Il n’était pas question pour moi de passer à côté de cette journée de la femme (ou des femmes ?). Mais, étant notoirement incompétent sur ce sujet (presque autant qu’en politique internationale…), j’ai – lâchement – décidé de demander à une femme de prendre ma place et d’écrire aujourd’hui.
Mon invitée se nomme à la fois Perséphone et Ioudgine. C’est Mry qui m’a permis de la connaître, puis de la rencontrer. Et depuis, je la lis, chaque jour, sur son blog (c’est ici). En espérant qu’elle va – enfin – finir par écrire le(s) livre(s) qu’elle a dans les tripes…
Il n’était pas question pour moi de passer à côté de cette journée de la femme (ou des femmes ?). Mais, étant notoirement incompétent sur ce sujet (presque autant qu’en politique internationale…), j’ai – lâchement – décidé de demander à une femme de prendre ma place et d’écrire aujourd’hui.
Mon invitée se nomme à la fois Perséphone et Ioudgine. C’est Mry qui m’a permis de la connaître, puis de la rencontrer. Et depuis, je la lis, chaque jour, sur son blog (c’est ici). En espérant qu’elle va enfin finir par écrire le(s) livre(s) qu’elle a dans les tripes…
(…)
Lorsque Guy Birenbaum me propose d’être la première invitée de son tout nouveau blog, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, en plus d’être flattée je trouve cela cohérent, rapport à mes ovaires et à ma cyclothymie gonzessiforme. Et puis comme j’ai encore jamais bossé dans une épicerie, je me dis que c’est une bonne occasion de remplir la case Expérience Professionnelle de mon CV.
Depuis quelques jours, j’y réfléchis beaucoup, à cette Journée, ça me fait gamberger sur… comment appelle-t-on cela déjà…? Ah. Oui. Ma condition de femme. Attendez, je le répète mais avec des majuscules, pour rendre le bouzin impactant: Ma Condition de Femme.
Je suis remontée à bloc. Je suis Femme, me répète-je en gonflant la poitrine et en tendant cet imposant 85B (oui, bon… A et demi), symbole convexe de ma féminité vers le monde hostile. Je suis prête à affronter cet univers masculin qui m’opprime et me considère comme un bout de viande décérébré qui fait la bouffe et le ménage habillé en nuisette.
Alors je décide de me vêtir comme un tapin, pour provoquer tous ces sales porcs d’hommes et avoir l’occasion de les rabrouer d’un puissant laïus que je mettrai au point sur le moment, avec verve, passion, et mots vachement compliqués qui pètent grave. Donc je m’habille comme si j’avais pas les moyens d’acheter des fringues à ma taille, et parfais ma silhouette en chaussant des talons vertigineux pas vraiment étudiés pour se déplacer sans choir.
Je marche dans la rue, je croise des hommes, RIEN, pas un regard ni le moindre sifflet. Je prends le métro, pas l’once d’une remarque déplacée, absence de coups d’oeil lubriques, malgré mon petit show sur la barre centrale. Je me dis, merde c’est pas possible, ces hommes ont sûrement un grave problème. Je sors du métro, au ralenti et en lançant mes cheveux, sans provoquer de quelconque réaction masculine. Je déambule sur les Champs en laissant mon manteau nonchalamment entrouvert, RIEN, mais j’ai super froid. Alors je ROULE DU CUL jusqu’au lieu de mon rendez-vous, QUE DALLE si ce n’est que je me bloque une vertèbre.
Je me rends dans un café où je dois rencontrer ce type qui souhaite m’exposer un projet pour lequel « mes compétences rédactionnelles seraient appréciées ». Il a tourné la chose ainsi dans son email, mais je ne suis pas dupe. Je le repère rapidement à une table isolée, car il ressemble vraiment à son avatar, même que je trouve ça suspect. Je m’assieds face à lui et laisse tomber le manteau en le regardant droit dans les yeux, qu’il a rivés sur son écran d’ordinateur. Les présentations faites, alors que le serveur s’approche de nous, d’une voix aimable, il me demande:
– Un Perrier tranche ? Un thé ?
Je commande une pinte de Picon Guiness.
Il est 14 heures.
Le gars me parle du boulot depuis vingt minutes, en me montrant parfois un PowerPoint criard plein de graphiques auxquels je comprends rien, lorsque je l’interromps.
– Ça a l’air tellement crédible quand vous racontez…
– Pardon ?
– Votre histoire de job, tout ça. Vous avez bien bossé votre baratin, on y croit.
– Je… ne comprends pas. Il y a un point sur lequel vous souhaitez que je revienne ?
– Oh ça va hein. Vous voulez me basculer, me casser les pattes arrières, me passer dessus, on sait bien… Nous sommes adultes.
– Mais non ! Perséphone vous faites erreur !
– Bien sûr que non, j’ai toujours raison !
– Je… Vous vous méprenez sur mes intentions ! Elles sont purement professionnelles…
– Quoi ? Tu me trouves grosse ?
– Mais non vous êtes très bien…
– Ben voilà, c’est ce que je disais, vous en voulez à mon cul !
Je le sens gêné, sûrement parce qu’il est troublé que j’ai vu clair dans son jeu et démantelé son plan drague si perfectionné soit-il (avec le PowerPoint chiant, j’ai FAILLI y croire).
– Je dois y aller, balbutie-t-il en refermant précipitamment son laptop.
– Oui oui et puis dans 5 minutes je vais recevoir un sms, « rejoignez-moi à l’hôtel Palma Porte Maillot »… On me l’a déjà faite !
– Mais vous êtes…
Il ne termine pas sa phrase et me dévisage bizarrement tout en fouillant fébrilement dans ses poches à la recherche de monnaie. Il joue bien le gars choqué je trouve. Mais je ne me démonte pas et l’achève.
– Oui oh ça va, arrêtez votre cinéma, je connais la musique. ça fait partie de mon quotidien, de ma Condition de Femme ! Et laissez, c’est pour moi.
Il se barre en silence. Je termine mon Picon Guiness, seule, en marmonnant que ce porc a eu tout ce qu’il méritait. Le serveur m’apporte l’addition. ‘Tain mais c’est vachement cher… Tu m’étonnes que les types réclament le droit à coucher le premier soir, à ce tarif…
Cliquez sur la page 2…
clap clap clap !!!
MDR. Trop drôle le ta gueule des pack d’eau.
Quel talent ! ces 2 hommes, Mry et GB qui vous ont découvert, sont vraiment très doués! )
Bonne journée à toutes les ioudgine !
Le Picon guiness….ça se boit?..ou c’est un truc anti douleur?
Moi je suis une femme né le 7 mars donc chaque lendemain de fête, je me tape cette journée de la femme dans la face.
La journée de la femme, en fait, c’est une journée de l’homme déguisée finalement.
Perso, dans le réel féministe du quotidien, je ne rencontre jamais les hommes croisé sur internet.
Le mieux c’est de s’en tenir aux fille et aux homo. D’abord ils sont plus drôles et forcément, ça ne pose aucun problème ni aucun doute et en plus vraiment, on se marre plus dans le réel avec des filles et des homos qu’avec des hétéro.
Les filles et les homos sont construits pour comprendre. Les hommes hétéro, on les prend que pour se reproduire ou pour faire semblant de.
Ils sont utiles mais bon sinon, ils sont vite chiants.
Les hommes de la toile inclus. Et en plus, les hommes hétéro de la toile, c’est connu sont de potentiels : serial killer, violeur et dragueur. Ou fou au sens harcèlement du terme. Quand ils ne sont pas pédophiles.
Là je me suis inscrite sur un site de rencontre pour m’amuser et j’ai déjà donné 19 rendez-vous lapins. C’est super chouette comme jeu. Après je vais sur un forum foutage de gueule où pleins de filles sont là pour justement faire pareil que moi. Parfois on drague le même mec du même site sans qu’il le sache et on lui demande donne un rendez-vous le même jour. S’il chois la copine, elle gagne trois points. et si c’est moi, c’est moi qui empoche les 3 points.
Le but : arriver à 69 points et quand on a les 69 points on obtient un diamant virtuel. Un posage de lapin = 4 points.
Sachant qu’à long terme on peut aussi se fabriquer des colliers etc.. Et la grande gagnante, elle a une couronne sertie.
Ombres et lumières
Les hommes adorent les tapineuses…la nuit sous la lumière discrète d’un réverbère.
Avec toutes ses caméras la libido c’est elle aussi mise sous surveillance…
Et puis avec machine truc qui écrit sur tout ce qu’elle saute dans paris le mec m^me le plus hardi se méfie quand il croise une plume.
Allez Persephone le prochain rendez vous habillez vous en Marie Charlotte de neuilly…Façon belle de Jour les hommes croient encore au charme discret de la
bourgeoisie (la grande muette). Ou sinon vous pouvez tenter le style femme de chambre…pour votre journal.
Revenez plus souvent….
PS j’ai bien aimé l’image du show sur la barre d’une rame de métro….clap clap
Oui les hommes sont ( le plus souvent ) des gros porcs et des gros cons, et la fréquentation des filles est assurément plus divertissante ( pour les homos, je suis pas convaincu, en dépit de mon coté lesbien ), mais il faut quand même bien observer que « les temps qui courent » ne les en dissuadent guère.
Et nos polémistes du jour ( et de l’épicerie) ne me semblent guère dépasser le niveau moyen des poncifs habituels .
Je les invite donc à (re)lire « Trois femmes puissantes ».
Pour info :
http://www.dailymotion.com/video/xbdump_d%C3%A9bat-sur-les-violences-%C3%A0-l-encontr_news
Au fond, nous ne sommes que paradoxe. Nous avons encore tant à conquérir, et l’on voudrait, pour autant, ne rien perdre.
Merci à Perséphone d’avoir choisi de « fêter » cette journée sous cet angle.
Sans nier l’absolue nécessité d’acquisition, encore et toujours, d’égalité de droit, de traitement etc, etc, les « réajustements » relationnels sont aussi à construire.
Enfin, je crois….
Message de service…
Plus de pb pour poster des liens,la barrière est tombée.
Aucun commentaire à propos de ma têtière… Tout se perd.
Ego mon bel ego
« Aucun commentaire à propos de ma têtière… Tout se perd. »
sourire…Guy c’est pas facile finalement de laisser sa page une petite crise de narcissisme ?
On la commentera demain
🙂
Et nos polémistes du jour ( et de l’épicerie) ne me semblent guère dépasser le niveau moyen des poncifs habituels .
::::::::::::
@urbain
Et pourquoi vouloir dépasser les poncifs habituels ? Ca set à quoi ?
Deux pas en avant sur le peuple et vous voilà déjà traité de fou, bon à enfermer.
Non merci. Pas sur un blog.
L’histoire a déjà été joué.
Quant au texte de Perséphone, il est super drôle. Pas la peine de vouloir chercher plus loin. Moi en buvant mon cacao ce matin, j’ai failli tout recracher de rire au moment où le mec l’a suivi parce que c’est un méchant stalker qui va la tuer.
Ca m’a trop fait penser à mon quotidien. Lol.
Traquer le monstre derrière le rideau qui fait une ombre pas possible et découvrir qu’en fait c’est juste une microaraignée qui pond son micro-oeuf dans la toile. Trop drôle. 😉
Que voulez-vous dire après un texte aussi stérile ? Elle accumule les poncifs sur les hommes, sur les femmes. Si elle associe une hauteur d’escarpins à du tapinage, elle est aigrie. Célébrer la journée de la Femme sur un blog qui se veut brancher est incongru. Guy a pris quinze ans d’un seul clic.
Esther dit : 8 mars 2010 à 11h12
CQFD
( on dirait du Josyane Savigneau )
le modérateur étant revenu de sa sieste dominicale, j’en profite pour actualiser le lien ( sur la journée de luette contre les violences à l’encontre des femmes )
dailymotion ayant bidouillé son site, ce lien marche nettement mieux :
http://betaplayer.dailymotion.com/video/xbdump_d%C3%A9bat-sur-les-violences-%C3%A0-l-encontr_news
Ben moi j’réclame plus de Persephone, même en promotion. D’autant plus qu’avec la carte de fidélité du magasin on peut choisir ce que l’on veut.
Célébrer la journée de la Femme sur un blog qui se veut brancher est incongru. Guy a pris quinze ans d’un seul clic.
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GB se veut « branché » ? MDR.
Le pauvre, il lui faudra d’abord une autre vie et surtout d’autres pulls dans l’autre vie.
Lovely, GB a jamais voulu être branché ! MDR. Vous l’avez bien regardé ?
Ah c’est vraiment une poupée de filles ce GB.
Toutes les filles qui projettent grave sur lui tout et n’importe quoi.
Lovely qui l’imagine dans un délire branché quand même, ça, c’est le pompon.
Moi y’a deux ans, je m’imaginais qu’il faisait sans doute parti des RG ou un truc comme ça et qu’il allait vouloir fouiller mon ordinateur pour vérifier si j’avais des liens avec… Comment on disait à l’époque ? « L’ultra gauche ». LOL.
Très drole.
Chez moi, pour la journée des femmes (enfin surtout de la mienne), je fais tout… Le ménage, la vaisselle, la lessive, la cuisine… tout je vous dis!
– Pardon ma… bibiche? Comme tous les jours… euh! oui!
Moi j’ai une femme d’extérieur, comme disait Jean Lefebvre dans « Mais où est donc la 7ème compagnie » (chacun ses références, il y en a ce sont les philosophes grecs). Alors la journée des femmes pffff… ouais mais… Enfin bref! c’est pas tout ça, mais j’ai la vaisselle à finir moi.
Bonne journée à toutes les femmes… (murmure)sauf la mienne, faut pas déconner quand même!
Ceci dit c’est sur que c’est un gros fouilleur…
Bon ben va falloir que je me mette à PowerPoint maintenant… c’est ça ?
Richard trois vous avez vu vous êtes plus dans les invités du post 🙁 Et moi vous êtes ma première lecture du matin.
Alors comment je fais ?
Ah si je viens de vérifier et vous êtes revenu en invité du post.
Ceci dit depuis que Guy Birenbaum a quitté lepost, moi, je lis plus lepost.
Pas assez branché… :-/
Chouette texte, si on a plein de pépites comme ça, ca va être un régal.
Bon sinon c’est moi ou j’ai l’impression que Perséphone est victime d’une reconstitution de ligue DEL-issoute ?
(Je me mets au fond à côté de la caisse enregistreuse, je regarde, je savoure , good old time)
Mouais… très très moyen, pas même souri une fois.
Vous êtes dur Mike avec les jeunes journalistes.
Moi je le trouver drôle son texte.
Quand j’avais douze ans, je lisais « 20 ans » et dedans y’avait des histoires un peu comme ça de loser girl.
C’était sympa à grignoter l’été. Enfin « 20 ans », j’ai jamais aimé, j’ai jamais compris le délire. Ca me dépassait.
Moi j’avais trouvé des vieux ok magazines de 76 et des salut les copains de 196.. dans une poubelle à la sortie de mon école. Un sac poubelle entier !!
Aussi des journaux genre « girls » avec des vrais romans photos pour teen.
Nettement moins poseurs.
Plus naïf. Donc plus sain.
Et puis le courrier des lecteurs et le dr je sais plus qui Tobias (??) qui venait expliquer la sexualité aux jeunes. Super.
Je suis étonnée que Lovely aime pas ce qu’à écrit Perséphone. Pourtant ça fait bien presse féminin. C’est un peu la même culture que Lovely finalement. Ca devrait s’entendre normalement tout ça.
Bravo. Il est très drôle votre texte et très vrai aussi. D’ailleurs, j’en profite pour signaler aux hommes de l’assistance que leur condition s’est vraiment améliorée depuis que la femme porte les packs d’eau et ingurgite des picons guiness !
Déjà lu Perséphone, et toujours avec sourire et plaisir.
Alors, j’ai pensé à ce film en lisant son texte.
« L’ Homme qui aimait les femmes – François Truffaut »
http://www.youtube.com/watch?v=3jwmrEHKHtY&feature=player_embedded
De mon point de vue, ce n’est pas vraiment flatteur pour les femmes, mais à visionner et écouter pour le plaisir de revoir Charles Denner !
Mais est-ce que ça a vraiment changé depuis ce film et ces années-là (70-80) ? Les femmes ne sont-elles pas toujours et encore, seulement considérées comme un « obscur objet de désir » par une majorité d’hommes ?
PS : merci à GB et Urbain à propos du problème des liens.
Excellent, comme toujours!
L’épicier a raison: LE LIVRE, LE LIVRE!!!
J’adore aussi la photo, très à propos, qui exprime très bien quand on est une femme et qu’on voudrait l’être un peu plus…
Ah, c’est marrant moi la photo m’a fait penser à un gros glandeur qui fait semblant de « réfléchir » à la condition des femmes tandis que sa femme dans la vie réelle s’occupe des trois gosses, fait le ménage, nettoie le lave vaisselle et fait à bouffer.
Un gros fake quoi.
@nomad.soul
Je trouve que la condition des hommes a changé avec l’émancipation des femmes. Le film de Truffaut parle de liberté sexuelle, pas d’émancipation des femmes. L’homme n’est plus obligatoirement viril. On lui accorde d’être petit, sensible, homosexuel à présent qu’on accorde à la femme de porter un jean et d’avoir les cheveux courts.
Zemmour s’en défendrait et pourtant !
Isabelle,
J’adore votre style et vos réflexions.
Je les trouve très vraies et très pertinentes. Pardessus tous les cyniques et les beaufs, ce que j’aime sur internet c’est rencontrer des gens comme vous. Ca me parle beaucoup. C’est frais.
Vous êtes très originale, vous devriez écrire un livre. Y’a quelque chose chez vous de très proche de réel.
… journée de la femme, journée de la femme, ça frise l' »ovaire dose »*, là. Même, vous, Guy, vous vous y mettez! 🙂
Je propose de rebaptiser cette journée, la « journée du lynchage des mâles ».
Charles.
* Pour faire écho à votre têtière, Guy.
« Picon Guiness », franchement, sans vouloir jouer les mysogines, il y a des baffes qui se perdent, des fois…
Isabelle
Je parlais de la scène mise en lien (si vous l’avez regardé?), pas de tout le film. Simple ressenti que j’ai eu en lisant le texte de Perséphone !
Je ne faisais pas un exposé sur des thêmes sociétaux ou une critique de film, c’est pas mon truc ! Je marche au ressenti, aux associations d’idées, suis pas intello du tout, ce qui ne m’empêche pas d’aimer réfléchir aussi. Mais là, en l’occurrence, j’avais juste envie d’un effet miroir. Voir du point de vue d’un homme et de la place du désir entre eux et les femmes et je ne pense pas que ça ait beaucoup changé de ce point de vue là, malgré des progrès évidents sur la condition féminine, le regard des hommes sur les hommes, etc… 😉
Quant à cette affirmation « L’homme n’est plus obligatoirement viril. On lui accorde d’être petit, sensible, homosexuel »…
Hum ! Heu je ne crois pas non ! De nouveaux droits peut-être, mais dans la tête de beaucoup, les mentalités n’ont pas beaucoup évolué. Et pire, je crois même qu’il serait bien imprudent de ne pas penser qu’un jour, ces mêmes droits soient à nouveau remis en question, voire supprimés. Malheureusement, nos sociétés, nos mondes, n’évoluent pas de façon logique, et forcément dans le sens du progrés. Il y a des rechutes, des régressions toujours possibles ! Surtout quand le religieux revient en force dans les débats publics et politiques.
Je propose de rebaptiser cette journée, la “journée du lynchage des mâles”.
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Très phallocentrée la remarque.
nan mais sérieux ! (Et je l’ai épluché son blog )
c’est quoi cette histoire de 800 heuros le costard pour se présenter à un entretien d’embuche, Perds ses jeans, m’enfin, comment voulez-vous que la France d’en bas se reconnaisse en vous ?
Elle a une plume fraiche, certes, mais c’est un peu comme voir la France d’en haut par un petit trou de la lorgnette, d’ailleurs à 800 euros c’est plus un trou, c’est un fossé infranchissable !
Nul. Du genre magazine pour « jeunes femmes urbaines et branchées ». Une longue série de clichés… et c’est tout.
Vivement demain.
Et bien moi aujourd’hui pour fêter ça, j’ai changé les roues de ma moto.
http://www.afamclassic.com/
j’ai bon?
Où il y a Eugène il n’y pas de plaisir et c’est tout le contraire avec Ioudgine.
Le livre!le livre!le livre!
@ Augustin… Ce texte est nul. Ma chronique d’Europe 1 ne vous plaît pas. Bah alors, faut pas rester ici mon bon… Vous vous êtes perdu ?
Nonolimit superbe
Moi, j’ai une Laverda 1000 de 74 !
J’ai changé aussi une roue. Je l’ai remise en état tout l’hiver. Nettoyage des carbu au vinaigre chaud. Résinage du réservoir, Peintures. Le hic c’est que déjà je suis en train d’en fantasmer une autre. C’est sans fin. Là je regarde sur un site de vente , y’a une triumph T140 de 78. J’hésite, j’ai un peu peur sans démarreur électrique… Je suis trauma quand j’étais adolescente j’avais une 50 comme ça et j’ai du trop longtemps la faire démarrer en courant. Trop chiant !
La Guzzi 850 de le mans, j’arrête pas de la regarder aussi. Elle a un moteur bi cylindre comme j’aime vraiment,y’a du couple elle est super agréable avec une puissance bas régime un régal.
Et en moto cross la uskevarna toute hallu avec son réservoir en cacahuète. J’ai un blog moto aussi. Bon je file. Faut que j’aille me maquiller.
nonolimit
Husquevarna en parlant de ça votre moto c’est une triumph ???
J’arrive pas à voir, elle est sublime en tout cas ! Love
Ce qui est amusant dans le discours des femmes sur la défense des femmes, c’est toujours la somme des clichés sur le masculin. Un peu comme si on expliquait nous, que les femmes ont des cheveux longs et des jupes et que c’est à ça qu’on les reconnait !
:-))
Badlove
oups! Je vous ai orienté vers une mauvaise voie, je n’ai malheureusement pas de moto. C’était juste un petit clin d’oeil pour illustrer à ma manière la journée de l’afam.
J’aime beaucoup votre description de la Guzzi 850. En étant un peu malicieux, cela pourrait donner.
« les femmes, j’arrête pas des les regarder, elles ont un moteur bi-cylindre comme j’aime vraiment, en couple elles sont super agréables et quand elles ne font pas de régime, c’est un régal. »
En toute amitié, j’aime les gens passionné.
@Monsieur Poireau, sans vouloir vous resservir en vinaigrette, le second degré n’atteint pas l’employé de bureau de 30-40 ans qui travaille à La Défense et s’habille en costar noir avec une chemise bleu pétard.
@nonolimit
♥