J’y étais…
(…)
C’est la dernière polémique en date qui buzze et permet des clics & du clash…
Sur son blog Alexis Corbière sort un extrait sonore où Julien Dray dit du mal (ouh le vilain) de messieurs Bartolone et Cambadélis, ses alliés et camarades.
WOOOOOOWWWWWW !!!
Il faut vraiment mourir de faim pour trouver ça dément, mais, en campagne électorale, chaque jour, il faut nourrir la bêêêêête et ouvrir la boîte à claques.
Mais je reconnais volontiers qu’il fut un temps où j’aurais sauté sur cette « information » pour en faire mon miel ou plutôt celui du site qui m’hébergeait à l’époque. C’était ma came.
Voici l’histoire.
Je lis ceci sur le blog de monsieur Corbière : « Manifestement donc, devant un petit groupe de ses proches camarades au sein du PS, il [Julien Dray] n’y va pas avec le dos de la cuillère ».
Grâce à Jegoun et Ronald qui m’ont rafraîchi la mémoire défaillante, j’ai surtout compris, hier en fin d’après-midi que j’étais là, ce jour-là. Et que du coup le son exhumé date de juillet 2009 !
Quant au « petit groupe de ses proches camarades au sein du PS« , ce sont des blogueurs conviés par Jacques Rosselin à rencontrer Julien Dray, à l’époque.
Comme disait Woody Allen, “Eternity is really long, especially near the end” ( « L’éternité c’est vraiment long, surtout vers la fin »).
Merci pour cette mise au point salutaire pendant la campagne des régionales.
je suis surprise que Le Post existe encore…
L’amateur de montres à complication Julien Dray se prend un retour de balancier qu’il a bien cherché en jouant le rôle de chien de garde chargé de dézinguer son ancien camarade Mélenchon. Ce type est une pourriture, il a été de tous les coups tordus de la Mitterrandie, avec notamment la création de l’officine SOS Racisme, chargée de manipuler les gamins après que socialauds aient gonflé la baudruche Le Pen. Il a navigué dans tous les courants du parti prétendument socialiste, de la gauche vers la droite de l’appareil (vous avez remarqué, ça va toujours dans le même sens ?), pour peu qu’il y trouve un intérêt personnel. Avait-il déjà perdu toute conviction idéologique lorsqu’il était jeune militant trotskiste ?
Retour vers le futur. Ce matin, je me suis dit Birenbaum a de l’ humour et puis, j’ai appris,comme tout le monde, quelque chose qui m’ indiffére Retour vers le futur a 30 ans…
En sociologie, on dirait qu on fédère autour d’un événement. On pourrait peut-être aller à la messe ?
Donc Julien Dray balançait toutes sortes de salo..ies sur ses collègues devant des blogueurs inconnus qu’on venait de lui présenter ? Il est normal ?
Wooddy Allen a aussi dit :
« L’avantage d’être intelligent, c’est qu’on peut toujours faire l’imbécile, alors que l’inverse est totalement impossible. »
Bon constat. Comme d’autres, Dray à perdu le fil, rattrapé par la nécessité de survivre aussi politiquement. Et c’est là que l’on ne devrait pas considérer la politique comme un métier car ça finit par détruire la politique.