[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=l_FZVD5lsAw[/youtube] The Who…
The Who…
(…)
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
La voix de Daltrey.
La folie de Keith Moon
La discrétion de John Entwistle
Le feeling de Townshend….
Pas des caisses de groupes aussi talentueux. Allez, je me fais un petit Pinball Wizard pour terminer.
Le génie de Townshend.
Est ce que l’épicerie possède dans ses articles exceptionnels, ce produit rare et précieux, que l’on réserve normalement aux clients les plus fidèles, aux amis, et qui s’appelle « un conseil »?
Vous avez l’air heureux derrière votre comptoir, qu’il soit composé d’un clavier numérique ou de la bonnette d’un micro. C’est le secret de ce bonheur que je voudrais me procurer.
Imaginons. La crise fait rage, les places sont chères, vous êtes sans travail. Et là deux chemins s’offrent à vous:
1) une opportunité qui s’inscrit logiquement dans votre cv, qui vous sauverait durablement de la misère mais dont vous doutez (en ai-je vraiment les capacités? En ai-je vraiment envie? Est ce que je ressens vraiment ce désir qui fera que je travaillerai bien? Est que continuer sur ma lancée est vraiment ce qui me donne envie de me lever?)
2) un projet peu sûr, hypothétique, soumis à un ensemble de conditions que vous ne maitrisez pas totalement, qui est une véritable rupture dans votre parcours mais qui vous attire et qui fait résonner en vous tous les signaux de la vocation.
Entre ces deux boîtes, j’aimerais savoir dans laquelle un épicier avisé, irait plonger sa main. Je vous arrête avant que vous m’opposiez le fait qu' »épicier » n’est pas « conseiller es nécessiteux ». Les gens heureux ont une sagesse qu’il faut savoir solliciter.
Si vous me répondez, je ne pourrai vous payer en retour que d’un « merci » mais il sera des plus sincères.