L’essentiel…

ina

Il y a l’accessoire…

Il y a l’accessoire (remplissez les cases)…

(…)

Et il y a le reste.

Et ça, c’est le reste…

6 mars 1969…

Les paroles…

 

14 Commentaires

  1. écran noir chez moi.

  2. Un vrai bijou…

  3. Bel exploit de Reggiani qui réussit par instants à faire oublier LA version de Boris Vian lui-même…

    Et dans la série « reprises », j’appelle à présent… -** roulement de tambour **-…

    http://www.youtube.com/watch?v=IKRPALEyP-g

    … avec un petit caillou pour Rinaldi, qui s’est laissé glisser le 2 mars 2012 (c’est ici que j’avais appris la nouvelle).

  4. Merciiiiiiii!
    C’ est ma chanson préférée.
    ♥♥♥♫♪☼
    « J’ y retourne immédiatement ! »

  5. Effrayant l’avant-dernière strophe.Quoique!

  6. Henri Matisse a raison : il y a des fleurs partout pour qui veut bien les voir.
    Boris Vian, Serge Reggiani et tant d’autres poètes, artistes ont contribué et continuent à contribuer à représenter un joli bouquet…
    Ce site de l’ina est d’une valeur inestimable de ce point de vue…
    Tout le problème c’est d’essayer de voir les fleurs d’aujourd’hui pour ne pas sombrer dans une pure et simple nostalgie…
    Ils semblaient avoir une telle conscience des choses, une telle épaisseur qu’on a bien du mal à trouver aujourd’hui une équivalence !

  7. ui mais ça dépend des imératifs de commercialisation : par exemple sur votre ancien blog sur 20minutes.fr des attaques antisémites contre Daniel Schneidermann (par ailleurs mal placé pour se plaindre d’attaques racistes vu son blog de l’époque, en dépit de l’honnêteté de son associé David Abiker indiquant qu’il n’avait pas d’amis « noirs ») c’était « l’essentiel ».

    Sur le site d’Anne Sinclair indignons-nous parce que Dany Boon (que je ne connais que de nom) a écrit une connerie.

    Moi mon actu microcosmique du jour (mais vous pouvez prétendre avoir rompu avec la fange germanopratine) ce sont les excuses du Nouvel Obs à DSK dans l’affaire Iacub.

    Certes je sais déjà que la femme de chambre de l’hôtel (onéreux) dans lequel je coucherai ce soir ne me proposera pas de me faire une pipe gratuitement après 120 secondes d’interaction. Sylvain Bourmeau ne me fera donc jamais d’excuses pour avoir violé ma vie privée sur Twitter (ce qui me fera faire des économie jusqu’au prochain guichet-départ, soit 12 à 24 mois à ne plus payer pour le torchon libe.fr). Et Marcela Iacub n’essaiera pas de coucher avec moi (une nana usagée du CNRS même si j’apprécie ses écrits elle n’avait de toute façon aucune chance).

    Bon, dans les moins de 50 non scolarisés, qui lit encore Boris Vian ?

  8. Je précise que j’espère que mes enfants liront Boris Vian. Et d’autres. Sur support écrit ou sur tablette. Et que comme Guy je leur dirai que quand j’étais jeune c’était mieux et qu’ils me prendront légitimement pour un vieux con (ce que j’ai déjà constaté pour les dernières législatives, moi PS hollandophile confronté à des mélenchiens de vingt années plus jeunes que moi).

  9. Ce n’est peut-être pas une question de « nostalgie », mais tout simplement de filtrage, qui s’opère naturellement avec le temps. Les plus sublimes fleurs d’aujourd’hui sont parfois cachées parmi les moins visibles, celles justement dont la fragrance leur aura survécu le lendemain. Bien malin qui peut prédire. Balzac lui-même n’était pas classé dans le « top 50″… mais les meilleurs « vendeurs » de son époque sont déjà retournés dans les limbes de l’Histoire, depuis belle lurette. Quant à la chanson française actuelle, sans être un expert – loin de là -, je distingue encore aujourd’hui quelques belles filiations revendiquées, et tout à fait dignes de leurs vénérables prédécesseurs. Mais je ne ferai pas de pari, ni de prophétie. On s’en tape, de « ce qu’écouteront demain les gens ». Continuons d’être curieux, de chercher et de partager avec bienveillance, tous nos sens en éveil. Et si possible, sans nous départir de cette bonne humeur qui constitue la vraie politesse…

    Enfin, n’oublions pas que sur chaque oeuvre s’incrustent, au long des années, toutes les interprétations qui en ont été données. Aucune ne naît « chef-d’oeuvre », elle le devient après avoir absorbé d’autres regards, d’autres écoutes, mais aussi d’autres oeuvres qui lui ont succédé, lui succèdent encore et continueront de le faire pendant longtemps.

    Ce n’est donc pas une question de nostalgie, et encore moins de rareté, mais bien de visibilité. Les grands artistes ne sont pas en voie de disparition, comme cela se dit et se bassine, depuis que la poésie existe… Notre époque veut simplement, peut-être, que chacun se procure de bonnes lunettes, de bons sonotones et de bons masques à oxygène…. Gros inconvénient, en effet, dans cette révolution technologique dont nous sommes tous partie prenante, en temps réel : la masse d’informations qui nous parvient quotidiennement. Énorme avantage, en revanche : la capacité de se refiler les bons tuyaux, de se rencarder les uns les autres, pour mettre en commun nos découvertes de promeneurs solitaires…

    Alors horticulteurs, herboristes et flâneurs de tous pays, professionnels ou amateurs, unissons-nous 😉

  10. NK

    Vous êtes le plus doux d’entre nous tous ! Pas que cinéphile, je vous vois « funambule », allez savoir pourquoi ! Un Cyrano de Bergerac des temps modernes danseur acrobate funambule (j’ai de ces fantasmes parfois) 🙂

  11. Nan, Malbrouck, en vrai j’suis une teigne… Mais j’me soigne !

  12. 😉

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6 Mar, 2013

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