Quand on a sa maison au bord de l’eau, le jour du départ est un peu moins difficile. Il suffit de laisser dans les placards davantage d’affaires qu’on en ramène. Du coup, on voyage ‘léger’ et avec le sentiment que l’on ne rentre pas vraiment. Quand on a sa maison au bord de l’eau, le jour du départ est un peu moins difficile. Il suffit de laisser dans les placards davantage d’affaires qu’on en ramène. Du coup, on voyage ‘léger’ et avec le sentiment que l’on ne rentre pas vraiment.
« Toutes les histoires sont vraies »
Le 9 septembre je publie mon premier roman aux éditions Braquage. Voici le texte de la quatrième de couverture. Dans une suite de textes fulgurants, véritable puzzle qui donne à ce roman cousu main des allures de fausse autobiographie (où tout serait vrai), Guy...
0 commentaires