Ah non alors, on ne s’en fout pas !

météoblog

À peine rentré et déjà de méchante humeur…

À peine rentré et déjà de méchante humeur…

(…)

Il y a des classiques.

Des figures imposées.

Des trucs qui ne se loupent pas.

In-con-tour-nables.

Le jour de la rentrée des radios, je me jette sur le blog de notre ami blogueur Jean-Michel Aphatie, pour voir dans quelles dispositions d’esprit il se trouve.

C’est un excellent thermomètre pour la suite de la saison.

Et là, aujourd’hui, je vous avoue que je suis inquiet.

Comment ose-t-il ?

Comment peut-il ?

Comment, surtout, en est-il déjà arrivé à ce niveau d’exaspération alors que nous ne sommes que le 22 août ?

Vous vous demandez ce qui provoque ma stupeur, mon indignation, ma consternation ?

Il s’agit de la première phrase assassine et courroucée de son premier billet de la saison :

« Mais que s’est-il donc passé cet été ? La pluie en août ? Non, on s’en fout. »

Alors là désolé Jean-Michel, mais s’il y a bien un sujet dont « on » ne se fout pas du tout, c’est bien celui là !

Pourvu, pourvu que Jean-Michel ne file pas un mauvais coton…

 

34 Commentaires

  1. Ouais, enfin, tu as omis sciemment la phrase qui t’as le plus faché dans son article. (Personnellement, c’est le tout qui m’a bien gonflé.)

  2. ah bonnnnnnnnnnnnnnn 😉

  3. Surtout que sans la pluie en juillet aout ,on aurait en plus l impot secheresse….seuls les plus de 50 ans s’en souviennent

  4. J’aime bien jean-michel, à peine arrivé il se donne de la peine qui fait peine à voir. Ben oui, Schneidermann-Cohen mais lequel Elie ou celui de gauche qui parle par expérience de son métier. Pour le soleil tous les jours, même la nuit, et rarement commiquement faible, il y Ruth Elkrief. Ruth est ma journaliste préférée depuis que je suis tout petit.

  5. Non non mais il a raison, totalement. Oublions la dette, c’est une connerie, une invention libérale, dépensons à foison, c’est bon pour l’économie (je dirai ça à mon banquier lorsqu’il appellera pour mon découvert).

    Nan puis la pluie on s’en fout, tant qu’elle n’est pas radioactive…

  6. Il est malade avec « la pensée Schneidermann-Cohen » le père Apathie ?

    Déjà rentré de vacances alors qu’on le voudrait en retraite…

    D’un autre côté Daniel l’a quand même traité (à juste titre) de « Salaud, larbin, laquais »…

    Et en même temps quand cette triple buse daube sur la dette il a un brin raison : là on est à 320 km/h, face au mur qui est à 40 mètres. Pas certain que les freins suffisent !

    Et il est bien vrai que, en se posant parfois quelques questions, une grande partie des commentateurs n’a pas vraiment vu venir le crash… Et surtout n’a jamais songé que la seule solution aurait été de réduire les dépenses de près de 50% (j’insiste : il fallait réduire les impôts et rembourser la dette existante pour se libérer de son fardeau qui bouffe en intérêts seuls la totalité de l’impôt sur le revenu…)

    Seulement il aurait fallu du courage pour le dire !

    Et c’est ce qui manque le plus aujourd’hui, le courage. On sait hélas ce qui arrive ordinairement aux pleutres !

    Bon ! Haut les cœurs, on n’est pas encore morts… Peut-être trouverons-nous quelque temps encore des ahuris qui prêteront pour payer nos larbins, policiers, gendarmes, contrôleurs des impôts, bureliers accrochés à la machine à café et autres indispensables petites personnes pour une vie en société harmonieuse.

    Ou pas !

    En prime une Une du Fig qui déchire un peu (en cliquant sur mon nom)

    PG

  7. Il est cinglé ce mec là… et la pensée de Stiglitz-Roubini-Jorion-Lordon il en dit quoi ?

  8. À propos de pensée (même si les vacances ensoleillées sont un sujet passionnant, sauf que pour ma part je les prends en Asie du Sud Est, en hiver) mais d’un autre côté ça va devenir crucial parce que 12 mois de vacances par an – qui nous pendent au bout du nez – il vaut mieux qu’il y ait du soleil, autrement on risque la déprime…

    Voici un texte de Jean-Louis Guigou (le mari d’Elisabeth, bien entendu) économiste de très haut vol :

    La révolte des abeilles contre les frelons

    (Jean-Louis Guigon Tribune dans le Monde du 18/08/11)

    Dans le monde des insectes, les abeilles travaillent et produisent du miel, tandis que les frelons, grands prédateurs, leur sucent le miel et les détruisent.

    En économie, depuis la nuit des temps, les hommes n’ont trouvé que deux façons d’acquérir des ressources : prendre, comme le fait le frelon, ou créer, comme le fait l’abeille. En économie, les abeilles sont celles qui produisent de la richesse et de la valeur ajoutée : agriculteurs, monde de l’industrie et des services à la production, finance dédiée à l’investissement productif. Les frelons, en revanche, sont des prédateurs. Les plus connus, ce sont les rentiers qui exploitent et spéculent sur les richesses naturelles ou qui bénéficient de monopoles par les importations, la construction, etc.

    Dans les pays arabes et africains, ces prédateurs sont encore très nombreux. Mais s’ajoutent, en Occident, des prédateurs nouveaux, très virulents, qui opèrent soit dans la manipulation de l’information, soit à travers la dérégulation financière.

    Au Sud, comme au Nord, les frelons prédateurs tirent leurs revenus exorbitants non pas de la production-création-innovation, mais de leur proximité avec les pouvoirs politiques, par la corruption, en prenant directement dans les caisses de l’Etat, comme de nombreux dictateurs arabes et africains.

    Ainsi, la crise actuelle du groupe Murdoch en dit long sur la capture de l’Etat opérée par des groupes privés et sur le rôle décisif de l’information pour détourner les populations des enjeux réels. De même, par avidité et court-termisme, l’économie financière qui a infléchi à son avantage les règles du jeu plonge le monde occidental dans la crise, la ruine et le déclin. Dans les pays émergents prévalent les abeilles. Ce sont elles les grandes gagnantes de la mondialisation, de par leur appétit pour l’industrie, tandis que l’Occident, depuis trente ans, n’a fait qu’accumuler de la richesse virtuelle, qui peut partir en fumée en une nuit de panique boursière.

    Deux exemples : pour 1 % de « banques abeilles » qui financent encore l’activité de production de richesses existent 99 % de « banques frelons » qui capturent les politiques pour déréguler la finance et nous vendre des produits dérivés inutiles – des milliards de produits toxiques – et de la spéculation instantanée. Autre exemple, « l’esprit frelon » envahit même nos grandes écoles, puisque plus de la moitié des élèves de Polytechnique se destinent aux métiers de la finance.

    Partout dans le monde, les abeilles travailleuses se révoltent contre les frelons prédateurs qui les exploitent. Un lien très fort de parenté unit les « printemps arabes », les « indignés » de Madrid, les révoltés d’Athènes, les insurgés de Tel-Aviv, et même les casseurs de Londres. Tous veulent vivre de leur travail et retrouver leur dignité. Partout dans le monde, les abeilles, agriculteurs, artisans, taxis, jeunes diplômés, artistes, chefs d’entreprise, ouvriers, clercs, etc. osent affronter dans la rue le monde des frelons prédateurs : les dictateurs, le monde de la finance, les rentiers en tout genre, les privilégiés, les oisifs, tous ceux qui vivent assis devant leur « péage » (« gate keeper business ») à attendre que les ressources des abonnés à tous les services possibles leur envoient le prix de leur abonnement où de l’accès au service.

    En finir avec les dictateurs des pays arabes, en finir avec les politiciens grecs corrompus, en finir avec les spéculateurs immobiliers espagnols, en finir avec le gouvernement israélien, qui privilégie inutilement la guerre, en finir avec les prédateurs qui se réfugient à Wall Street et dans la City ; partout, et dans tous les pays, c’est la même lutte : contre la dictature politique, au Sud, et contre la dictature financière, au Nord.

    Ce que la crise en Occident met à nu, c’est un système dévié, bâti sur le virtuel, loin des grandes innovations. Emerge un désir de nouveau modèle économique et social, avec plus de production de biens, d’ingénieurs, d’industrie, d’agriculture et de vision à long terme, plus de travail pour les jeunes et les moins jeunes. Il est encore temps pour la France et l’Europe de redresser le cap.

    Il serait injuste de demander aux abeilles de travailler plus pour réparer des dégâts occasionnés par les frelons du système financier qui ont réussi à imposer le maintien du système (produits dérégulés, agences financières impériales, dettes souveraines à leur merci…) aux politiques, qui plient devant ces nouveaux monstres qu’il faut sans cesse « rassurer ». Mais qui s’occupe de rassurer les chômeurs, les ouvriers, les industriels ? Une solution : traquer tous les faux métiers que les frelons ont investis, toutes les niches proches des pouvoirs politiques où ils prospèrent, et taxer tous ces acteurs improductifs. Mais aussi regrouper toutes les abeilles et rejoindre leur révolte contre les frelons.

  9. J’ai bien dit GUIGOU !

    PG

  10. Patrice Guyot,je pense, je, ça me rapelle Lacan, que vous avez de très saines lectures. C’est pas comme Elisabeth.
    Mais il faut la comprendre, elle reste perturbée d’avoir été trop longtemps la mouche du coche. (sans contrepétrie) d’abord jospin l’était toujours dans l’ether.
    J’en profite pour vous remercier de vous faire chaque jour haute violence pour lire la première du figaro, et nous en offrir son essence.

  11. Je ne sais pas quel intérêt on peut avoir à lire Jean-Michel Apathie. Apathie est à la politique ce que Météo France est au climat. Il annonce blanc la veille et dit noir 12 heures plus tard.

  12. chez les journalistes, il y a des abeilles et beaucoup de frelons…..

  13. Quelle tache, ce guguss

  14. pas mieux que Rimbus et Albatros 😉 je vieillis, je m’économise ! auto-mdr

  15. Dire que la dette des grands états est un problème, et risque de mettre à mal l’équilibre économique mondial revient à prendre acte, à reconnaitre la supériorité de la souveraineté bancaire et financière au détriment de la souveraineté des états.
    Ca n’est pas une question économique, c’est bien une question politique. Qui est au service de qui ? Où se trouve la légitimité, l’autorité pour décider des équilibres financiers d’un état ?
    Un jour, une organisation très puissante, ayant pris à sa charge les dettes du plus grand pays d’occident a cru pouvoir peser sur ce grand pays. Le souverain de ce pays a décidé assez rapidement d’affirmer son autorité et de remettre cette grande institution dont il était débiteur, à sa juste place : ce souverain était Philippe le Bel, l’institution la banque des templiers. Un état en déficit n’est en faillite économique que s’il est d’abord en déficit de légitimité et ne peut affirmer son autorité sur ses débiteurs. Le problème est donc bien politique et pas uniquement, un problème économique.

  16. @ martingrall : merci pour votre intérêt envers mes Unes très véritables, et – il faut bien le dire – plus vraies que les vraies qui ne sont déjà pas mal…

    Pour ce qui est des lectures je pense avoir quelques heures de vol de plus qu’Elisabeth. Pour tout arranger elle ne connais pas les bons auteurs, ce qui ne l’aide pas !

    PG

  17. Pepy

    c’est tout à fait ça et en fait le discours d’Aphatie est usé, il ne prend plus ! C’est la fin du règne de la pensée unique néolibérale à laquelle moi même j’ai parfois donné des gages potentiels de réussite !
    La rage hystérique d’Aphatie démontre qu’il perd complètement les pédales face aux faits ! Alors il réinvente l’histoire, il s’accroche à du vide !

    Aphatie c’est l’ultime symbole d’une gauche complexée face à une droite libérale décomplexée qui donnait des cours de compta façon Madoff à tout le monde ! C’est fini malheureux !!! Tes agitations ne sont même plus grand-guignolesques et ça n’amuse plus personne !

    Bref tout le monde a fini par comprendre, y compris un plouc dans mon genre, que la fameuse dette équivaut à une part exorbitante de taux d’intérêt…Et que le système s’est mordu la queue à force !

    La confiance aveugle en des libéraux capitalistes qui sauraient mieux compter que les autres c’est terminé monsieur Aphatie !

    On est déjà rentré dans une nouvelle époque dont il s’agit de repenser un nouveau système de valeurs : de gré ou de force !

    Point trait terminé circulez y a rien à voir 😉

  18. Et en symétrie, dans le champs politique, on a un Emmanuel Valls complètement largué qui lui aussi s’accroche à sa manière à des leçons de rigueur et d’austérité libérale à la con ! Ridicule, grotesque, pénible !

  19. une légère brise Malbrouck, légère et fragile….
    :=)….mais bien réelle.

  20. Une brise dans ce gout là http://www.desideesetdesreves.fr/content/frangy-2011-discours-darnaud-montebourg

    J’ai trouvé très utile que Montebourg prenne enfin de la distance avec son coté « bourgeois aristo » qui lui collait à la peau ! Voulu ou pas voulu c’était là et il a rectifié le tir !

    Il doit absolument gagner cette primaire au nom de la cohérence politique du peuple de gauche ! Il est la seule solution de rupture disponible en magasin !

    Oui je suis engagé au moment où on peut l’être ! Après c’est trop tard !

  21. Aphatie c’est comme dans Knock.
    Schneidermann et Cohen ont une audience restreinte, qui n’effleure pas les oreilles de la majorité des gens qui lisent les journaux régionaux, écoutent les radios d’état et regardent les chaines publiques. Schneidermann et Cohen, c’est peanuts face au tapage que fait « la crise, la crise, la crise » partout.
    Mais il lui semble que si on les entendait, les gens risqueraient de ne pas prendre conscience que c’est la CRISE!
    Aphatie, il n’en mange jamais de la tête de veau à la vinaigrette, mais il lui semble que si il en mangeait ça le gratouillerait davantage, oui.

    Donc je lui fait une ordonnance, pour aujourd’hui qu’il finisse son travail comme à l’habitude puis il rentre chez lui et alors :
    – supprimer tous les JT français et autres européens du même acabit.
    – ne plus lire ni Cohen, ni Schneidermann. (nan, inutile de résilier l’abonnement à asi, de toute façon c’est pas possible en cours d’année)
    – prendre un JT suisse, matin midi et soir.

    Dans les JT suisses, crisis, what crisis? Là-bas si vous placez votre argent à la banque, c’est pas difficile les taux sont négatifs, en quelques mois vous pouvez perdre pas mal.
    Les suisses viennent faire les courses en France, donc la preuve que c’est moins cher.
    Et ils s’offrent des résidences en France, ils ont bien hésité et réfléchi, mais raisonnablement c’est valable, il y a une piscine et c’est plus grand et c’est une façon de faire un investissement, n’est-ce pas.

    Les JT suisses, ça redonne le moral.

    Le dites pas aux autres, c’est bon je fais pas payer la consultation.

  22. C’est que la papier de l’Aphatie, il est rudement bien… Moderne, brillant, la revanche méritée d’un journaliste économique de premier plan…

    Et ceci : « on ne parle plus que de la dette, et de Kadhafi aussi un peu, c’est vrai, et de DSK aussi un peu. »

    Voyons les unes des journaux demain…

    Et bravo à Aphatie pour son action citoyenne en faveur de la règle d’or, nouvelle marotte miracle et de bon sens (et éventuellement élyséenne).

  23. Guy, est-ce que je peux vous demander un service ?
    Quand vous rencontrerez votre collègue Aphatie (oui, je sais, vous n’êtes pas journaliste… mais lui non plus), est-ce que vous pouvez lui poser cette simple question :
    « vous parlez sans arrêt de l’efficacité de la dépense publique, mais que faut-il penser du fait que les fréquences et autres canaux accordés aux radio et télévision (RTL et Canal+) qui vous emploient leur sont concédées gratuitement ? »

  24. Cette affaire DSK aura été malsaine jusqu’au bout et je suis scandalisé d’observer comment certains se permettent de commenter la fin d’une procédure dont le système judiciaire américain a le secret ! Pschiiiiiiiiiit la présomption d’innocence : la fin de la procédure à elle seule vaut non-lieu ! Pas sur que face à un jury ça se soit terminé ainsi ! Et cerise sur le gâteau certains le verraient presque candidat ! Quelle incongruité ! Il y a un manque de décence de bout en bout dans cette histoire !

  25. Et je suis d’autant plus à l’aise pour en parler que je n’ai jamais cru à un viol ! Je redis qu’un homme politique de l’envergure de DSK s’est disqualifié de fait dans cette affaire surtout parce qu’il connaissait parfaitement ses propres travers : c’est ce manque de contrôle sur soi qui m’apparait etre incompatible avec des responsabilités politiques de chef d’état ! Il a cédé à ses pulsions jusqu’à etre entrainé dans une affaire qui lui a couté très cher ! Le profil bas serait vraiment de rigueur !

  26. Il est tout de même « malin », l’Aphatie…
    Les médias parlent de la dette donc Aphatie a raison. Le simple fait que la dette soit à la une signifie l’éclatement de « la pensée Schneidermann-Cohen ». Aphatie solutionne (à son avantage) une dispute au simple fait que l’on en parle. Non, on ne parle pas de la dette, on parle de la « règle d’or », le gouvernement parle de la « règle d’or », de cette façon particulière (et très politicienne) de considérer la dette. Effectivement, des économistes en parlent autrement, de la dette, pas de la façon si orthodoxe de Aphatie. Ce n’est pas une question finie ; et donc il faut en parler, et ce n’est pas parce que l’on en parle (mal) que l’Histoire est finie et Reagan ressuscité.
    Et quand Aphatie loue les niches fiscales, il pense en autres à la niche fiscale des journalistes ?

  27. la pensée Schneidermann-Cohen > la pensée Roux-Combaluzier

  28. Aphatie à la niche (f…?) ou sarkozy facture tes heures de vol(s ?)
    Il est vrai comme le rappelle Dominique Godin, si le gouvernement chargé du paiement de l’emprunt, faisait payer les canaux de diffusion de contenus, les chaînes libérées ne seraient plus soumises à l’asservissement et Jean-Michel, sans doute irait fissa pointer au chomdu.
    Et jourd’hui de niche à gamelle…… mais il est de son temps, d’autres se décident asphodèles, ils sont précieux bien que ne valant pas un radis, s’pas Guy.

  29. Ben oui mais pour grimper aux étages, là où se fait la politique des cinquante prochaines années, en commençant par l’année 2061, Roux-Combaluzier ça aide. Pour faire sa popote du marché, une baladeuse suffit.

  30. Baladeuse est une charrette à bras, bien sûr la loupiote volante, d’autant qu’elle accompagne la balladeuse, cette douce berceuse sarkozyste, mais…

  31. Vous etes rancunier, Guy…

  32. « Et je suis d’autant plus à l’aise pour en parler que je n’ai jamais cru à un viol ! »

    Il faut lire :

    Et je suis d’autant plus à l’aise pour en parler que j’ai toujours cru que ND était une menteuse

    Evidemment pour un grand humaniste progressiste (donc féministe)comme toi Malbrouck, une femme, qui plus est pauvre et noire est forcément une manipulatrice, menteuse et vénale.

    Beurk!

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22 Août, 2011

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