(…)
Ce dessin de ZAK paru dans Le Point de cette semaine me réjouit.
Mais je me demande des deux où est le troll… ?
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
Ha ha ha! Excellent!! Quant à la question philosophique, elle demeure!
IRL, je n’ai jamais vu de ceinture verte assortie à la cravate.
Très bon gag, avec plusieurs niveaux de lecture.
Si l’agresseur est le troll il devrait plutôt dire « va voir sur ton site ». Un troll n’a pas de site à lui, c’est de notoriété publique.
il a raison
c’est un échec
http://www.youtube.com/watch?v=ZcgQvZZeBVU
327 000 personnes ont visionné cette vidéo en 3 jours postée par jm Ayrault le 18 janvier
gros buzz
Maintenant que j’y repense, ça dépend.
Y a l’viruel qui bat de l’aile.
Y a l’virtuel qui flanche
J’me souviens plus très bien
Hantait -il la vielle épicerie
Bourré de gens très biens
Pendant qu’il me, pendant que je
Pendant qu’on f’sait la fête
Tous ces textos, ces Twittettes
Qui embrouillaient la tête.
J’ai l’virtuel qui flanche
J’me souviens plus très bien
Lequel de nous deux s’est lassé
De l’autre le premier ?
Etait-ce moi ? Etait-ce lui ?
Etait-ce donc moi ou lui ?
Tout c’que je sais c’est que depuis
Je n’sais plus qui je suis.
J’ai l’virtuel qui flanche
J’me souviens plus très bien
Voilà qu’après toutes nos vies blanches
Il me reste plus rien
Rien qu’un p’tit poing qu’il s’echauffait
Chaque jour en me lisant
Pif paf poum pou dou poum
Pa poum di dou da dit aïe
Moi j’dis que
« Va voir sur mon site »
ça frise le syndrome du vestiaire!
GB sur Twitter :
« Que j’aime recevoir des leçons sur twitteur
un samedi soir pluvieux à 19 heures »
C’est un alexandrin, non ?
Guy est d’évidence un « troll malin » qui aime bien troller ( vieux verbe français ) et prendre « à la cuillère » qui veut « la ramener » (ils sont nombreux certains jours et pas toujours à bon escient), comme dans ces réclamations, il y réussit parfaitement comme à son habitude 😉
En ce qui me concerne pas de commentaires , j’ai vu ce ZAK dans le Point et selon moi il se suffit à lui même 🙂 .
Je me suis toujours considéré comme un troll au moins depuis le moment où je me suis fait taxer de ce qualificatif « fourre-tout » 🙂
Alors bien sur je suis quand même capable de savoir ce qu’est un vrai troll sur la toile mais j’ai également très bien compris comment chacun pouvait finir par être affublé de ce qualificatif dont le but est de discréditer son propos !
Un outil parmi d’autres participant à la censure !
Ceci dit tout reste acte politique autant le vrai ou le faux troll : la volonté objective de nuire à un blog c’est un acte politique et qualifier un interlocuteur de troll dès lors que son propos ne vous plait pas c’est là encore un acte politique !
C’est passionnant l’internet parce qu’on y a toute la palette d’expression entre le dit et le non dit avec y compris les troll en prime !
Freud, Lacan et compagnie auraient adoré l’internet 🙂
S’agit-il d’un message shadokéen, du genre « je pompe donc je suis » : http://www.lesshadoks.com/index2.php?page=3
Et voilà les Shadoks, sur l’INA :
http://www.ina.fr/recherche/recherche/search/shadoks
Sinon, je suis un peu perdue dans vos propos d’initiés : c’est qui le troll qui met des cravates vertes IRL ?
[HS]
Un excellent billet/mail de Jean-Marc Manach :
http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2012/01/21/lisez-vous-etes-surveilles/
Merci pour le lien FPLL, il mérite un RT.
Si l’accès à la culture est bâillonné par le distributeur, celui-ci génère – souvent malgré lui – une riposte à la mesure de la violence que représente, pour sa « cible », le caractère doublement intrusif des outils de contrôle.
Le pire pour un « conso-culteur » n’est peut-être pas tant de se savoir pisté ou tracé, que de se sentir hameçon pour pister ou tracer d’autres « conso-culteurs »; devenir en quelque sorte l’agent trouble d’un distributeur incompétent et/ou malveillant, mais dans tous les cas plus préoccupé par sa propre réussite que par l’objectif de son commerce culturel.
Pour faire de l’argent – ce qui n’est pas blâmable en soi – il faut accepter de vendre autre chose que des mots et des idées… puisqu’ils appartiennent à tout le monde. C’est simple comme bonjour.
Et hop, je viens de découvrir un nouveau blog : je vous le prête http://www.culture-materielle.com/crbst_1.html 😉
‘ reusement que Jean-Marc Manach termine « par la vie privée un truc de vieux cons » et bien heureusement il en a une.
Et il a tout raison. On ne peut pas interagir avec le bien privé, un livre, une photo, etc est un bien privé, aujourd’hui comme avant lorsque 10 % de la population de 1 milliard de quidams savaient lire et 1 % traduire. Aujourd’hui avec 7 milliards, les choses changent. En tout premier lieu, tout ce que nous inventons à déjà été conçu dans un autre ailleurs et un autre temps. sans qu’il puisse y avoir copie, Picasso.. Etc dessine les même têtes qu’un peuple illettrés d’Inde découvert en 1973. Et si on parle du livre… bon on ne parle pas du livre 🙂 La contamination de chaque chose par internet impose une autre contrat de l’auteur et du lecteur, visionneur, interpréteur et non pas interprêteur …Mais surtout pour ce qui concerne le billet de Jean-Marc Manach un architecte, le concepteur, n’est pas le maître de l’ouvrage, il touche 10 % de l’investissement et rien sur les loyers et rien sur la plus-value et rien sur la perte. Ensuite chacun fait comme il veut. L’auteur peut passer un contrat avec son éditeur, et prendre 10 % sur le livre papier, et mettre son manuscrit en ligne dupliquable à souhait, tout comme un journaliste peut prendre 20% de son salaire et mettre ses colonnes en ligne.
Alors Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet créeront 5 colonnes en ligne. Nous sommes enfin en 1959.
Les mots et les idées appartiennent à ceux qui les créent, les inventent et les produisent. Et surtout pas à ceux qui se les approprient. Bien que ce soit l’Exception de la culture française devenue.
1793 la constitution de la terreur.
Second article: Protection de la propriété privée.
La chose produite collectivement appartient à l’espace collectif
La chose produite au sein de la sphère privée appartient à cette même sphère privée.
C’est bien de le rappeler au sarkozysme, mais pas que.
Au cas où.
http://youtu.be/5l0ytUxNh2s
Intéressant, l’œuf pondu de ce matin. Mais il faut du temps pour lire toutes les sources !
🙂
– La vérité reste toujours à trouver parce qu’elle est toujours infinie – jean-paul sartre
La vérité dans le cadre qui est le notre c’est que la République on l’aime ou on la quitte !
J’attends ce langage de vérité là !
Rien d’infini, tout cadré, tout figé si j’osais dire !
Plus que figé, plus que gravé dans le marbre, la république pour projet de civilisation visant à respecter et faire respecter de manière universelle nos valeurs inaliénables, indiscutables, non négociables de liberté, d’égalité, de fraternité, de laïcité !
Et tout reste démocratique en république parce que si on ne l’aime pas, si on n’en veut pas on la quitte, on dégage ou alors on assume en toute transparence de la dissoudre pour proposer un autre système de valeurs établissant État National et érigeant le travail, la famille, la patrie comme valeurs d’avenir !
Cette dialectique, comme depuis 2002, restera la mienne et j’attends qu’elle soit clairement énoncée !
Plus que jamais je reste un Républicain, dans le camps républicain opposé plus qu’hier au camp des Démocrates dont le seul but a été de démolir la république de la manière la plus antidémocratique qui soit !
Ne pleure pas Jeanette… j’t’encule à sec si tu veux?
Je ne te lis pas… les petits messieurs aux idées monstrueuses, même enrobées d’chocolat, très peu pour moi!
Eins, zwei, Polizei,
Drei, vier, grenadier’
Fünf, sechs, alte hex’
Sieben, acht, gute Nacht.
Neun, zehn, auf Wiedersehen!
[Variante] :
Neun, zehn, schlafen geh’n.
Oh, oh, oh, oh, oh
…
Ja, ja, ja, was is’ los, was ist das ?
De Mo-Do pour mon Quasimodo-gargouille.