Petite pastille acidulée…
(…)
Je donnerais cher pour revoir de tels sujets dans nos journaux télévisés.
C’était le 5 octobre 1960…
Petite pastille acidulée…
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Je donnerais cher pour revoir de tels sujets dans nos journaux télévisés.
C’était le 5 octobre 1960…
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
Le temps où les journalistes avaient des lettres et ne sortaient pas des écoles ce commerce que sont devenues les écoles de journalisme.
De tels sujets auraient pu être tournées il y a quelques années… puisqu’il y avait un « Rallye Traque Lapine »: cf: https://fr-fr.facebook.com/pages/Rallye-Traque-Lapine/157508823277
Charles.
http://charles.hautetfort.com
Le temps des interludes. le « petit train rébus express » de Maurice Brunot. L’ORTF. http://www.dailymotion.com/video/x1y4de_serie-tv-bonus-interlude-rebus-expr_fun?start=69
Des chefs d’oeuvre en péril.
Aujourd’hui ce sont les reportages sur la « Nuit blanche ».
https://www.youtube.com/watch?v=z7DRwOV3IZY
Je n’arrive pas à être béate d’admiration ou à envisager que je puisse regretter ces façons journalistiques. Pourtant j »essaie d’emboiter le pas à « je donnerai cher », « avaient des lettres », « des chefs-d’oeuvres », je ne peux pas.
Le mieux de notre époque, même rare, même difficile à dénicher au milieu de la facilité et des gros sabots ambiants, est insurpassable par le passé plein de femmes évaporées, d’armes pour faire joli et de Louis 14 à la chasse.
Tellement peu de gens avaient la télé, la diction était radiophonique, prévue pour son tout juste audible et être compréhensible.
C’est comme internet au début, inaccessible au tout-venant, ça opérait un tri. L’internet et la télé des happy-few, c’était pas fait pour durer, on n’y peut rien changer et ça se serait sclérosé.
La chasse aux volatiles, cailles, alouettes ou poulets est passionnante, surtout à Paris, et la qualité humoristique et élégante du sujet est vraiment épatante… Nostalgie !