Frédéric est revenu avec ses tripes !

Zadig & Voltaire

Enfin…
Enfin…

(…)

 Un seul être nous manquait et tout était dépeuplé…

Ce débit, ces fulgurances, ses tripes oui ses tripes (à 6’23) …

 

 

9 Commentaires

  1. Je le trouve assagi…

  2. à quand un reportage sur les marionnettes du gouvernement dans la pièce : les guignolades de l’Etat !
    Et dans le rôle principal le premier guignol qui dit un jour 39 h et le lendemain 35 heures…
    Et dans les marionnettes, il y un choix important pour tout les rôles du théâtre de Guignol.

  3. Je n’avais pas encore lu ta rubrique dans LeHuffPost !
    Je vois que tu te rapproches de mon précédent message, quand tu écris:
    « Quand un premier ministre n’a ni savoir-faire, ni faire savoir, ça devient un problème. Un très gros problème. »
    C’est bien, continue à ouvrir les yeux en grand !
    Sur LeHuffPost, beaucoup ne te connaissent pas, oser écrire que tu défends la droite, c’est qu’ils ne t’ont jamais lu…

  4. À ceux qui râlent après les bourdes d’Ayrault, la pusillanimité d’Hollande, etc., se souvenir de Frédéric Lefebvre et de Nadine Morano, de Brice Hortefeux et de Patrick Buisson, des factures de cigares ou de sondages, de valises de billets et de Kadhafi, et se dire que tout de même, il faut relativiser et de deux maux choisir le moindre…

    http://www.lesinrocks.com/2012/10/30/actualite/ledito-daudrey-pulvar-troudememoire-11318420/

  5. « Frédéric est revenu avec ses tripes !… » aïe ! ça va faire mal!
    Nous avons le choix : à la mode de Caen ou tripoux d’Aurillac,…

  6. Avec ses tripes from Zadig et Voltaire ?

  7. Certains hommes politiques font plus « anguilles » que d’autres : lui et Xavier Bertrand par exemple me donnent cette désagréable impression 😉
    Ils ont tellement de tripes qu’il leur est parfois difficile de choisir clairement entre l’un ou l’autre par exemple !
    Ceux qui ménagent l’avenir, qui surveillent les sondages, qui se positionnent ici et là au gré du vent !
    Anguilles ou opportunistes si vous préférez !

  8. Et à propos des couacs gouvernementaux il ne s’agit pas de râler mais plutôt de commencer à s’inquiéter !
    En bon militant socialiste je m’étais promis d’attendre au moins un an pour porter critique (positive ou négative) et je suis de ceux qui accordent volontiers circonstances atténuantes en raison de la fameuse crise (y compris avant les présidentielles lors du projet socialiste en gestation auquel je ne prêtais aucune espérance exagérée) ! On peut être socialiste et à la fois lucide !
    Malheureusement ce gouvernement nous oblige à sortir d’une certaine réserve bienveillante !
    Et comme je l’écrivais hier ailleurs, je ne suis meme plus sur qu’il s’agisse de « couacs » à ce tarif là : d’étranges « couacs » qui se succèdent les uns aux autres et qui font plutôt ressortir la schizophrène attitude d’un gouvernement social démocrate tenté par le libéralisme (à la Tony Blair ou à la façon Gerhard Schroeder) mais dont le président a été élu sur un programme socialiste à minima (et dont chacun reconnait et comprend par ailleurs la modestie en raison de la crise) ! Raison de plus pour ne surtout pas toucher à des symboles jusqu’à aller dire qu’il n’y aucun tabou ! La crise démocratique c’est quand des socialistes font dans le libéralisme tout comme les umpistes font dans le nationalisme : la mode d’une gauche décomplexée et d’une droite décomplexée qui un beau matin ne nous donneront plus qu’à choisir entre FN ou Front de Gauche c’est tout qui nous attend ! Crise démocratique, crise de régime, crise des idéologies c’est autre chose et bien plus profond que de malheureux couacs présentés comme tels ! On notera qu’un socialiste décomplexé vire à droite, un umpiste décomplexé vire à l’extrême droite : on n’est jamais décomplexé pour virer à gauche dans cette histoire ! Ça devient problématique !

  9. Pardon d’être long mais la situation actuelle invite à réfléchir ! La question métaphysique c’est que face aux idéologies, en période de « crise », on nous laisse entendre que le principe de réalité impose des réponses libérales puisqu’on se trouve dans un monde global libéral et que c’est d’ailleurs la seule recette qui mérite crédit !
    Dans ce cas là pourquoi on nous propose des élections démocratiques basées sur des idéologies dont on nous explique ensuite qu’elles ne sont pas crédibles ?
    Je retombe donc comme d’habitude sur ma critique de « la démocratie » dès lors qu’il s’agit en fin de compte de singeries et de parodie dont je me priverais volontiers d’être un acteur imbécile !
    Je ne comprends toujours pas pourquoi les Elites de la Nation ne décident pas de dissoudre tout parti politique, par définition inutile, pour imposer un gouvernement dictatorial d’union nationale afin de mettre en œuvre la seule politique reconnue par tous comme la seule viable !
    Un régime stable dont la durée minimum de 20 ans satisfera à la sempiternelle question de la durée (m’évitant les trop nombreuses singeries électorales du dimanche : j’ai horreur de me déplacer le dimanche)!
    Zut à la longue !! 🙂

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30 Oct, 2012

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