Un cadeau…

ina

La classe…

La classe…

(…)

16 mars 1965…

 

Post scriptum oui l’interview se répète deux fois.

8 Commentaires

  1. Waouh…

  2. La fragilité tranquille, une sorte de fragilité tranquillement restituée par un homme qui à priori en impose…L’humilité lui permet d’exprimer le doute absolu sur le sens de l’existence, sur l’idée de « satisfaction » ! Quelle beauté d’esprit !
    Faudra tout de meme qu’on m’explique un jour d’où vient l’épaisseur presque naturelle chez tant d’acteurs de cette époque comparée à la notre ! Mystère !

  3. Ouohhhh… Punaise, ça tue……

  4. Dés les premières secondes, ce rire qui ricoche dans nos oreilles.
    Ce sourire qui désarme,ces yeux qui atomisent.

    « Taper le tambour » On écarquille presque les yeux quand on entend cette réponse.
    On sourit soudain devant cette évidence qui pourtant nous déstabilise à chaque fois.
    Le corps et la tête. La force et la fragilité. L’envie et la répulsion. La lumière et l’ombre.

    Tout ça en lui. Monstre sacré est la seule expression qui lui convienne.

    Ps: @Malbrouck, le mystère justement, c’est cela qu’on a perdu. L’exposition médiatique n’est plus la même. Les codes ont changé. La communication a pris le pas sur l’expression. L’argent et le marketing ont achevé la bête.

  5. L intelligence animale

    Que serait la séduction, le charme sans espièglerie ….c’est peut être une définition de la beauté, du désir et de la force. Chez Brando elle est omniprésente, dans son rire, dans son regard et au coin de ses lèvres, c’est elle, l’espiègle-rie , elle nous attire dans sa toile, nous fait chavirer, nous charme.

    Il joue délicieusement avec nous et nous aimons lui « donner la réplique »…

  6. As,

    Désolé par avance pour une pensée décousue mais comme vous j’ai pensé au marketing d’aujourd’hui, déshumanisant tout jusqu’à transformer les artistes en produits sans l’ombre d’une âme ! Sauf qu’on nous a toujours présenté Hollywood comme la machine industrielle de l’image par excellence….Au delà du marketing on peut donc s’interroger sur une époque, un contexte avec son arrière fond idéologique permettant de laisser passer une part d’authenticité comparée à notre période livrée au tout marketing sans arrière fond en raison d’un grand vide abyssal ! C’est mon impression ! Sans vouloir verser dans le poncif il y avait de la conscience politique et ça traversait toute la société, aujourd’hui la panne est telle que nos artistes n’ont pas d’autre choix que d’être des robots vendant leurs produits et prenant meme parfois le temps de bien rappeler qu’ils n’ont ni message, ni avis, ni opinion à propos de quoi que ce soit ! Le citoyen politique authentique a disparu des écrans, il n’y a plus de Jane Fonda pour attirer l’attention sur la Syrie comme hier sur le Vietnam par exemple !
    Bien sur qu’il existe quelques résistances façon Sean Pen ou Michael Moore mais ça n’a plus la meme résonance : c’est vite rangé dans le grand fourre tout marketing ! La résignation est bien trop forte pour laisser place au mouvement d’indignation initié par Stéphane Hessel ! Bien trop occupés à tous participer à jouer dans un film, nous jouons parfois les indignés à défaut de l’être ! On a dépassé Hollywood dans tout d’une certaine manière ! On est coincés dans le film, genre  » la rose pourpre du Caire » 🙂

  7. Ben non, elle ne se répète qu’une fois !

  8. Dans mon film voilà que je twitte avec Edgar Morin 😉 Rien que ça, excusez du peu ! Que ce soit le vrai ou pas j’imagine qu’il a suffisamment de compassion pour son prochain pour répondre parfois à mes questions idiotes !
    Du temps du téléphone (le vieux téléphone et son vieux bottin) rien ne m’empêchait, dans l’absolu, de téléphoner à Edgar Morin 🙂
    Avec ce twitter tout change puisque la grande cabine téléphonique universelle nous donne accès en ligne ouverte et directe à tout interlocuteur d’un grand bottin ouvert et on se met meme tous à écouter les conversations téléphoniques online des uns et des autres ! Quelle époque fantastique 🙂
    Rien qu’à imaginer du tweet avec un JP Sartre pour le cuisiner sur le déterminisme en 140 caractères je regrette que ces outils n’aient pas été inventés à une époque où on avait encore des illusions idéologiques !
    On a maintenant le pétrole mais on n’a plus les idées…

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