Jump

Felix

OMG…

OMG…

(…)

J’ai eu le souffle coupé…

 

 

16 Commentaires

  1. C’est ce qu’on peut appeler extraordinaire 🙂
    Je m’étais mis dans la tête qu’il n’allait pas en réchapper et ça invite à se dire que ce sont bien les exploits fous qui font avancer le monde !

  2. Le seul homme au monde à pouvoir dire ce que signifie d’atteindre 1,24 la vitesse du son !
    Quel pied il a du prendre 🙂

  3. Certains s’escriment à vouloir franchir le « mur du çon »…
    Lui a passé, seul, ou quelque peu appareillé, le mur du son.

    Charles

  4. À la lumière de ce saut, je pense à son prédécesseur Joe Kittinger (qui faisait d’ailleurs partie de l’entourage de Baumgartner). Il avait sauté de 31 333 m en 1960.
    Il y a plus d’un demi-siècle, il n’y avait pas tous les matériaux et équipements aussi performants que maintenant. On peut comparer les deux exploits.

  5. Malbrouck,
    « ce sont bien les exploits fous qui font avancer le monde » écrivez-vous.
    J’admire cet exploit fou, mais ne vois pas en quoi il fait avancer quoi que ce soit dans cette vallée de larmes.

  6. Baumgartner d’acier…

  7. @ raymondb
    La NASA a été la première à féliciter Baumgartner en disant que ce qu’il avait fait aller aider dans la récupération de spationautes en difficulté.

  8. et il atterrit à Roswell!
    amis complotiste à vos plumes et clavier!

  9. Faire avancer au sens de dépasser les limites au sens scientifique : c’est une expérience scientifique autant qu’un exploit individuel !
    Ce Félix mérite respect car avant le coup personne ne pouvait certifier qu’il en sortirait indemne !
    Aller au bout de soi, de son projet personnel c’est pas mal aussi !

  10. J’ai sauté de 4 500m et je trouvais cela très haut, mais là il faut une formation spéciale et un courage à tout épreuve. Bravo à Baumgartner et gràce à lui les futurs pilotes de navettes spatiales pourront avoir une chance s’en sortir en cas de pépin !

  11. Renseignements pris : c’est SUBLIME…

    (je suis content d’avoir commencé par en rire – merci Coyote et Seinfeld – avant d’avoir été « calmé »)

    BRAVO Félix !
    Historix !

  12. Juste une petite précision, très tardive…

    Tout simplement pour dire que c’est une autre vidéo, aperçue sur le Le Monde.fr, qui a fini par interrompre mon amusement… Et qui m’a bouleversé, même !

    Cette image qui montre un type statique dans sa combinaison, dans sa capsule, dans son petit coin de stratosphère, ramassé sur lui-même avant le grand saut… Surplombant notre chère vieille Terre – bien ronde – sur laquelle il est fermement décidé à retourner, mais par un autre chemin que celui par lequel il est venu…
    Face-à-face calme et silencieux, sans aucun mouvement, qui m’a laissé comme deux ronds de flan.

    Du coup, je me dis que les premières images, mobiles, livrées ici-même vingt-quatre heures plus tôt, ne restituaient peut-être pas entièrement la beauté de cet évènement dont j’ignorais alors tout du contexte et de la portée.

    Une vidéo ultra-courte, partagée presque sans aucune présentation (attention ceci n’est pas une critique, et je comprends beaucoup mieux à présent le « OMG »…) mais qui m’est d’abord apparue comme l’énième exploit sportif d’un « aventurier de l’extrême » – avec sa consécration médiatique obligée.

    J’ai donc d’abord réagi à ce que j’ai vu par association et le parallèle avec Coyote s’est vite imposé, entre ces deux personnages d’abord visibles en gros plan mais qui s’éloignent à toute blinde – en huit secondes verticales bien précises dans les deux cas – pour n’être bientôt plus que de simples points de fuite engloutis dans le néant…
    Une image de « l’homme qui rétrécit « , qui « redevient poussière », etc… Bref, autant de raisons de rire !

    … En résumé, pour faire court et rapide, le contraste m’intéresse entre ces deux séquences.

    L’une est spectaculaire, en mouvement, en vision subjective. Elle représente l’immédiat, avec le sol pour horizon.
    L’autre est immobile, incarnée, projective. Elle appelle ce qui VA se produire. C’est le moment d’avant le bon-moment.

    Et surtout, cette seconde séquence s’inscrit dans une histoire très belle qui a commencé au siècle dernier, lorsque les premiers astronautes ont offert à la télévision et au monde entier le spectacle de notre Maison à tous…

    D’ailleurs ce qui me plait aussi dans cet événement, c’est cette idée du type qui se donne un mal de chien pour fuir la Terre, va le plus loin possible, se retourne, la regarde… et décide d’y retourner avec fougue, avec passion, en mode « comète »…

    … J’en fais peut-être déjà trop – et en trop peu de temps -, mais y a de quoi faire…

    Rien que ce prénom, qui signifie « Heureux »… si c’est pas mythique !

  13. (… je pars du principe que cette histoire est vraie, naturellement ;-))

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14 Oct, 2012

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