Jean des Bois »

    Ne pas confondre avec jambe de bois, même si son style en a l’élégance.

  53. Je ne comprend pas pourquoi tu ne modifies pas les informations, si elles sont inexactes !
    Je pense que lorsque quelqu’un donne une fausse information sur soi, il est normale de la modifier…
    à moins que certains trichent ?

  54. « Salaud, tout est gratuit ici ! », dis-tu.

    Ok. Je reformule.
    “Tour à tour universitaire, éditeur, chroniqueur, GB est aujourd’hui, selon ses propres dires, “épicier”. Il monnaye des chroniques, et des éditoriaux à des auditeurs et des téléspectateurs de moins en moins nombreux. Chroniques et éditoriaux qu’il ressert dans son épicerie, agrémentés de vieux clips, pour une clientèle variée d’internautes qu’il traite de salauds à l’occasion. »

  55. J’adore !

  56. Un mystère pour moi, wikipedia … Jamais compris, par ex, qui avait rédigé une fiche sur moi, qui la modifiait (sans qu’on me demande jamais mon avis) dans un sens ou un autre, plus ou moins tendancieux … L’ensemble donnant une vision approximative de mon parcours susceptible d’être reprise ici ou là … Mais bon, comme Guy, je trouve assez vain de tenter d’y remédier !

  57. Bel exercice, Guy.

  58. Bernard-Henri Lévy dénonce une « pente du journalisme de caniveau et dont la défense ne saurait se dissocier de celle de l’esprit démocratique : gare à ces néo-inquisiteurs, ces mouchards, dont la prétention à la vérité ne fait que creuser le lit d’un type nouveau d’asservissement
    Wikipédia est une foule d’informations plus ou moins fausses et absolument pas fiables, je le savais déjà. Des preuves de plus mais surtout, pour vous lire depuis un certain temps, je trouve que cette petite saillie de BHL vous donne une encore plus forte crédibilité.
    Amicalement.
    Nina

  59. Si tu parles du Nouvel Econmiste, tu dis aussi que le Pierre Louis Rosynes y est, qu’il est le copain historique du taulier, Nijdam, et sa poule Tackaloff.
    Sinon, tu prends les gens pour des abrutis, et ça se voit.
    Grosso modo, le résumé de ton parcours, c’est une tentative improbable de briseur d’omerta, qui n’a pas fonctionné. Alors maintenant, il te reste à faire ce que tu as fait avec l’émission de Toussaint, tendre les fesses et y aller fort sur la vaseline – en principe ça paye bien. Mais avec son track record, ils te mettront toujours en 3 e u 4 e choix. C’est la vie, quand elle est ratée d’intermittent du pestacle.

  60. Mais non Yox, à l’époque de ce portrait, PLR n’était pas au Nouvel Economiste mais patron de Livres-Hebdo… C’est con hein… Le résumé de ton pauvre commentaire c’est qu’il tombe à l’eau. La vaseline je te la conseille donc. Quand le sage montre la lune, l’abruti n’est pas celui que l’on croit. Bien à toi.

  61. Vous savez ce que m’inspire ce parcours: c’est votre faculté à rebondir et aussi malgré les changements fréquents de poste à savoir préserver l’humain et de bonnes relations avec tous. C’est un don que j’aurais aimé avoir dans ma propre vie.

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3 Déc, 2012

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