Rencontre

Book

Vous êtes attendus, le 7 avril…

Vous êtes attendus, le 7 avril…

(…)

RENCONTRE 

Guy Birenbaum

VOUS M’AVEZ MANQUÉ
Histoire d’une dépression française
_________

Soirée animée par son éditeur, Laurent Beccaria
_________

   MARDI 7 AVRIL A 19H

C’est l’histoire d’une dépression, de sa guérison grâce à un psychiatre, d’un homme qui se réconcilie avec sa vie et son histoire. C’est l’histoire d’un journaliste hyperconnecté, d’un faiseur d’opinion, d’un homme qui s’était perdu. Toujours le nez collé sur son écran, il avait fini par devenir une sorte de personnage dédoublé, avec une vie familiale et sociale en trompe-l’oeil, happé par le web.
Un mélange réussi d’histoire personnelle et d’essai politique, dans un texte enlevé, touchant et percutant.

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles
ATTENTION !!!
Réservation indispensable à info@27ruejacob.fr
Rencontre d’une heure, de 19h à 20h
Infos sur www.27ruejacob.fr
27 rue Jacob, 75006 Paris – 01 42 17 47 80

25 Commentaires

  1. J’y serai !
    Inscrite, je suis !

  2. on pourra faire une photo ?

  3. Quel dommage que le TGV soit si cher.

    Ferez-vous une ‘tournée des popotes’ en province ? (en Charente au hasard).

    J’ai fait 100 bornes pour voir Jean Teulé, j’en ferais 200 pour voir GB.

  4. J’ai envoyé une vraie demande de commentatrice de blog: un mail anonyme. Est-ce que ça va marcher?
    J’ai bien peur que le temps que je m’aperçoive que ça marche pas, il n’y ait plus de place. On verra.

    C’était super l’interview « le tube », vous seriez pas un peu du métier par hasard pour parler ainsi avec clarté, subtilité et rigueur?

  5. sacha, si je suis convié par un libraire en « province », j’irai 😉
    poisson, c’était très court…

  6. Aucun rapport: qu’est-ce que veut dire le « C » dans BC +tendance politique, des résultats de l’élection? Le B=binôme, mais le C?

  7. Je me suis inscrit dès la publication de ce billet. Pas reçu de réponse à ce jour.

  8. Il reste de la place

  9. S’ils ne répondent pas aux demandes d’invitation, effectivement, il restera de la place.

  10. Je peux difficilement faire plus que de vous inviter à les contacter.

  11. C’est pas grave. Du coup, la question que j’aurais aimé vous poser en privé, je vous la pose ouvertement (z’êtes pas obligé de répondre, surtout si c’est dans le bouquin, que je n’ai qu’à acheter). C’est une question double. Comment franchit-on le pas qui consiste à aller voir un psy. Est-ce qu’il a fallu du temps pour vous ?

  12. @ Varlin
    Si vous me permettez de répondre en attendant l’épicier…
    Les psys ne sont pas fait pour tout le monde et ne sont pas tous bons.
    La psychologie relève des sciences humaines et non de la medecine contrairement à la psychiatrie.
    Il n’y a pas de diplôme type de psychologie. Plusieurs formations parfois très différentes sont regroupées dans ce terme générique. Du moins en France.
    Je ne sais pas ce qui a poussé Guy à consulter mais je pense qu’il y a 2 déclics : Le regard de l’autre sur soi et son propre regard devant une glace.
    A cause d’un traumatisme dans ma prime enfance, j’ai développé une flopée de troubles du comportement.
    J’en ai bouffé du psy, au kilomètre. J’ai aussi goûté au psychiatre, aux longues séances où tel un gros chat un étranger vous observe en silence.
    Avec le recul, aucun psychologue et encore moins de psychiatres ne m’ont jamais soignée. Certains ont même altéré une santé mentale déjà vacillante, aggravant par certaines sentences une estime de soi quasi inexistante.
    C’est un médecin de campagne, pas franchement porté sur la branlette psychanalytique, qui m’a sauvé avec un psyché et 2 mots ( » Regarde toi »).
    Si mes parents m’avaient envoyé chez lui dès le début, ils auraient économisé un max de pognon.
    Donc mon petit conseil avant de se jeter sur le premier psychologue venu, aller voir son médecin généraliste qui pourra éventuellement vous orienter vers des professionnels de confiance.

    Ps: Tiens Guy passe sur Itélé dans la Matinale.

  13. moi quand j’ai fait la mienne je n’allais même plus sur le blog à Birenbaum tellement appuyer sur une touche d’ordinateur c’était l’Everest;Puis le rouleau compresseur ayant compressé, le regard étant retrouvé( le pire c’est les yeux qui peuvent encore parler mais il faut voir comment..)on peut à nouveau se déplacer dans le temps, dans la tête et on sait qu’on est guéri.
    Paris, c’est beau mais c’est loin, mais Avril c’est près même en Mars, donc oui, le cauchemar c’est derrière:)))

  14. ça fait plaisir de vous savoir en bien meilleur état.
    j’ai hâte de le lire.

  15. Varlin, on franchit le pas quand quelqu’un parvient à vous faire comprendre que ce n’est plus possible autrement. C’est une partie importante du livre.

  16. Merci Guy. Je me doutais un peu que ce genre de questionnement était dans le bouquin. J’irais y voir. Ce quelqu’un, qui sait, c’est peut-être vous pour un tas de gens qui n’ont pas déjà « quelqu’un » ?
    Au passage, j’ai reçu confirmation pour la soirée du 7. Merci Les Arènes.

  17. Marrant le nouveau clip de Stromaé.

    Il entre en résonnance avec votre livre.

  18. Bonjour
    vous êtes enfin de retour
    merci pour l’extrait de P LABRO
    J’ai hâte de lire votre livre
    Du coup, je vais acheter les 2

  19. Tiens, GB aux Grandes Gueules de RMC lundi !

    J’aimerais bien vous voir face à Caron…

  20. Sacha je ne décide pas d’où je vais, les émissions décident. Les auteurs peuvent refuser.

  21. Je le trouve raté le dernier clip de Stromae. Il tue toute la subtilité de la chanson qui parle d’amour et ne semble pas être un règlement de compte envers twitter. Croire qu’il suffit de s’en prendre à l’oiseau, c’est envisagé dans la chanson, d’une manière qui laisse penser que c’est ce qu’on se raconte pour sauver sa peau.
    Et la chanson finit par:
    « un jour tu verra on s’aimera mais avant on crèvera tous comme des rats. »
    C’est pire qu’implacable, et ça va au delà d’une attaquounette envers twitter ce que tout le monde a l’air de voir dans le clip.

  22. Débriefing :

    Le coup de pied de l’âne à JJ Bourdin, sur l’antenne de RMC qui plus est, fallait oser !

    Par ailleurs, vous avez raison, Le Pen est un jukebox dans lequel il suffit de mettre une pièce…

  23. @Poisson
    Concernant Stromae, le texte est indéniablement bien ficelé et le clin d’oeil à Carmen et son oiseau rebelle très bien trouvé. Ce mec est doué que ce soit sur le plan artistique, médiatique ou marketing.
    Je le considère comme un artiste complet qui a intégré les codes de son époque.
    Je ne pense pas que l’oiseau obèse représente seulement Twitter.
    C’est la société de consommation, l’hyper individualité, l’immédiateté et la virtualité du lien social, du sentiment qui sont mis en cause.
    Twitter n’en est que le porte-voix, un outil qu’on manipule et qui nous manipule. C’est un symbole du néant dans lequel peut entraîner la virtualité du lien social sur internet.
    Enfin, c’est comme cela que je perçois le dessin de Sylvain Chomet (qui a réalisé entre autres « La vieille dame et les pigeons » et « Les triplettes de Belleville).

  24. Avant de venir ce soir, je voulais juste partager mon prosélytisme par une copie de ce post sur ma page Facebook fait il y a quelques jours, accompagné d’un lien vers le billet qu’a posté William Réjault sur son site :

    « En train de lire « Vous m’avez manqué, histoire d’une dépression française » de Guy Birenbaum (Ed. Les Arènes). Je ne saurais dire à quel point cela me touche, à quel point je vois des similitudes, des parcours parallèles, à quel point je me sens semblable malgré nos histoires (très) différentes. C’est un grand livre, impudique et sobre, sombre et gai à la fois. Je rejoins vraiment William Réjault , il faut le lire et se laisser porter par sa force. (Lui dit « il faudrait », moi je ne vous laisse pas le choix, notez…)
    Une dépression, c’est la maladie qui nous recentre vers la vie, qui nous fait réaliser ce que c’est de vivre. Et on redémarre, cabossé mais changé, conscient et prêt à être vraiment heureux. Je l’ai compris il n’y a pas si longtemps et ce livre me montre que je ne suis pas le seul. Merci Monsieur Guy d’avoir mis vos mots avant les miens. »

  25. La dame : « je suis quand même étonnée, deux mois à peine entre le début et la fin de votre dépression… »
    L’auteur : « mais madame, là je parle de la crise, j’étais certainement malade depuis des années! »
    La dame :  » ah, ok : là, ça me rassure! »

    Éclat de rire (généreux et bienveillant) dans la salle.

    Merci pour cette présentation! Et bravo à Laurent Beccaria, impeccable et humain, qui va dans le réacteur nucléaire du livre presque sans passer par la case « internet », « réseaux sociaux », « twitter » etc. Chapeau!

Trackbacks/Pingbacks

  1. Profils réseaux sociaux: Bientôt sur les pierres tombales? …. | Netité - [...] Exit l’intimité et Gloire à l’Extimité! De nos jours, l’État civil se rapproche de plus en plus de l’identité…

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

27 Mar, 2015

Épicerie ouverte

Prenez votre temps…

Conserves

Images

« Y’en a un peu plus, je vous l’mets quand même ? »

Miller, les juifs, la France, la morale, le fond et la forme

Miller, les juifs, la France, la morale, le fond et la forme

Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...