« Allo, c’est Julian Assange » : quand l’équipe du site Owni a reçu cet appel, ils n’en ont pas cru leurs oreilles…
« Allo, c’est Julian Assange » : quand l’équipe du site Owni a reçu cet appel, ils n’en ont pas cru leurs oreilles…
(…)
En quelques années, Assange, fondateur et âme de Wikileaks, l’homme qui fait trembler le Pentagone, est devenu un mythe mondial.
Mais oui, c’était vraiment Assange au téléphone.
Préparant sa méga-divulgation de 400 000 documents sur l’Irak, Wikileaks souhaitait utiliser un logiciel conçu par le site. La suite, c’est Pierre Romera et Olivier Tesquet, d’Owni, qui la racontent sur notre plateau : le voyage express à Londres, la rencontre avec Assange, nimbée de mystère (les deux délégués d’OWNI ne savent même pas que la fuite va porter sur l’Irak), la hâte pour que le logiciel soit prêt à temps.
Wikileaks bouscule le Pentagone, et ce n’est pas près de s’arrêter. Mais quand une organisation parvient, en quelques années, à un tel niveau d’influence, elle devient la cible de toutes les tentatives de déstabilisation et de manipulation, de toutes les médisances, et…de toutes les curiosités.
Ces curiosités sont-elles légitimes ou non ? Nous le montrons sur le plateau : Assange n’apprécie pas d’être interrogé sur les dissidences au sein du site, et sur ses ennuis judiciaires personnels.
Comme beaucoup d’entre nous sans doute, le plateau est partagé entre l’enthousiasme de voir surgir un nouvel acteur de l’information, delivré des connivences et des autocensures, et la peur de voir ce nouvel outil hyper-puissant utilisé dans l’opacité.
Le débat entre David Dufresne, journaliste et réalisateur multimédia,et Jean-Dominique Merchet, spécialiste défense à Libération jusqu’il y a peu, illustre bien cette ambivalence.
L’émission est proposée par Daniel Schneidermann, préparée par Dan Israel et Laure Daussy, et déco-réalisée par François Rose.
Hé bé ! j’y croyais plus !!!
Ah oui, j’oubliais, créer le manque…
Lol
Oui sacha… 😉
» I have a dream « …..et si
on levait toutes les anbiguités sur
le secret défense, qui plombent l’executif
dans beaucoup d’affaires,et qui ne sont pour
certains que des fables……!
Oui contents nous le sommes de voir les preuves de ce que nous supputions sans mal et avoir la preuve c’est tout.
Mais aussi prudent comme vous l’écrivez car pandore n’est jamais loin et dans sa boite….
Il a raison de ne pas se justifier sur une plainte concernant sa vie privée et bien evidemment d’ordre sexuel quand les poubelles sont vides Zhaya n’est jamais loin.
Et même si c’était vrais cela ne me regarde pas.
En revanche que des dossiers secrets sortent c’est un nouvel outil que la propagande peut un jour utiliser aussi…..
Ben quand on voit où sont les journalistes « zofficiels », on peut toujours attendre des révélations et de la transparence !! 🙂
Allez, je la remets !
« Le dîner du Siècle, avec Dati, Chabot, NKM, Carolis… »
http://www.bakchich.info/Le-diner-du-Siecle-avec-Dati-Chain,12265.html
C’est compliqué, Julian Assange est compliqué, mais nécessaire. Et c’est le nécessaire qui plombe. Aujourd’hui, toute détention par des militaires de matériels servant ou pouvant servir à informer autrui sur des événements militaires, tant sur les théâtres d’opérations, intérieurs et extérieurs qu’en période de préparation et de mise en réserve met en péril la nation !
Même sans être militaire, il est facile d’écrire la loi. Et, je ne parle pas des règlements militaires illégaux. Et alors adieu les preuves, et adieu la certitude.
Parce que ce qui se diffuse, nous le savons tous. La guerre est moche, parce qu’elle montre l’humanité telle qu’elle est, et ce que nous sommes. Complices et lâches. Complices parce que lâches.
Et Julian Assange est indispensable pour que nos enfants ne le soient plus.
14mn 40
3ah c’est aller très très vite vous avez travailler comme des des … (sourire on c’est bien tous compris ) !!! »
L’animateur ne réagit pas normal tant qu’on n’insulte pas les les …
Faut arrêter de fumer la moquette.
@nomad : merci pour le lien, ça corrobore ferme. On ne peut rien attendre de ces gens là, ils sont à mille lieux de nos problèmes, le mélange est affligeant : ministre, homme d’affaire, journaliste laquais du 20h, éditorialistes patentés ; tous adeptes de la voix présidentielle ; tous persuadés que cette politique est la meilleure… pour eux ! Vite mon seau.
Je ne fume pas la moquette mais je pense que vous prenez votre cas pour une généralité…
je vous renvoi à ce lien de de Dieudo qui explique à votre inculture l’expression bosser comme comme …
http://www.youtube.com/watch?v=g7_ZL6Qwm-0&feature=player_embedded#!
N’importe quoi…T’es complètement à l’ouest mon pauvre.
« T’es complètement à l’ouest mon pauvre. »
Gaffe Guy, moi j’y habite et j’ai pas envie de me fader de tels voisins !
En effet j’avais pris du peyotl en regardant la ligne jaune j’ai entièrement rêver ce qui se passe à 14mn40seconde Bizarrement personne ne dit :
– » C’est aller très vite vous avez travailler comme des comme des … »
Comme j’avais aussi pris de l’Opium hein j’ai vu la personne qui a prononcé cette phrase faire un sourire mais c’est faux mes yeux m’ont menti !!!
L’effet du LSD m’avait voir que l’animateur ne réagissait pas mais encore une fois oui c’était à cause des drogues !!!
Heureusement vos réponses très paternalistes et nullement des réponses : Faut arrêter de fumer la moquette et t’es complètement à l’ouest m’ont fait voir que j’étais dans l’erreur … Merci à vous !!!PTDR LOL PSM(Pisser Sur Moi) SMS(Sali Mon Slip)
Merci à vous !!!
Reconnaitre ses erreurs est …
Ah oui fait attention à ne pas nous Faire un Elise L. :
-« Je n’ai pas entendu … »
Cra cra cra …
Mais comment pouvez-vous être d’une telle mauvaise foi ? Vous pensez que personne n’utilise des expressions comme « travailler comme des dingues », « travailler comme des brutes », « travailler comme des fous » etc ? L’expression à laquelle vous pensez « travailler comme des nègres » moi je ne l’ai jamais utilisée et surtout personne de ma génération ne l’utilise. Il n’y a que des vieux cons racistes de pères en fils comme Guerlain pour l’avoir à la bouche ou en tête. Surtout, je ne vois pas du tout Merchet l’utiliser.
Mais avançons.
Qu’auriez vous voulu que je fasse ?
Que je lui demande : « Vous alliez dire ‘nègres’ là, après « vous avez travaillé comme des… ? » Sortez du plateau ! Immédiatement ! Sale raciste !
C’est ça ???
Reconnaître ses erreurs dites vous ? Mais pour qui vous prenez vous ???
Vous avez trouvé 3 mots pouvant remplacer nègres… Bagnards, forçats ou galériens(des galères et non les galériens de notre époque qui squattent toute la journée à un point fixe) auraient pu faire l’affaire !!!
J’ai du mal à imaginer que ce Merchet cherche ses mots justes pour une expression aussi simple ou vous et moi avons déjà trouver 6 mots pouvant la finir !!!
Quant au fait que vous dite que ce monsieur n’est pas un raciste vous le connaissez mieux que moi mais bon vu que nous sommes dans le climat de Guerlain je ne dirais pas ça de lui !!! La force du sous entendu …
Quant à comment réagir c’est bien de se poser la question !!! Lequel de nous deux anime une émission ???
Reconnaitre ses erreurs… et bien vu que je n’ai eu que du dédains de vous j’ai reconnu mes erreurs et je me prends juste pour un simple citoyen … qui sous l’effet de la drogue est complètement à coté de ses pompes …
Cra cra cra
Je ne crois pas que les fous travaillent enfin il faudrait définir fou ce qui peut faire l’objet d’un débat…
Pour les dingues euh cf fou !!!
je ne me prononcerais pas qu’en au brutes… de peur des représailles !!!
– 7 lettres
– pas mieux
– fourmis
L’expression travailler comme est toujours suivit d’une catégorie de personne ayant une des chaines aux pieds et que l’on obligeait à travailler… en tous cas en France!!!
Imaginons Elise L. qui nous dise : Qu’auriez vous voulu que je fasse ???
Là c’est chapeau bas !!!
Cra cra cra
Je dis souvent « travailler comme des malades ».
Ce n’est pas contre les malades.
Ça ne veut pas dire non plus que le travail est pathologique.
En fait ça ne veut rien dire du tout :-), c’est employé machinalement une expression. Malheureusement. C’est une sorte de lapsus social qui met plus en cause la société (sinon qui se scandaliserai? Guerlain ne nous préoccupe pas tant qu’on veuille le changer lui). Vu l’âge de Guerlain on est pas certain que cette expression en dise long sur la société actuelle qui ne l’emploie plus. Le risque en ayant fait mousser l’affaire c’est qu’elle redevienne en vogue, vraiment dommage qu’Elise Lucet n’est pas réagi sur le coup. Donc continuez à monter la mayonnaise Tony, faites-vous plaisir, devenez un héros pourfendeur. Mais si on vous détrompe, sachez l’entendre sinon vous vous discréditez grave et vos intentions ne tiennent plus la route à nos yeux.
Toutes ces expressions sont utilisées pour qualifier quand on travaille en oubliant de manger, de boire, dans une sorte d’état originel du travail, sauvage, sous une contrainte hors esclavage, hors salariat, et justement hors pathologie dans le sens où actuellement le travail est devenu une pathologie. Finalement le « comme » est toujours suivi d’une formule non appropriée parce qu’on ne veut pas avoir l’air d’avouer à quel point habituellement le travail est assez vite une corvée, pas épanouissante pour l’undividu.
Pour faire comme si ce travail au volume plus important était pire que ce qu’on connait. Alors qu’il est mieux que ce qu’on connait. Si ça vous est arrivé, vous savez que travailler comme un fou, c’est bon car ça répond à une motivation profonde, intérieure dont on ne sait même pas nommer l’objectif. C’est un état éphémère, euh comme le travail actuel vous me direz..
Ce qui mérité chapeau bas c’est votre bêtise crasse quel que soit votre pseudo.
En français dans le texte :
travailler comme un nègre
travailler comme un forçat
travailler comme un bagnard
impliquent toutes que le travail est forcé: l’idée de coercition(ils avaient tous le fouet pour les y forcer) et que donc pas la possibilité de s’y déroger !
Pouvant même aller jusqu’à la mort du travailleur ! Dans sa grande période un esclave économiquement était viable pendant huit ans au delà ça mort était presque inéluctable d’autres prendraient sa place !
Le bagnard aussi pouvait mourir au travail comme le forçat ou le galérien…
Parfois les exemples pré-cité sont remplacé par des bêtes de traits:
travailler comme un boeuf
travailler comme un cheval
On comprendra que l’animal ne choisit pas de travailler et l’idée de coercition y est, le fouet aussi !!!
Dans la vision populaire le malade étant hospitalisé il ne travaille pas comme le fou qui est interné !!!
Libre à vous de créer des expressions hors du bon sens populaire… et d’y apporter toute les justifications que vous voulez…
Je ne cherche à faire monter aucune sauce !!!
Je sais dans quel pays je vis…
Ce sont plus vos réponses qui vous désservent !
Continuez tout seul, c’est ce que vous faites de mieux en fait… Et surtout n’oubliez pas de prévenir le CRAN.
Vous avez ce que vous voulez ? J’ai effacé votre commentaire imbécile. Adios.
Je viens d’écouter une itw intéressante de Julian Assange sur TSR :
http://www.tsr.ch/video/info/2658290-l-integrale-de-l-interview-de-julian-assange-responsable-de-wikileaks-par-darius-rochebin.html#id=2658290
Si ça vous dit…