Je viens de lire un truc tellement énorme, dans le feuilleton Bettencourt, que je ne peux pas le laisser passer…
Je viens de lire un truc tellement énorme, dans le feuilleton Bettencourt, que je ne peux pas le laisser passer…
(…)
C’est le Figaro qui pose la question (là) : « Mais où ont bien pu passer les trois ‘carnets de caisse’ dans lesquels l’ancienne comptable de Liliane Bettencourt, Claire T., couchait les bénéficiaires des dons en espèces effectués sur instruction de la milliardaire ? »
Bon après les « carnets du général Rondot », après les « carnets d’Yves Bertrand », voilà les carnets de Claire T.
Des carnets qui pourraient révéler les noms de tous ceux qui ont touché de l’argent en liquide de Liliane Bettencourt.
Alors, là, accrochez-vous parce que le meilleur arrive…
C’est entre guillemets dans Le Figaro :
« …une source proche de la milliardaire évoque ‘des carnets sans grand intérêt qui recensent les paiements des fournisseurs ou du facteur‘ ».
Du « facteur » ???
Ça vous arrive de payer le facteur vous ?
Parce que moi, jamais.
À part le jour où il me coince enfin, avec des ruses de sioux…
Et où il parvient à me vendre, sous la contrainte, son putain de calendrier avec des chats roux !
Décidément, ces milliardaires ont vraiment une vie dont nous ignorons tout.
Post scriptum On me glisse dans mon oreillette que nous tenons peut-être bien là la trace d’un financement occulte d’Olivier Besancenot par Liliane Bettencourt. Et si son facteur, à Neuilly, c’était lui…
Bettencourt la banquière de Tarnac
Je crois que là vous tenez le scandale des financements occultes le plus terrible, le plus fou, le plus anarchiste de tout les temps….
Je comprends mieux la garde prétorienne, le cordon sanitaire que N.S. a minutieusement mis en place…la surveillance de la « Vieille Dame » ne datait donc pas d’hier…
Un facteur Crésus alors.
Ça ne peut pas être Besancenot, lui fait partie d’un groupe sans gain incompatible avec Bettencourt…
Indépendamment de l’invraisemblance des exemples donnes sans le cas de Madame bettencourt, on peut donner du liquides a son facteur dans plusieurs cas :
– paiement d’ un contre remboursement (cas de la VPC)
– commission diverses et variées telles notamment l achat de timbres, de produits prêts a poster ou demande d’ envoi de courrier
ce sont en général de petites sommes que l on règle en liquide.
Bien évidemment c est surtout en campagne que le facteur réalise ces commissions et l argent ne va nullement dans sa poche mis a part un éventuel pourboire.
@ Thaliepy Vous vous rendez bien compte qu’on imagine assez mal madame Bettencourt dans les situations que vous indiquez 😉
Facteur : Je n’ai jamais habité en ville. Depuis 30 ans, j’exercice mon activité à domicile. D’où une grande proximité avec mon facteur et une courte causette quotidienne. J’adore le calendrier car, dans les années quarante/cinquante, à la campagne, c’était la seule image accrochée au mur. Entre voisins, on comparait le choix de chacun. Et je suis content et fier de donner cinquante euros à ce brave homme en décembre.
Quel est le problème ?
Des pianos, elle doit en avoir pas mal chez elle, alors payer le facteur rien de plus normal.
pardon : j’exerce mon activité …..
J’entends d’ici Guy : Pas vous, pas ça !
J’ai toujours pensé que les facteurs étaient corrompus et d’ailleurs ils sonnent toujours deux fois
Elle a bien pu remettre de l’argent, un jour, à Arlette Laguillet, mais c’était sûrement au guichet.
Savez-vous pourquoi les teintures pour cheveux l’Oréal ont été inventées?
Parce-que la couleur des cheveux des enfants dépend de bon nombre de facteur!
(copyright nonolimit)
« (Un intérieur bourgeois entre chien et loup)Liliane B. : – Claire mon petit, pouvons-nous compter la caisse? / Claire (déférente): – Oui Madame. » Où l’extrême richesse rejoint la petite épicerie. On se dit : cela en vaut-il la peine? L’affaire Woettencourt aura-t-elle le mérite de réconcilier les Français et la comptabilité en partie double? (Sur la même page du Figaro, avez-vous remarqué toute cette liste de numéros de téléphone derrière le filosofe-producteur Raphael Enthoven? Étrange. Et ce lien vers une table ronde Éric Woerth/Lectrices du Fig’Mad’? Question à Éric « Mais vous, vous imaginez-vous un jour à la retraite ?
Éric Woerth. – Non, parce que j’aurais l’impression que tout s’arrête. Cette expression « se retirer » me fait froid dans le dos. Elle donne l’impression que la vie, la société avancent et que d’un seul coup, on vous demande de descendre du train. Vous êtes seul au milieu du grand désert de l’Arizona et voilà : vous êtes « retiré ». C’est une mine, le Figaro.
Je ne sais pas si cette histoire vaut un billet…
Quoiqu’il en soit Thaliepy vous a parfaitement répondu . Il n’y a rien de surprenant ni même de suspicieux dans cette petite anecdote …!
Vaut un billet ce que je veux.
Hummmmm…Y’avait un truc avec billet …Payer …Payer billet …Enfin … Ça a fait flop …Quand a me lancer dans une explication…
Un poil sur les dents mon bon Guy !La chaleur sans doute…!
Je suis d’ accord pou Madame bettencourt c est invraisemblable, c’est pourquoi je mettais la première partie de ma phrase introductive mais je n ai pas du être assez claire.
Bah je comprends, les chats roux naaan sreugneuhgneuh mais grand adepte de la plongée vous me l’avez prouvé^^^ les grands blancs Yes yes yes…
Bof rien d’autre à ajouter.
Monsieur Birenbaum,
Allô ? C’est Auguste, le fondu de wii.
La wii fonctionne parfaitement, mais vous êtes témoin, je n’y joue pas.
Rien à dire sur le son de la télévision toujours allumée du salon, pourquoi commenter ce qui n’a pas changé.
La zapette est libre pour tous les pensionnaires : Ernestine a passé. Nous avons tous été un peu bouleversés, mais rendons à Ernestine ce qui lui appartient, cette tragédie est la sienne.
Et il n’y a pas longtemps à réfléchir pour constater que, depuis qu’elle a mis les voiles, la vie est plus facile ici, autour du poste de télévision.
Le samedi, pas de cours d’Internet, c’est jour de congé pour l’animatrice. Il faudra que l’on m’explique un jour comment on peut être animatrice bénévole et en congé. Si vous avez une idée, Monsieur, n’hésitez pas.
En tout cas, ce n’est pas parce Madame l’animatrice n’est pas là que je ne navigue pas. Donc, tara tara tara taraaaaatataaaa, c’est Auguste qui passe le bonjour.
Je viens de vous lire. Et voilà que l’envie de mettre mon grain de sel me prend. Ne vous attendez pas (si jamais vous vous attendiez) à ce que je vise bien juste, l’âge est un fardeau. D’ailleurs, j’ai observé que depuis que je réside à la MDR des Glycines, il m’arrive de secouer la salière (non… s’il vous plaît, ne vous moquez pas, vous verrez quand vous aurez mon âge) à côté du poisson ou de la viande, selon que l’on nous serve l’un ou l’autre.
Donc je viens de vous lire, mille excuses pour les prolégomènes, mais quand vous aurez mon âge, vous verrez que l’on a ses petites manies et que l’on n’est pas forcément fâché qu’elles embêtent un peu, devenir vieux, Monsieur, ce n’est pas gagner en bonté, vous verrez, vous aussi, bien assez tôt.
Je viens de vous lire…
Et je sursaute.
Deux fois.
Vous ne facilitez pas la vie de votre facteur, quand l’année se meurt, poussée aux fesses par une toute neuve.
Vous reprochez au messager des P et T de vous vendre un calendrier avec des chats roux.
Permettez-moi de vous faire observer que tous les facteurs de France disposent -à très peu de détails près- d’un choix équivalent de diaboliques calendriers : libre à vous de remplacer les chats roux par des cîmes enneigées, une cabane au Canada, un ruisseau transparent en Aubrac, voire, les yeux de velours des bêtes qui peuplent ces terres convoitées par les marcheurs à coquilles… non, un seul autre exemple de ces images qui ne vont dans aucune maison serait superfétatoire, n’est-ce pas.
En revanche, je me demande si, plus que les images niaises de tous les calendriers de votre facteur attitré, ce n’est pas la phrase que celui-ci murmure, à chaque fois -« On donne ce que l’on veut… »- qui ne vous tape pas, par dessus tout, sur les nerfs, au point que vous cherchiez à « ruser ». Soyez en sûr, c’est en toute amitié que je pose cette hypothèse : avant que mes enfants me placent aux Glycines, quand j’habitais chez moi, quand j’avais donc moi aussi un facteur, ce murmure-là (le même, j’en mettrais ma tête sur le billot) constituait pour ma conscience, mon honneur, mon porte-monnaie et… oui, mes nerfs, disons-le tout net, la véritable épreuve. J’ai mis du temps à l’admettre. Aussi, je ne me prive pas de vous faire part de la vanité de cette résistance, au cas où elle pourrait vous faire gagner du temps.
Chiche, tâchez de suivre cette hypothèse une seconde, et vous tiendrez le motif du 2ème sursaut annoncé plus haut : je m’émerveille en prenant connaissance de votre tuyau -« Mme LB qui finance en lousdé Monsieur OB »- car il ne me semble pas percé.
Le rituel des calendriers… Il fallait y penser et vous y avez pensé.
Car, si sur chacun d’entre nous, le murmure « On donne ce que l’on veut » fait l’effet d’un supplice, la formule n’a pas forcément eu grande prise sur la richissime Mme LB, qui a toujours donné ce qu’elle voulait, au moins hier et qui, au pire, s’en tape aujourd’hui. Que Monsieur OB s’en soit aperçu lui aussi, en la fréquentant -car, vous m’avez convaincu, c’est bien lui qui distribue son courrier depuis qu’il arpente Neuilly, qui d’autre autrement ?- l’idée n’est pas déplaisante, bravo Monsieur.
La clairvoyance de Mme LB, âprement discutée aujourd’hui, altérée ou pas, ne change rien, vous voyez le travail, avant-hier comme hier et, il y a fort à parier qu’aujourd’hui et demain, itou.
Encore perchés sur les barricades, nous n’aurions donc plus qu’à nous incliner : Monsieur OB est gonflé ; sur Madame LB, nous avions déjà notre petite opinion.
Ce que l’on vous a soufflé dans votre oreillette -le financement occulte- fait écho dans mon sonotone, puis, me fait sourire (même si, relativisons, chaque fois que le sonotone veut bien fonctionner, c’est déjà en soi un petit bonheur) : l’insoutenable légérèté de Monsieur OB et de Mme LB n’aurait donc pas payé, bien qu’ils se soient serré les coudes.
A chaque jour sa peine, dit-on ?
Auguste, plus très jeune.
MDR des Glycines.
Quel délice Fabienne !!!
Je vois pas où est le problème. D’accord, on ne paie pas le facteur d’habitude. Mais on ne paie pas non plus les photographes qui ne vous prennent même pas… euh, je veux dire qui ne vous prennent même pas en photo.
C’est vrai que les facteurs font leur boulot et donc pas besoin de les payer. :-)mais faut pas abuser non plus
Mazette, mais c’est bien sûr! C’est Besancenot qui est derrière cette affaire abraquadabranlolesque