J’ai lu un livre et je l’ai aimé.
Je l’ai d’abord commandé, acheté, reçu, puis lu en trois jours. J’ai lu un livre et je l’ai aimé.
Je l’ai d’abord commandé, acheté, reçu, puis lu en trois jours.
(…)
Je connais son auteur, Vinvin (ou Cyrille de Lasteyrie, si vous préférez).
Je vous arrête tout de suite.
Ce post n’est pas du copinage.
Ni un prêté pour un rendu.
Je ne dois rien à Vinvin.
Qui ne me doit – et ne me devra – rien non plus.
Surtout, la vérité, c’est que j’avais un peu peur avant de lire son bouquin.
Peur d’être déçu.
Je craignais que ce ne soit pas un « vrai livre », comme disent ceux qui n’en écriront jamais ni un vrai, ni un faux…
C’est le risque avec les livres découpés en tranches.
Des « tranches de vie » en l’occurrence. Cent douze.
Celle de Vinvin. Et des siens.
Ce n’est pas le cas.
Une fois le livre terminé, une cohérence apparaît, dont je ne vous dirai rien.
Surtout, un mec bien se découvre.
Un gars bien plus compliqué et plus difficile à cerner que le clown qu’il feint d’être.
Avec des failles béantes, des écorchures, des cicatrices.
Des pleins et des déliés.
Vous verrez…
Et la famille d’Arthur Rimbaud a donné son accord?