La France d’à côté…

RENCONTRE

CASIERSC’était hier…

C’était hier…

(…)

 

8 Commentaires

  1. C’est très bien d’avoir laissé le mot de la fin à Woerth qui s’abrite derrière l’échec électoral du général de Gaulle, « grand emblème national », pour justifier que « la politique a toujours été décriée ». Ce qui montre parfaitement qu’il n’a rien compris, le renvoi de de Gaulle montrant au contraire qu’il y avait un intérêt supérieur qui commandait de dire non à de Gaulle, aussi personnage considérable qu’il était.
    J’espère qu’à France Info le journaliste a rappelé que Woerth s’en est sorti lors du procès de mamie Zinzin que parce que les éléments de preuve n’étaient pas suffisantes, les attendus ont bien montré que les juges n’étaient pas dupes.

  2. Finalement, pourquoi « d’à côté » ? La France, tout simplement, non ?

    Amicalement
    T.

  3. Parce que nous sommes à côté sans les voir alors que c’est la France.

  4. Qui nous?
    Faut causer en « je » là.
    Je serais en immersion totale dans le à-côté, et je l’ignore? Je ne comprends pas cette vision binaire qui me fait peur.

  5. NOUS les médias, c’est le sujet… Écoutez…

  6. J’adorerais entendre les réactions des élèves que vous avez rencontrés concernant la réponse d’Eric Woerth à votre question finale, y compris quand il fait référence à de Gaulle. Je pense qu’ils auraient quelques mots à ajouter à la liste qui définit pour eux la politique aujourd’hui…

  7. Et oui, ces enfants, nos enfants qui ont été aussi éduqués à ne plus croire ni respecter leurs parents par le biais d’un environnement éducatif qui les élève comme des consommables d’une société sans autres valeurs que celles de satisfaire à un calme consumériste.
    Comme vous le témoignez, ces “à côté” ont une triste vision de ceux qui sont censé leur proposer un avenir. Troublant quand même que cette actualité mondiale ou se mène une guerre de religion dans laquelle, quelques uns des ces “à côtés” pensent trouver un sens.
    Personnellement je suis troublé aussi de quelques similitudes dans cette actualité. Entre cette guerre faite de destruction du passé, de sépultures et de têtes qui tombent d’avec les ingrédients de notre chère Révolution.

  8. A l’écoute de votre chronique, je me dis qu’en fait, la banlieue et l’idée que l’on en a, n’est véhiculée que par les déclarations de police (faits divers) et celle des politiques, qui surfent sur l’inquiétude irraisonnée des actes de délinquances, amplifiés, pour justifier l’insécurité qui comme le chômage sont les tickets gagnants des urnes.
    Cette relégation étouffe toutes possibilités de voir t’entendre autre chose que ces images que nous avons tous de la banlieue, des « quartiers ».
    Se décentrer pour voir autrement, entendre autrement, cette chronique et l’initiative qui l’inspire est bien.
    réconfortante. Je souhaite que d’autres micros se tendent….

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