Mon Mercato

Short

Voilà !

Voilà !

(…)

Il paraît que c’est le mercato.

Les gens du PAF sont excités.

Plus personne ne dort sans son téléphone dans son pyjama en pilou.

Aussi niais que des politiques à la veille d’un remaniement !

Alors pour ce qui me concerne et pour éviter les coups de fil intempestifs et le dérangement, voilà le genre de choses que je veux bien faire à la télévision.

4 mai 1969…

Tout ce que j’aime.

12 Commentaires

  1. Mais, ma parole, Guy, tu ne vis plus que dans et à travers le passé !

    Que t’arrive t-il ?
    Aurais-tu peur de vieillir ? Voudrais-tu te faire embaucher par l’ORTF pour avoir le plaisir de côtoyer Léon Zitrone et Guy Lux ?

    L’INA est-elle devenue ta bible ?

    Tu m’inquiètes…

    Bonnes vacances. 😉

  2. Les forces, souvenirs, mouvements, émotions du passé permettent à la fois de reverser et projeter, paradoxe, je le conçois, les forces qui viendraient à manquer dans le futur, sans se perdre dans les mortifères problèmes d’un présent collant et ou comateux… cet exercice permet avec simplicité de se rappeler d’où on vient, qui on est et que les choses ont pu être différentes et mais oui, parfois joyeuses…. c’est peu mais c’est un tout..une forme de conscience sinon libératrice, résistante….

    Le plus beau, le plus formidable dans ce contexte, c’est qu’elle ne freine pas la progression, mais bien au contraire elle la protégera… mémoire mémoire….

  3. 😉

  4. Bonne idée d’avoir mis du Sidney Bechet pour illustrer le sujet, ça fait toujours du bien ! (en même temps, des titres avec « oignons », y’en a pas 15 000…)

    Par contre, le design du plan de travail… (bobonne dans sa soucoupe volante)… ça me choque un peu !

  5. Schmoutz,

    Je ne l’ai pas perçu de la meme manière : j’ai trouvé cette femme très libre et drôle prequ’une comme une antithèse de la bobonne (pour l’époque en particulier)! Le look, le charme, le caractère ! Entre une Nathalie Delon et une Brigitte Bardot sur sa harley davidson 😉

  6. Je ne parlais de la présentatrice mais de ce futurisme des années soixante censé anoblir la ménagère.

  7. * Je ne parlais PAS de la présentatrice

  8. Cette femme est une présentatrice de télévision qui lit un texte probablement écrit par quelqu’un d’autre (attention, je ne dis pas qu’elle était incapable de l’écrire elle-même, elle semble avoir du talent mais je doute qu’on lui ait laissé le choix au moment du fameux « mercato » pour la saison 68/69)… et vous, vous parlez de son « caractère »… de sa « liberté »… Pff, sans déconner, elle épluche des oignons !… 🙁

    Surtout, ici, c’est le cliché véhiculé – l’image d’Épinal – qui m’a frappé.
    J’épargnerai aux lecteurs un speech sur l’aliénation des femmes, la télévision, le marketing… M’enfin quoi, cette cuisine…

    Cela dit, ça fait une SUPERBE archive !
    Et dans le contexte du jour, le coup des astuces pour ne pas pleurer est assez poilant !

  9. – Pas de problème d’accès à l’épicerie ce matin pour moi.. Mais pas d’accès au film dans ce billet [typeerror] « undefined »is not a function, déjà hier.. Peut-être est-ce mon IPad..

    – Mercato : moi, j’aimerais bien vous voir à la télé.. Et là, comme ça, j’aurais même une idée assez précise.. 😉

  10. Graziani,

    Ce qui est troublant à travers ce violent rituel de mercato dans le PAF c’est que tout le monde s’y habitue ! C’est tout de meme autre chose que dans le monde du football et je comparerais plutôt ça à des licenciements secs qui nous émeuvent davantage pour d’autres industries ! Ces histoires d’audimat ça me fait flipper (c’est aussi le libéralisme)
    J’y suis sensible sans doute parceque victime d’un licenciement abusif d’une violence rare en 1998 je ne m’en suis jamais relevé !
    Alors bien sur nombre des personnes concernés ont un talent et une capacité à rebondir : ils ne demandent pas à être apitoyés ! Mais vu de l’extérieur je trouve tout ce cirque d’une violence folle ! Ça me dégoute !

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4 Mai, 2013

Épicerie ouverte

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