Salut…
(…)
Je me réjouis, d’abord, que les clients continuent à discuter entre-eux.
Un point sur l’épicerie. Non elle ne fermera pas.
Mais j’ai pris des décisions. J’ai un travail, nouveau, unique, et je m’y consacre à 1000%.
C’est ici et les vidéos sont visibles tous les jours dans l’épicerie, dans le rayon « Vrac ».
Je ne peux pas écrire deux textes pertinents (j’essaie), informés, réfléchis, souriants ou pas, tous les jours.
Je ne veux pas remplir maniaquement tous les rayons de la maison comme je l’ai fait durant des années.
Je ne veux plus m’épuiser, me disperser, me paumer.
Alors je suis là. Je vous lis et quand j’en aurai envie, je déposerai quelque chose.
Et si vous en avez envie, envoyez-moi vos textes (gbirenbaum@gmail.com).
Enfin, j’ai entrepris un travail d’écriture, personnel, loin de toute connexion. Je m’y tiens.
Merci de votre fidélité.
guy
Tant que ça reste ouvert le dimanche… Si on peut venir de temps en temps, c’est déjà pas mal.
Bonne route.
L’esprit commerce équitable me satisfait.
Ce fil à la patte du rendez vous quotidien est définitivement rompu.
Dans ce lieu de rendez vous mais aussi d’échanges, comme vous le souligniez cela peut que l’enrichir,tant il est difficile chaque jour d’être pertinent et plus encore dans plusieurs lieux à la fois.
Dire, écrire, partager par nécessité et non par devoir, voilà une belle promesse.
La différence d’avec un travail, comme la ligne jaune ou france info, qui sont de beaux rendez vous, c’est que l’épicerie c’est un peu la Taverne des Rencontres. on ne sait pas se que l’on va y trouver, ni quand, mais on sait que l’on ne perdra pas son temps à s’y arrêter et qu’il y aura toujours à voir, à lire, et souvent à réfléchir sans oublier souvent de rire.
Un beau-lieu
L’épicerie ne livre plus quotidiennement, en se transformant, elle est devenu un lieu….un lieu-dit et c’est presque rassurant.
Ce serait vraiment dommage que l’épicerie ferme.
J’aime bien, de temps en temps, poser mon hamac en filet de pêche devant la vitrine, en écoutant mes vieux 33 tours de Thiéfaine sur mon électrophone déglingué.
Si le patron est sympa, il me laissera profiter de la wifi pour me permettre de continuer mon étude sur Doctor Who, je profite de mon arrêt de travail pour me refaire l’intégrale.
🙂
Bah tout cela est une question d’organisation. Prenez un employé, il reste du temps libre à Alain Duhamel…
Comme d’habitude, les références esthétiques et illustratives sont parlantes. Je ne connaissais pas le cover du titre de Depeche Mode, le mix sortie de cocon et d’uterus est très efficace pour évoquer cette (re)naissance ou ce changement de cap.
Bon vent à vous sur Franceinfo.
C’était juste pour vous faire réagir.
Garder le contact quoi…
C’est réussi 😉
L’important pour mo iest que l’épicerie reste ouverte et que j’y trouve ce que je cherche. Autre chose que dans les autres épiceries.Et du bon,du très bon,de l’excellent même. Et c’est le cas. Alors ouverte tous les jours ou pas, tout va bien…
Avec un animateur bénévole je ne vois pas pourquoi le dél ne réouvrirait pas. Delphine et Malbrouck n’ont pas perdu de leur pertinence avec le temps.
Et les lobotomisés peuvent allumer la radio.
L’important est que l’épicerie ne ferme pas, même si elle est concurrencée par des grandes surfaces…. On appelle ça des « corners » ou des « markets » ! Rien ne vaudra jamais les petites épiceries où on trouve de tout, du bon et du mauvais.
Quelle que soit l’heure où on y va.
Comme « l’arabe du coin », qui nous rend bien des services !
Super article 🙂 merci pour ces bons conseils