May Day

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Quand il n’y a rien à ajouter…
Quand il n’y a rien à ajouter…

(…)

 

Source

Et pour les non anglophones

 

28 Commentaires

  1. Triste May Day : des syndicats estampillés de gauche complètement divisés avec l’ANI et un FN regonflé à bloc !
    En prévention à la critique on peut parfaitement regretter, être malheureux d’assister à un tel climat général, on peut légitimement s’inquiéter d’éventuelles suites dramatiques et dans le meme temps admettre et accepter que par un principe de réalité évident il apparait juste que le système explose (et au plus vite au mieux si j’ose dire)!
    Je rappelle donc à tout détracteur que mes écrits n’enlèvent rien à la réalité et à la très concrète et violente dégradation des institutions, le coup de massue sur la morale publique sous fond de crise économique, sociale, politique !
    Ce que j’en dis ne changera rien à l’affaire et il est donc inutile de faire une névrose obsessionnelle sur ma personne (c’est franchement sans intérêt)

  2. Le « détracteur » ne détruit rien : il a juste cité certains propos qu’il estime hallucinants.

    Je parlerais donc plutôt d’auto-destruction de la part de celui qui est si fier de les avoir proférés.

    Surtout, je trouve minable de venir pourrir le fil de discussion de ce post en miaulant, alors que le sujet était déjà engagé sous le précédent.

  3. Oui Pyrrhon je suis halluciné comme vous par cette abracadabrantesque affaire Cahuzac et vous n’avez pas pas tort de nous rappeler que l’affaire Guéant vient en rajouter une couche ! Hallucinations très justifiées en effet !

  4. Je pense surtout n’avoir pas eu tort de rappeler le genre de choses que vous êtes capable d’écrire, dans un contexte qui s’y prêtait on ne peut mieux grâce à vous.

    Pour le reste, vous aurez certainement tout loisir de nous reparler à nouveau de Cahuzac ou de Guéant, et d’en profiter pour faire comme d’habitude votre propre éloge – plus ou moins discrètement – dès lors que le billet du jour portera sur un tout autre sujet.

  5. 🙂 mon éloge funèbre lorsque je ressens les douleurs aux cervicales ! Vous faites une fixette Pyrrhon ; sortez en et portez plutôt intérêt à l’essentiel ! Allons !

  6. Pirouette cacahuète… Je vous ressors quand vous voulez des flots d’extraits de votre autosatisfaction.

    Quant à ma fixette : vous n’arrêtez jamais de vous répandre ici, on ne voit que vous et vous le savez très bien.

    D’ailleurs, maintenant que je sais à qui j’ai affaire, à présent que je vous ai beaucoup lu et un peu étudié, j’aimerais TELLEMENT qu’il existe une option pour ne plus jamais voir apparaître sous les billets de GB tous vos fatigants commentaires, sans avoir à les « passer des yeux ».

    Je pense avoir fait le tour et ce n’est guère reluisant. J’ai pu apprendre plein de trucs en vous observant, soyez-en sûr. Merci d’avoir fourni autant de « matière », ici ou ailleurs.

    Et merci de m’avoir donné tout à l’heure sous le billet précédent l’occasion d’en partager quelques échantillons parmi les « meilleurs morceaux » (façon de parler)

    Un dernier mot : je suis sincèrement navré par votre douloureuse vie, votre douloureuse histoire…
    Je suis désolé que vous passiez votre temps tout seul, en ligne, avec pour seule compagnie ce que vous appelez des « No Life » dont rien ne vous différencie…

    Ma seule consolation, c’est de savoir que tous les traumatisés ne finissent pas comme vous.

  7. :-)Pyrrhon votre appel à manifester le 5 mai en ramenant un balai (joli clin d’œil à Lordon) m’apparait un peu trop exalté meme si je partage votre aspiration à une 6ème République !

  8. Bon, de vous à moi, on peut échanger en anglais, vu que nous sommes tous tellement cultivés et polyglottes …

     » Et pour les non anglophones…  »

    Sous entendu, pour les blaireaux, les ceusses qui ne savent même pas causer l’anglais (ce qui, vous l’avouerez, est tout de même une faute de goût révellatrice).

    Quelle condescendance!

  9. C’est un grand jour de défilé 🙂

  10. Et puis, inculture pour inculture : je pensais (naïvement) qu’en anglais on accordait en genre et en nombre : du coup, ’30 hour’ mériterait peut être un ‘s’…

    Qu’est ce que je vais prendre moi…

  11. M’attribuer des propos qui ne sont pas les miens :

    Ultime soubresaut de l’échappé de l’asile qui rêve d’en devenir le directeur…

  12. Oui Pyrrhon ; vous me parlez de ce lien ?

    http://www.huffingtonpost.fr/2013/05/01/guy-birenbaum-claude-gueant_n_3190467.html?utm_source=Alert-blogger&utm_medium=email&utm_campaign=Email%2BNotifications

    Je n’ai rien à rajouter à votre commentaire sur ce sujet et comme vous j’ai trouvé que ce billet intéressant a trouvé un juste renfort à travers l’œil aiguisé de Nabil Touati

    http://www.huffingtonpost.fr/2013/04/12/gueant-ne-sait-pas-comment-blanchir-argent-et-pourtant_n_3191006.html?utm_hp_ref=france

  13. Incroyable, Malbrouck indique un lien vers des textes écrits par quelqu’un d’autre que lui… C’est si rare ! Ça sent la fatigue…

    (Relancé à nouveau par lui, en tout cas, et maintenant qu’il a bien pourri le fil de discussion comme d’habitude (voir plus haut), j’en profite pour inviter une dernière fois qui le souhaite à prendre connaissance de ses propos ‘édifiants’ que j’ai cités en commentaire, dans un contexte bien précis, sous le billet daté d’hier…

    Lui qui aime tant fustiger les incohérences et l’amnésie des autres, faut pas trop le chercher avec les siennes, on dirait…)

  14. * « … indique des liens« , encore mieux !

  15. Je veux bien croire que Pyrrhon le sceptique, dont la caractéristique est de n’avoir jamais pu rien écrire, (ne croyant en rien dans l’absolu), ait parfois critiqué un Platon au motif qu’il ait osé exprimer des idées ! 🙂
    Oui ça se tient !

  16. Mon pseudo est un hommage à Pyrrhon, mais surtout un pied de nez aux vociférants un peu trop sûrs d’eux !

    Tandis que vous, en vous comparant à Cassandre, Diogène, Platon, etc… Vous semblez surtout vous adresser à vous-même vos propres clins-d’ œil… en toute modestie, bien sûr.

    Pour ce qui est de vos « idées », j’en ai donné un sympathique aperçu en vous citant en commentaire, sous le billet daté d’hier… (simple petit rappel, puisqu’on me relance)

    Mais juste au passage : Platon ne racontait pas tout et son contraire en fonction de son interlocuteur pour faire le malin.
    Pas plus qu’il n’utilisait ses propres traumatismes ou ses propres échecs pour construire je ne sais quelle pseudo « théorie ».
    Enfin, Platon ne partait pas du principe qu’il suffit d’enchaîner les mots compliqués pour faire une phrase intéressante.

    Quant à Socrate, dont la parole nous est justement parvenue grâce à Platon… il maîtrisait surtout l’art de l’écoute. Jamais de monologue de sourd, comme vous.

    Relisez-le, et relisez-vous.

  17. Platon haïssait plus que tout les sophistes, dont vous êtes vous-même un modèle sur pattes. Vous êtes mal tombé…

  18. Je ne parlais pas de nous, je parlais des philosophes 😉
    Je n’ai rien d’un Platon ni d’un Socrate comme vous êtes à des années lumières de Pyrrhon ou encore d’un Nietzsche que je vois bien mal aller reprendre des tweets tel un corbeau ou des propos de tel ou tel là où il était tout occupé à décliner la poétique pensée nihiliste !
    Un nihiliste ne s’agite par définition devant rien là où vos croyances n’ont fait que se démasquer dans la critique obsessionnelle que vous faites à mon endroit !
    C’est non sans hasard si vous y avez jalousement vu le comble du nihilisme lorsque j’évoque que depuis le grand et sublime vide de l’existence, depuis le merveilleux néant je m’attache à observer les fabrications et autres singeries toutes réelles de notre belle humanité ! Nihilisme du nihilisme lorsqu’il s’agit alors de porter intérêt à toutes les croyances tant le grand magasin du vide sait en fabriquer ! Tout nihiliste aussi arrogant soit il du haut de son grand vide et de son scepticisme serait bien inspiré de s’occuper des croyances qui l’environnent et viennent porter ombrage aux conditions de sa douce sieste !!
    Je comprends votre agitation, je vous porte intérêt comme à un autre, (soyez l’égal d’un Français de souche ou d’un Zemmour), ce qui vous donne forcément le tournis lorsque vous enviez ma capacité à converser autant avec votre vision du bon dieu qu’avec votre vision du diable ! Que de croyances pour un sceptique 😉
    Vous n’êtes pas de taille pour la simple et bonne raison que je ne suis rien : ne cherchez pas à combattre le rien, vous vous y perdriez ! 😉
    Le nihilisme, le scepticisme ne sont certainement pas des postures dont on peut retirer quelconque arrogance vis à vis des réalités de la fabrication toute respectable des êtres ! Je pense meme qu’il n’est pas plus compassionnel qu’un nihiliste dans le fond !

  19. Merci à Éric Perrin d’avoir sagement adouci notre soirée avec un si beau texte chanté par un si grand poète ! Oui vivement !

  20. Vous n’avez sans doute pas lu les quelques commentaires que j’ai déposés et qui ne parlaient pas de vous, voilà tout…

    Aucune obsession vous concernant, si ce n’est lorsque je vous vois accaparer cet espace que j’aime tant, et dans lequel certain(e)s timides auraient sans doute des choses à raconter bien plus intéressantes que vous, qui martelez les vôtres en permanence comme un robot.

    D’ailleurs, j’ai vérifié : avant votre débarquement sur ce blog, les commentateurs étaient plus divers et variés, et surtout le fil était plus riche. Et même depuis, quand vous la fermez, d’autres personnes arrivent, bien plus « fraîches », pas d’inquiétude à ce sujet. Moi-même je n’attends d’ailleurs que ça pour leur laisser la parole. Car ne vous en déplaise, l’acharnement dont vous faites preuve chaque jour à venir briller, à vouloir en imposer avec vos pavés, vos smileys, votre soif de reconnaissance qui crève les yeux ne favorise pas la fluidité du courant collectif, c’est le moins que l’on puisse dire. C’est un fait, désolé, et vous serez gentil cette fois de m’épargner vos balivernes faussement modestes au sujet des « simples cases à remplir par angoisse du vide et par empathie pour le lieu… »

    Dans le billet précédent, donc, alors que vous fustigiez une fois de plus les incohérences de la Terre entière pour mieux vous pousser du col (relire…), j’ai osé interrogé – sacrilège – vos propres incohérences, vos propres « bugs » qui selon moi valent leur pesant de cacahuètes (voir citations en commentaire).

    Je rappelle d’ailleurs que c’est d’abord un certain Euterpe qui s’est bien foutu de vous, avec je dois le dire beaucoup de justesse, d’humour et d’élégance.

    Désolé si nous trouvons, lui et moi, que pour le « rien » que vous revendiquez être (sic), vous faites beaucoup de bruit et vous êtes plutôt culotté…

  21. Oui merci à Eric Perrin que je salue, en espérant qu’il a pu trouver le bouquin de Mark Twain dont nous avions parlé ici l’autre jour…

  22. Pyrrhon,

    Je n’ai jamais rien compris à cette histoire capitaliste de distribution et de compartimentation de la parole !
    Faire différence entre les gros paquets cadeaux et les petits, les longs commentaires ou les petits : c’est votre échelle de valeur qui y voit compétition sordide ! J’ai un fond communiste, anarchiste, non conformiste qui semble vous rendre complètement hystérique ! Je ne me suis jamais pris au sérieux et je n’ai jamais rien construit de viable au sens capitaliste dans ma vie (je me présente volontiers comme un marginal absolument raté, sans ambition d’aucune sorte et malgré cette annonce je ne parviens pas à rassurer l’esprit de compétition comparative de quelques individus)
    Par contre je prends très au sérieux les valeurs, les idées, l’esprit universel !
    On ne parle pas la meme langue mon pauvre ami et notre discussion envahissante n’a plus aucun intérêt !
    Je ne m’intéresse ni à la modestie ni à la vantardise et je dois bien avouer que l’homme libre est sans doute un égoïste absolu qui fait confiance en la liberté tout aussi égoïste de l’autre !
    Pour moi, très égoïstement, la fréquentation d’un blog ou d’un espace d’expression a pour but de « faire conversation » : je choisis des lieux qui vont inspirer une écriture, une conversation au sens universel ou général ! Je fais parfois dans l’association d’idées, je lis quelque chose et je rebondis si ça m’inspire ! Il n’y a rien de rare à l’affaire !
    Alors si selon vous, après avoir tiré les cartes près de votre boule de cristal, mes commentaires ont pour effet d’interdire la parole à des « timides » que je terrorise à travers mon écran je ne sais quoi vous répondre !
    Les blogs c’est un truc très mystérieux, il y a les habitués sympathisants, il y a aussi les habitués non sympathisants et meme très désagréables, il y a de tout et ça va et ça vient : j’espère les femmes et les hommes LIBRES et parfaitement égaux en toutes circonstances !
    Arrêtons nous là ; nous ne produisons rien d’intéressant !

  23. Et pour conclure au sujet de la vie d’un blog, je prends note qu’un billet sur le huffington post ne produira pas les mêmes effets : la charge psycho-affective est neutralisée parceque l’auteur écrit depuis un site généraliste ! Chaque commentateur reste plutôt indépendant vis à vis des autres, l’esprit de compétition y est plus dilué et chacun se focalise sur le billet !
    Un blog c’est plus personnel et ça réveille du passionnel 🙂
    Fréquenter un blog c’est à priori moins anodin, il y a un esprit d’adhésion, une proximité plus affirmée vis à vis de l’univers du blogueur ! On vient y chercher une ambiance, une sorte de communauté d’esprit, une culture commune qu’elle soit réelle ou fantasmée d’ailleurs !
    C’est fou comme un format change tout y compris si un billet s’écrivait à l’identique d’un lieu à un autre !

  24. Le black bloc a enfonçé une vitrine de caisse d’épargne à coup de tatanes à Berlin mais la presse titre « 1er Mai paisible ». Le nouveau plan c’est de dire qu’il ne se passe rien de façon à faire croire qu’il n’y a pas de contestation. La nouvelle désinformation est encore meilleure que l’ancienne et je pense qu’elle va encore progresser.

  25. Vous êtes un peu grincheux Sacha.

    Inculte que je suis et n’appréciant pas particulièrement la langue anglaise, je suis heureuse que l’épicier se fende d’une traduction ou d’un lien.
    Même si c’est par moquerie, c’est mieux qu’un rien du tout.
    Faut pas trop s’attarder sur les moqueries, ça ne fait que monter la bile.
    Comme Eric Perrin, je remets une couche de clafoutis aux cerises parce qu’il n’y a pas eu encore de meilleur message que celui-ci:

    http://youtu.be/F9gONA_Cu6I

    Version artiste américaine (et pas n’importe qui).
    Les anglophones peuvent aussi causer la France comme des grands.

  26. Très sincèrement désolé de la ramener (pour la dernière fois, j’espère)… mais puisque mon « interlocuteur » s’obstine à me relancer sans cesse, avec une mauvaise foi inouïe… (Platon, etc.)… Je tiens donc juste à rappeler que je n’ai pas choisi d’intervenir sur ce fil de discussion.

    En revanche, lui a décidé de venir y pleurnicher – car j’avais osé, sous le billet précédent, remettre en question sa prise de position ultra hautaine sur une thématique qu’il avait lui-même choisi d’aborder (« Mémoire et Cohérence »).

    Je note que son procédé courant (qui consiste à reprendre dans un autre contexte ce qui l’arrange dans le premier pour mieux noyer le poisson…) traduit à nouveau une surprenante lâcheté doublée d’un certain sans gène.

    A ce propos, je ne serai pas étonné de le voir y revenir dans les jours (ou semaines) suivants, à son habitude, par le biais d’une de ces allusions mesquines, victimaires et caricaturales dont il a le secret. (j’en parle car c’est déjà arrivé)

    Juste un dernier détail assez cocasse pour finir, puisque mon interlocuteur me traite plus haut de « corbeau »… C’est du délire… je n’ai fait que rappeler quelques phrases qu’il avait lui-même choisi de rendre publiques, quelque temps plus tôt !

    Pour info, l’activité d’un « corbeau » consiste le plus souvent à colporter des rumeurs dégueulasses au moyen de lettres anonymes auxquelles, par définition, il est impossible de répondre, puisque l’on ignore totalement d’où elles proviennent…

    Aucun rapport, donc.
    Mon interlocuteur – qui a pu largement me répondre, même à côté de la plaque – semble ainsi ignorer jusqu’au sens des mots les plus simples qu’il emploie… (et c’est pas la 1ère fois)…
    Comment dès lors le prendre au sérieux, quand il en utilise de plus compliqués ?

    Enfin, il prétend que je suis avant tout « jaloux de ses capacités » (ce trait d’esprit restera dans annales…), mais je tiens à le rassurer, je n’envie RIEN, chez lui. Rien du tout.

    Quant à mon petit point de vue sur les fils de discussion de ce blog… mon interlocuteur reconnaît n’y avoir « rien compris »…. C’est aussi mon sentiment, et je regrette qu’il ait tenté malgré tout de le résumer en racontant n’importe quoi.

    Pour le reste >> Cf. citations dans le billet précédent

    Merci

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1 Mai, 2013

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