Un petit montage parfaitement crapuleux de J.
Un petit montage parfaitement crapuleux de J.
(…)
[audio:https://guybirenbaum.com/wp-content/uploads/2010/10/Paillé-Raoult-Morano-Bertrand-Estrosi…La-totale-en-condensé-12.mp3|titles=La totale…]Un petit montage parfaitement crapuleux de J.
Un petit montage parfaitement crapuleux de J.
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[audio:https://guybirenbaum.com/wp-content/uploads/2010/10/Paillé-Raoult-Morano-Bertrand-Estrosi…La-totale-en-condensé-12.mp3|titles=La totale…]Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
[off topic un peu : j’ai une mini suggestion à te faire, Guy : tous tes liens sont en rouge, et cliquables… sauf comme en haut de ce post, les trucs « (…) ». Du coup à chaque fois on croit que c’est cliquable, mais non. c’est un peu génant !]
OK… Mais c’est choli…
Schön montache 😉
Dominique Paillé, c’est notre cerise sur le gateau…
On lèche, on lâche, on lynche.
Entrerait-on dans la phase de lâchage ?
Pas trop top. Le lynchage promet d’être particulièrement saignant.
Guy,
Ok l’UMP a un vrai problème avec Mediapart.
Mais au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy, Daniel Schneidermann, vous-même et d’autres, ont judicieusement noté qu’avec l’opinion publique les communiquants de L’Elysée chercheraient à ce que l’on regarde le doigt plutôt que la lune (ce n’est pas un lapsus comme en pourrait en faire Rachida Dati) ou la face émergée de l’iceberg plutôt que le glaçon dans son ensemble…
Donc là, Ok, l’UMP a un problème avec Mediapart. Ok, Dominique Paillé s’est lâché/a réitéré ses dires sur Edwy Plenel chez vous dans la Ligne jaune.
Mais le vrai problème c’est le cas d’Eric Woerth et le fait qu’il n’y ait toujours pas de juge d’instruction mais toujours Philippe Courroye.
Charles.
http://lepost.fr/perso/charles-ex-hautetfort/
Les liens Plenel-Villepin y sont-ils pour quelque chose ?
http://gklein.blog.lemonde.fr/2006/10/19/2006_10_villepin_aime_p/
En quoi est ce contradictoire Charles ???
« Mais le vrai problème c’est le cas d’Eric Woerth »
C’en est un, mais ce n’est pas par ce qu’il y a celui-ci qu’il faut occulter les autres.
On entend bien dans ce montage les références et les allusions systématiques à la collaboration…Il y en a trop pour que ce soit un simple hasard.
Et encore, je ne compte pas JF copé qui était limite ligne jaune avec M.Hirsch http://www.dailymotion.com/video/xezis7_martin-hirsch_news (à partir de 5’17).
Enfin bref, ce n’est pas très sain comme climat.
J’ai ri devant ce florilège de bouffonneries…et ça nous gouverne dis donc.
En réelle franchise Guy,
Strictement rien « à cirer » ni de Médiapart ni autres.
@Rimbus, question intéressante^^^.
Le 26 mars 2004, Dominique Paillé est condamné par le tribunal correctionnel de Paris à une peine de dix mois de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, pour « abus de confiance » dans le cadre d’une affaire privée. Il a ainsi prélevé 40 000 euros pour ses voyages privés et des dépenses personnelles dans les comptes de l’association Appel Europe, qu’il avait créée
Si pour ces ministres et autres secrétaire d’État la référence du journalisme indépendant et libre est Jean-Pierre Pernaud de TF1-13h00, bien sûr, ils peuvent à juste titre, être un peu sur la défensive dans ce monde inquiétant de l’investigation. la question ne vrai .Qu’ont ils donc tous à vouloir dissimuler aux électeurs. Pour Paillé, merci Olivier on a un début de réponse…. Et dire que not p’tit Nicolas a remis la très très chère montre qu’il a reçu en cadeau présidentiel au musée. Bon pour lui ôter un peu de nostalgie, Carla lui a acheté avec ses petits sous, non pas une, mais deux, oui Patek Philippe.
Je vais me faire l’interprète de Charles (s’il le permet) en insistant sur le fait qu’il y a une sorte de duperie peut-être, sûrement, involontaire chez vous, GB, chez Schneidermann et plus généralement chez ceux qui sont venus sur Internet pour nous (oui, c’est facile de dire « nous » pour mieux attaquer un « vous », un « vous » que « nous » avons d’ailleurs supporter, encourager,tout cela pour dire que « nous » ne sommes pas totalement innocents de ce que « vous » êtes sur ce média) proposer un nouveau média qui n’allait pas suivre les mêmes travers que les médias traditionnels pour finalement vous voir vous comporter exactement comme eux. Nous parler de ce qu’ils nous parlent, nous en dire ce qu’ils nous en disent.
Et je vais vous dire, GB, je suis même plus pessimiste que Charles dans ce constat puisqu’aujourd’hui, vous proposez une émission, vous créez l’événement médiatique sans uniquement commenter des événements tiers, mais vous continuez effectivement à vous concentrer sur le doigt là où la lune est quand même plus intéressante, si ce n’est plus importante.
Car, oui, cette « Ligne J@une » était importante. Pas dans les mots, pas dans le vocabulaire, pas dans la virulence des termes que Dominique Paillé a employés contre Plénel ou Médiapart, mais dans la thèse qu’il y a défendue et qui mérite(rait) quand même qu’on s’y arrête un instant pour en saisir la portée.
C’est peut-être la construction de l’émission qui a fait en sorte que cette thèse vous a échappée car elle a été exposée chronologiquement à l’envers : Dominique Paillé est venu dire que la presse n’a aucun pouvoir politique (partie 2 de l’émission avec l’exemple du référendum européen où les rédactions des grands périodiques ont pris sur elles de venir (et le plus souvent en Une) donner une consigne de vote à leurs lecteurs, consigne, d’ailleurs, qui n’a pas été suivie mais déjà, le fait que des journalistes pensent détenir une influence telle qu’elle puisse influer sur le résultat d’un vote est un problème dont il aurait été bon au moins de discuter) et n’ayant aucun pouvoir politique, elle vient, comme par défaut, frustration, ou vengeance, s’en prendre à l’homme, à la personne du politique (la « curée » de la partie 1, pour reprendre le mot de Dominique Paillé).
Et dans cette perspective, les propos de Laurent Mauduit sur cette affaire fiscale sur laquelle il a enquêtée apparaissent assez singuliers : Mauduit a dit que malgré cette enquête, finalement, personne n’est encore en prison ou condamné et ceci, depuis trois ans.
Et on voit là toute la perversion du rôle du journaliste aujourd’hui. On voit là que sa fonction n’est pas, plus d’informer le citoyen mais de tenter de substituer aux institutions républicaines. On ne cherche pas à informer sur les actes de Woerth ou de Chirac mais à mettre Woerth et Chirac en prison, comme dit la chanson. Et on se révolte quand et parce que la Justice ne suit pas le cours du procès fait par la presse.
Mauduit vient finalement et en résumé dire que si les journalistes ne mettent pas les hommes politiques en taule alors ils ne servent pas la démocratie, ils sont, pour elle, complètement inutile.
C’est quand même pas rien comme conception du journalisme…
Fou comme la droite à l’air de faire une fixette sur les années 3O, vocabulaire, pensée, (bas)fond de pensée.
Une référence je vous dis, des grands moments et une époque à marquer d’un fer rouge monsieur (ah, non, merde, pas rouge)
le vrai problème c’est l’affaire Woerth/Sarkozy/Bettencourt et quand on entend ce petit montage, cela devient plus qu’évident
ils sont en panique totale !
par rapport aux types de propos de facon plus générale, ont peut rajouter Coppé qui accuse Martin Hirsch de délateur en faisant également allusion à la seconde guerre mondiale.
mais quand la commissaire européenne Viviane Reding émet des propos concernant leur politique des Roms se referrant à la circulaire contenant « en particulier les roms » et fait un aussi une comparaison avec le 2d guerre mondiale, alors la ils s’indignent que l’on puisse utiliser cette période de l’histoire …
bref, ils n’ont plus de crédibilité, ni de cohérence dans leur propos.
et pour répondre à la (trop) longue tirade de @Franade, si un journaliste peut mettre un politique en taule et que ce politique le mérite avec preuves à l’appui, alors c’est le meilleur des journaliste, le serviteur de la démocratie et de la vérité…
autre chose,
c’est drole car quand il y a une défense de l’ump et de la présidence dans les coms, j’ai toujours le soupcon que cela vient du service web de l’UMP. Vous savez ce meme service qui crée un faux compte twitter PS et qui balance des rumeurs !!! ensuite ce sont les memes de l’ump qui dénoncent les dangers d’internet, l’info/poubelle et le royaume des rumeurs !!!
faites ce que je dis mais pas ce que je fais !
la dans ce cas, ce n’est meme plus un probleme de crédibilité, c’est juste pathétique.
Bientôt, comme pour les Roms, fiel de tous les moutons*,nous obligeant, nous contraignant dans la douleur à faire ressurgir ce passé si proche, et source de toutes nos mémoires oubliées pour les uns souillées pour les autres, afin de protéger nos poules et nos hérissons du déshonneur, et à contre-cœur de retrouver fissa un Papon de remplacement, alors qu’en toute sociabilité les Roms vivaient dans des lieux mis à disposition par le premier magistrat de la commune, ben oui quinze ans de résidence dans un même lieu, tous les premiers magistrats, souvent député de la loi de l’ignominie, de la moitié (15000, pourquoi pas) de toutes les communes de France Réunion et Nouvelle Calédonie comprises, parce qu’un journaliste avait besoin de se faire des frais de route pour arrondir son fin de moi, et son journal se faire un peu d’oseille, alors comme pour la mise en scène du saccage du parking du commissariat, organisé par un journaliste**, un autre du même vrai journal avec du vrai papier et de la très sale encre qui tâche les mains déjà pas très propres, a monté toute l’affaire Woerth, Sarkozy, Eliane, pour faire payer son voyage de vacances aller-retour par son rédacteur en chef. Les Ulis-Neuilly c’est pas grand-chose mais les temps sont durs, et comme on dit un p’tit dernier pour la route, la vente illégale de champs de course et des forêts domaniales qui n’allaient pas du tout avec.
*ça doit être une insulte mais je comprends toujours ce que j’écris après,
**de l’aveu du préfet du coin devant 250 maires concernés qui l’ont applaudi bien fort.
Tout le problème, c’est qu’in fine, FBcool, ce n’est pas le journaliste qui mettra ou ne mettra pas le politique en taule mais la justice de ce pays.
Et si j’insiste sur cette négative, c’est bien pour souligner toute l’incongruité du discours de Laurent Mauduit lors de cette émission, venant quasiment affirmer qu’après une enquête de Mediapart, il n’y a pas de possibilité pour la Justice de faire autrement que de condamner.
Pour quelqu’un qui dit se soucier de la démocratie, de la République, c’est un peu fort de café.
Et je ne suis pas du tout en train de remettre en cause le professionnalisme des enquêtes de Laurent Mauduit ou de Mediapart. Je suis en train de dire que ce ne sont que des enquêtes journalistiques, avec des moyens journalistiques, avec des buts journalistiques et qu’il serait complètement irresponsable de les substituer à des enquêtes judiciaires, avec des moyens judiciaires et un but : la Justice.
Et la Justice sur ces affaires fait son travail. Elle le fait sereinement, elle le fait bien, et j’en veux pour preuve que Laurent Mauduit est venu dans cette émission avec le compte rendu d’un jugement en faveur de Mediapart.
Donc, basta : que les journalistes informent, ok, c’est leur boulot, mais qu’ils tentent de convaincre que leurs enquêtes sont plus poussées, plus objectives, plus crédibles que des enquêtes judiciaires, que, finalement, après leur travail, tout a été fait et donc que rien ne reste à faire, je dis, et Dominique Paillé dit et a expliqué pourquoi il dit : non.
Et je trouve crétine, pour ma part, la construction de ce montage. Je trouve crétin de mettre au même niveau des interventions de ministres ou de membres de l’UMP données lors d’interviews et cette parole de Dominique Paillé qui a été dite lors d’un débat, dans une confrontation avec l’opposant. Encore une fois, cette Ligne J@aune était importante parce qu’elle est venue nous faire comprendre le pourquoi d’une colère, d’une vraie colère des membres de l’UMP à l’encontre de Mediapart. Il y a eu discussion, débat argumenté et sûrement pas monologue comme dans le reste des interventions de ce montage.
Et vous venez nous dire, FBcool, bêtement, stupidement que cette Ligne J@une ne vous a servi à rien si ce n’est vous conforter dans une opinion que vous aviez déjà sans elle.
Je le dit donc à GB : s’il fait des émissions utiles mais s’il est incapable de déceler leur utilité pour se contenter de la petite fierté que son travail soit utilisé pour créer de tel montage alors tout cela ne sert à rien.
Et si cela ne sert à rien, il n’est pas étonnant de voir Charles lui faire le type de reproche qu’il lui a fait.
Quant à vos insinuations à mon égard, elles ne font que conforter les propos de Dominique Paillé : vous n’êtes capable que d’insinuer, de faire courir des rumeurs sur des personnes afin de discréditer leurs commentaires, leurs propos, leur carrière. C’est juste très con quand c’est sur un blog. Cela peut effectivement devenir humainement invivable quand cet acharnement touche la réalité, la vie d’une personne.
Contentez déjà de commenter le discours si vous en êtes capable, FBcool, au lieu de verser votre bile sur moi.
Je ne suis pas là pour vous soulager !
Je remercie Franade pour ses conseils. J’aime que l’on m’éclaire avec tant d’à propos…
Franade, bonjour, je ne pense pas que Mauduit organise son propos avec la même hiérarchie. Il garde son état de journaliste d’investigation, et en informe ses lecteurs. Et c’est Paillé qui le fait monter d’un niveau. Parce que l’opposition politique ne se prononce pas sur ce dossier. Et il lui faut un réceptacle pour répandre sa sarkophilie.Et c’est en l’absence de cette opposition que Mauduit se substitue non pas à la justice mais à la commission parlementaire qui elle instruit, devrait instruire, la justice.Justice qui ne peut s’exercer, puisque le procureur de Nanterre, Courroye ne veut pas céder le dossier à un juge d’instruction! Là est le paradoxe.Seul un journaliste peut faire qu’un procureur soit contraint à s’obliger à la loi. Et c’est comme ça sur tous les plateaux télé, des journalistes remplacent le politique qui ad’autres moutons…..
@ Guy, ce n’est pas contradictoire.
@ Franade,
Oui ce que vous décrivez semble problématique… sauf que, sauf que le fait que des infos sortent (sur des sites comme Mediapart ou ailleurs) est salutaire: cela évite que la Justice (ou certains de ses membres) se sente autoriser à bafouer le droit parce que le public (l’opinion publique, l’électeur) n’aurait pas connaissance des faits… et donc l’on pourrait juger entre-soi sans avoir de compte(s) à rendre à quiconque.
A mon sens, tant que la France n’aura qu’une Autorité judiciaire et non un Pouvoir judiciaire, de tels cas se présenteront et se représenteront.
Charles.
http://lepost.fr/perso/Charles-ex-hautetfort/
Bah, ce sont juste des éléments de langage, comme on dit, ni plus ni moins.
Moi je dis merci à Médiapart d’exister, et aux blogs, comme ceux de GB, qui nous permettent de s’exprimer en toute liberté.
Nos ministres et sous ministres me choquent, m’attristent, me révoltent tellement c’est grossier, téléguidé. Ce sont eux les terroristes de la société.
Allez pour rire un peu de tout ça, si vous ne l’avez pas encore vue : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=9070
@ Charles
« A mon sens, tant que la France n’aura qu’une Autorité judiciaire et non un Pouvoir judiciaire, de tels cas se présenteront et se représenteront. »
Si je ne me trompe tu fais référence à l’étymologie de ces termes ancrée dans l’Antiquité. « Tandis que le pouvoir réside dans le peuple, l’autorité appartient au Sénat » (Cicéron, « De legibus »).
Mais selon moi, le problème qui se pose ce n’est pas une autorité judiciaire qui se trouve dans les mains d’une élite, mais de ce qu’est devenue cette « autorité » qui se doit, par sa nature et selon son principe, d’être INDEPENDANTE du pouvoir qui est détenu par le peuple – qui élit ses représentants politiques et donc ceux qui vont EXERCER ce pouvoir par délégation. Ainsi, le pouvoir politique s’adosse d’une autorité politique qui est légitimée par cette délégation.
« L’Etat ne peut exister qu’à la condition que les hommes dominés se soumettent à l’autorité revendiquée chaque fois par les dominateurs ».
A mon avis, c’est justement le problème qui se pose aujourd’hui, non seulement dans cette délégation de pouvoir mais aussi par rapport à la relation et l’articulation entre l’exercice du pouvoir (autorité politique) et l’exercice de la justice (autorité judiciaire).
S’il y a déjà des dysfonctionnements par rapport au pouvoir politique et par conséquent sur son exercice… je doute que les citoyens d’un état (le peuple) soient plus avisés si l’on leur déléguait un tel pouvoir
Le « pouvoir » est un instrument… il n’y a pas d’indépendance quant aux principes et normes qui le définissent.
« L’autorité » (< "auctortias" < "auctor" = celui qui permet de se développer "augere" – faire croître, augmenter) fixe (en tout cas, elle se doit de SE fixer) quant à elle SES propres principes et norme(s) en excluant la violence ou contrainte par la force.
Je trouve que le problème c'est justement la non correspondance entre la nature intrinsèque et les principes de la justice… qui n'est plus indépendante donc une Autorité mais est devenue avant-tout un Pouvoir. Celui-ci est un des instruments de l'exercice du pouvoir politique d'un état/gouvernement (cad de son autorité politique) auquel , en outre, le pouvoir du peuple est délégué. Il y a une concentration de pouvoirs : celui du peuple et celui d'une ancienne "autorité" qui est devenue exclusivement un "pouvoir"/instrument….
Ceci explique à mon avis, qu'il n'y a pas de juge d'instruction désigné et que ce statut de juge va disparaître…
Laurent Mauduit ou Médiapart ne se substituent pas à la justice, puisqu'ils présentent à l'instruction judiciaire – qui va faire son propre job et rendre son propre verdict – sans que Médiapart prennent part dans cette investigation (en étant informés… bien avant qu'un jugement soit rendu publique ou ne soit effectué par les acteurs judiciaires… ou autre…). Dans une démocratie libérale, un citoyen lambda tout aussi apporter (et souvent est appelé par l'instruction judiciaire et policière à le faire) des informations complémentaires dans une affaire en cours d'instructions ou qui n'est pas encore instruite et ainsi peut déclencher une instruction en faisant évoluer – si ce n'est aidé à résoudre – une enquête.
PS : je ne travaille pas pour Médiapart ni n'est "pote" avec quelqu'un qui y travaille.
Rectifications (oublis) :
• La seconde citation – “L’Etat ne peut exister qu’à la condition que les hommes dominés se soumettent à l’autorité revendiquée chaque fois par les dominateurs” – est de Max Weber dans « Economie et Société » (1971).
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(…) sans que Médiapart et ses journalistes prennent part (…)
(…) un citoyen lambda peut tout aussi apporter (…)
(…) si ce n’est, il n’ait aidé à résoudre (…)