Interruptus

112

Hors les obligations professionnelles et les (rares) envies, je ne lis que des vieux livres trouvés ou achetés à des bouquinistes…

Hors les obligations professionnelles (auteurs reçus) et les (rares) envies , je ne lis que des vieux livres trouvés ou achetés à des bouquinistes…

(…)

Je somnolais dans un bon vieux Boileau-Narcejac (Les victimes)…


Et là c’est le drame.

Arrivé à la page 112, je me rends compte que je n’ai pas DU TOUT la fin du texte…


Bien sûr, je vais le retrouver, Les victimes, sur Amazon, ou à la Fnac.

L’acheter. Et le terminer.

À moins que l’un(e) d’entre-vous ne l’ait et ne veuille me l’envoyer ?

Mais, là, en tous cas, et c’est ça le souci, c’est foutu pour aujourd’hui.

19 Commentaires

  1. C’est pas plutôt Boileau-Narcejac ? 😉

  2. Absolument, je corrige

  3. ca m’est arrivé a moi aussi… il manquait les 15 dernieres pages. que je n’ai jamais eu le courage d’aller chercher.

  4. Les Victimes ce sont ces pages qui ont été enlevées et qu’on a fait disparaître à tout jamais. CQFD

  5. Moi aussi ça m’est arrivé il y a longtemps, un livre de SF emballé comme un cadeau sous un plastique transparent. C’est comme les mandarines emballées au milieu des autres, il ne faut pas les prendre.

  6. C’est drôlement agaçant au moment où ça vous tombe dessus ce genre de truc…
    Dans la vie il y a des grands moments de solitude qui vous feraient presque croire à un complot mondial pour vous enquiquiner l’existence 🙂
    C’est peut être là pour nous apprendre à gérer la frustration ?

  7. Soyez sympas. Si vous ne voulez pas prêter votre bouquin à Guy, vous pourriez au moins lui dire comment le flic a fait pour trouver que l’assassin était bien le coupable (à moins que ça ne soit l’inverse).

  8. Le plus simple est de toujours regarder les dernières pages lorsqu’on achète de vieux bouquins…bon M. de La Palisse en aurait dit autant ! mais c’est aussi un peu de bon sens.
    A pat ça, je vais quand même chercher dans les tréfonds de la bibliothèque où je suis bénévole ; on ne sait jamais…

  9. C’eût été du Pierre Daninos, du Cavanna ou du Vialatte, je les ai pratiquement tous. Mais là, désolé Guy et bonne chance.

  10. Voilà pourquoi, avant d’acheter un polar, je commence toujours par lire la fin.
    Vieux réflexe car pour moi une fin mal écrite sonne la fin de mon désir de lecture. Alors une fin disparue, vous imaginez bien…
    Les derniers mots sont souvent révélateurs et sont aussi importants que ceux du 1er paragraphe.

  11. suggestion de truc qui fasse envie : Pierre Autin-Grenier, C’est tous les jours comme ça, éd. finitude, bordeaux, 2010.

  12. As,

    Pousser l’anticonformisme jusqu’à aller d’abord lire le dénouement d’une intrigue policière : vous êtes une véritable anarchiste 🙂

  13. Il était une fois,

    Cette aventure était là pour vous éprouver, comme vous le faites ici même avec nous. Vous auriez du imaginer, puis écrire la suite…frustration, révélation….ou grande solitude.

  14. voir les 5 dernières minutes du film ? j’essaie d’aider, hein, parce que c’est très frustrant.

  15. @Malbrouck

    Lol, j’avais pas vu la chose sous cet angle.
    C’est mon prof de lettres qui m’avait dit cette chose:

    « Un écrivain qui cochonne sa fin se révèle souvent insupportable à lire »

    J’ai largement pu le vérifier chez les auteurs de policiers ou romans à suspense (mais je crois que c’est important pour n’importe quel genre littéraire).
    Finalement dans ces lectures, ce n’est pas le nom du meurtrier que je cherche mais bien à examiner le parcours de l’auteur pour mettre en place l’intrigue.
    Débarrassée du « Qui? », je m’attarde sur le pourquoi et le comment qui sont souvent le plus intéressant.

    Mais toutes les fins ne sont pas si claires et provoquent la frustration qui vous obligera à dévorer le livre d’une traite, ne pouvant rester sur de telles incertitudes.

    C’est devenu un tic (anarchiste donc) qui m’a aussi sauvé de quelques préjugés littéraires.

  16. 🙂

  17. Moi ce qui m’énerve (mais ça fait longtemps que ça ne m’est plus arrivé) ce sont les livres dont les pages ne sont pas coupées.

  18. Faites passer cela à la crapaude, dont je ne connaissais son existence avant qu’elle ne me chie dessus, et aux autres ……)

  19. Foutez-moi la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    (Ne s’adresse qu’à ceux qui m’ont pissé dessus. Vous n’êtes là que pour blesser.)

    Je ne sais pourquoi certains se sont sentis visés ? Je ne visais que mon « ami » qui me déposait ses petits cailloux crasseux, tel le Petit Poucet, sur mon chemin. Le porc, ça vient de lui, pas besoin d’expliciter. (Un exemple parmi d‘autres.)
    Je pensais déconner avec lui, car je suis passé au-delàs des préjugés, j’ai vite déchanté ! J’ai été saucé, gratos, à donf !
    C’est bon ! C’est lui le plus fort ! Je dois être une cavalière journaliste pour avoir cru penser que vous prendriez cela avec humour !
    Celui qu’il faut lire et relire : Rimbaud. C’est lui le meilleur. Et relire son « fils » spirituel Mallarmé. Très zarbi !
    Mes commentaires, si tant est qu’ils furent justes, étaient à prendre bien évidemment, aussi, au premier degré.
    Pour le désir d’avenir : consultez Dieu !
    Ca va trop loin.
    Foutez-moi la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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