Clotilde Reiss. Étudiante, espionne, simple correspondante ? L’étudiante rapatriée d’Iran le week-end dernier, collaborait-elle avec les services de renseignement français ? Et, si c’est le cas, le savait-elle ? « Oui », affirme immédiatement sur toutes les chaînes, un ancien cadre de l’espionnage, Pierre Siramy, récent auteur d’un livre de souvenirs. « Même si c’est vrai, il ne faut pas le dire » rétorque en substance… un journaliste, Jean-Dominique Merchet, responsable de la rubrique Défense à Libération. La DGSE et Clotilde Reiss démentent fermement…
Clotilde Reiss. Étudiante, espionne, simple correspondante ? L’étudiante rapatriée d’Iran le week-end dernier, collaborait-elle avec les services de renseignement français ? Et, si c’est le cas, le savait-elle ? « Oui », affirme immédiatement sur toutes les chaînes, un ancien cadre de l’espionnage, Pierre Siramy, récent auteur d’un livre de souvenirs. « Même si c’est vrai, il ne faut pas le dire » rétorque en substance… un journaliste, Jean-Dominique Merchet, responsable de la rubrique Défense à Libération. La DGSE et Clotilde Reiss démentent fermement…
(…)
Tous deux confrontent sur le plateau de Ligne j@une des conceptions de l’information, à fronts apparemment renversés.
Que dire ? Que taire ? Peut-on croire des professionnels de l’intox ? Quelle valeur un journaliste peut-il accorder à un « démenti de la DGSE » ?
Au-delà de l’affaire Reiss, le débat s’étend aux dits et non-dits de précédentes prises d’otages de journalistes ou d’humanitaires français, et à des dossiers plus anciens : l’affaire Greenpeace, ou encore la fameuse enquête sur le compte bancaire japonais présumé de Jacques Chirac.
L’émission est proposée par Daniel Schneidermann, déco-réalisée par François Rose, et préparée par Dan Israel.
C.R.
Mais j’en ai déjà trop dit.
Et puis que C.R soit ou pas en bas de soie, tous les autres et moi on s’en tape. Mais.
Le renseignement fait partie de la politique depuis que la politique existe. Et le renseignement est efficace que s’il n’existe pas. C’est vraiment pas la peine d’avoir écrit le cabinet noir, pour se faire m’sieur Ajax qui récure en tâchant. tout simplement parce qu’en France comme dans tous les pays du monde un agent qui parle est un agent mort.
Qu’il faille modifier la nature des renseignements en France et le faire basculer au Sénat, lieu de toutes les tendances politiques, à la palce de l’unique p’tit Nicolas est souhaitable, indispensable. l’alternance politique l’impose. Et puis pour tout savoir sur C.R il faut attendre. et si dans quelques années on la retrouve à l’école de guerre, ou au Invalides. le doute sera moins grand. Mais doute persistera.
Un ancien cadre des services technico-administratifs, lui, son truc, c’est les huissiers, les chauffeurs des directeurs et les cuisiniers. Rien à voir avec le renseignement. Je pense qu’il s’est fait mousser, le bougre.
http://anthropia.blogg.org
surréaliste….les ou le journaliste-isme espion au service du ministère de la défense….terrible la façon dont ce journaliste banalise cette info et accrédite son téléphone rouge (ou bleu) avec le ministère de la défense…….
La seule façon de le savoir c’est de lui demander….
:-)en bon journaliste hein..
On à le sentiment que les rôles sont inversés le journaliste en sait plus que l’ancien cadre des services secrets, c’est une impression certes mais quel gène.
Mais Gb et Schneidermman en bon sioux progressent lentement..mais le journaliste est d’une coriace discrétion….
@ Albatros, le journalisme français est uniquement posé sur du vent. C’est pour ça qu’il se démène contre l’information. Du net et d’où qu’elle vienne.
Suite..
Le stage pratique de fin d’années d’études de Clotilde Reiss ne sera pas validé…..
Bonne cliente stagiaire, espionne ou pas le déboulonnage de la jeune fille et de sa famille et alors, pour sauver sa tête si il avait fallu les trainer encore plus dans la bêtise et ou l’amateurisme pourquoi pas et tant mieux c’est une excellente couverture.
Le journaliste de libe me laisse une impression assez désagréable sur sa méthode et ou conception de faire son job….j’ai le sentiment qu’il se verrait bien prochain patron de la DGSE…et pour finir ce ne sont pas des zones d’ombres se sont des secrets défenses souvent légitimes sauf pour les Irlandais et autres affaires qui dérapent quand des espions sont dirigés par ou sont des pieds nickelés
Salut Mart
je ne dirais pas les journalistes ou le journalisme français, je dirais que c’est une époque ou quand l’info dépend autant de l’argent, parfois il y a des collusions inévitables et malheureuses, la presse est souvent le lieu d’où démarre l’information et c’est aux lecteurs de faire l’investigation en lisant et cherchant ce qu’en disent les experts et tenter de se faire une opinion…jusqu’au jour ou ils redeviendront des journalistes d’investigation
@Albatros
« Collusions inévitables » !
Regardez-moi ce joli graphisme ! Impressionnant !
http://www.alternatives-economiques.fr/fic_bdd/article_pdf_fichier/1274372604_cac40_3.swf
@nomad.soul
c’est causant….
Intéressant comme sujet et encore une fois enfin un autre post adulte. Pour ma part, l’étudiante est une espionne, Langues O’ est un repaire pour faire ses classes.
Les choses sont peut-être plus simples : dans les pays « sensibles » tous les Français sont susceptibles de renseigner les autorités françaises, de même que les autres étrangers leurs propres autorités.
Il faut bien comprendre que si l’ambassadeur ou le représentant de la DGSE quelque part veut pouvoir jouer le cacou à Paris il faut qu’il réunisse des informations précises, si possible inédites. Sinon Paris va vite s’apercevoir qu’il en apprend plus par la presse, et ne va plus lire les télégrammes du fonctionnaire concerné.
Il y a donc souvent des conversations informelles (l’alcool déliant bien des langues, mais on peut jouer sur d’autres ressorts, pour une petite étudiante ce sera style interro de TD) pour recueillir des infos.
Alors bien sûr le Français (souvent gauchiste quand il travaille dans le culturel) qui informe tel diplomate de choses anodines ne se voit pas comme un informateur puisqu’il s’agit le plus souvent d’informations publiques…mais le pays d’accueil peut voir les choses d’un autre oeil.
Dans le cas de l’étudiante lectrice à Ispahan elle peut être parfaitement de bonne foi en disant ne pas être une espionne tout en ayant donné des informations à tel ou tel français sur des mouvements étudiants dans la ville où elle était basée. Et l’Etat d’accueil peut ne pas être d’accord.
En tout cas c’est vache de lui tomber dessus alors que les Français à l’étranger sont tous susceptibles de raconter ce qui se passe autour d’eux, la différence étant qu’auparavant l’info remontait vers les services français alors qu’avec le net maintenant l’info est parfois diffusée à tous, ce qui permet de pallier sans aucun filtre aux sottises éventuelles des journalistes ou des fonctionnaires français travaillant sur place.
HHIS I sohudl have thought of that!
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Cool! That’s a clever way of looknig at it!
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