[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=1N29vkIT3eo&feature=related[/youtube] Garbage…
Garbage…
(…)
Don’t believe in love
Don’t believe in hate
Don’t belive in anything
That you can’t waste
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=1N29vkIT3eo&feature=related[/youtube] Garbage…
Garbage…
(…)
Don’t believe in love
Don’t believe in hate
Don’t belive in anything
That you can’t waste
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
Ben oui mais, comme aurait pu dire Frédéric d’Autriche, quand y a trop de notes, heu… ben y a trop de notes 😉
J’ai déjeuné tranquille toute seule dans un resto que j’avais apprécié par le passé, au moment où j’hésitais encore sur la pertinence de ma décision professionnelle. J’ai fait un break pour éviter un « breakdown en mode « burnout (en référence à #DCDC d’hier soir).
C’était une expérience « hallucinante » et « paradoxale ». Je venais de voir ce que je n’avais pas encore vu et qui expliquait à mes yeux pourquoi je ressentais le besoin d’aller dans ce super resto soit seule, soit avec des collègues proches.
Mon refuge, sans que je m’en rende compte était un musée dédié à Marylin et la muse était la serveuse, toujours adorable avec moi. Elle est belle comme un coeur de Betty Boop et son corps ne tient qu’à deux fils, ses jambes, et une tête, la sienne qui porte celle de son père (je crois, vu l’inquiétude dans ses yeux à lui). J’ai vraiment cru que je pétais les plombs…
Betty Boop est venue me voir pour me demander si le repas (frugal…) avait été bon. Pour la rassurer, je lui ai dit (sincèrement) que oui et que j’étais fascinée par l’un des tableaux que mon regard oblique ne pouvait pas quitter des yeux. C’était un « Andy Warhol » et elle était le modèle (elle me l’a dit après que je lui ai demandé si elle avait peint le tableau).
Je l’ai regardée, très impressionnée, et je lui ai demandé, bêtement, si elle connaissait « Si j’étais une œuvre d’art » d’Eric-Emmannuel Schmitt. Elle m’a dit que non, mais qu’elle allait le lire.
Quand j’ai vu son regard s’illuminer, je me suis dit que mon repas avait été très restaurateur. Le titre du livre a suffit à la réveiller de son glissement vers la mort par refus du matérialisme ambiant. Et je suis sûre qu’elle n’a aucun besoin de lire ce livre, elle a compris mon message immédiatement.
http://www.eric-emmanuel-schmitt.com/home_language.cfm?urlredirect=home.cfm&CFID=11177509&CFTOKEN=a5c75d9121301361-EA80D9BF-C481-1C28-F04BF82F882BA87C&jsessionid=4030a4fd6047553bec1312512341113645a5
Enfin, on peut toujours l’espérer pour elle et son mentor (son père ou son peintre ou…ben j’en sais rien en fait).
C’est vrai que votre bouquin sur les sms m’avait interloquée. Quand je l’ai feuilleté dans ma librairie préférée, je me suis demandée quel était l’objectif. Et je ne l’ai surtout pas acheté ! En fait, je l’ai lu en 2 minutes live, rien qu’en le feuilletant. C’est aussi con que ça.
Faut pas déconner, non plus, c’était carrément trop cher 😉
J’aime beaucoup votre RT vers le bouquin de Didier Lestrade et son soutien médical (pas mémorisé et flemme de me connecter). C’est un très bel hommage à son courage et à celui de mes amis et amies « homo-sexuel(le) » – parents biologiques ou par procuration – qui ont surmonté leur pudeur pour crier leur désespoir de voir leurs proches mourir, malgré tout le soutien qu’ils ou elles leur apportaient. Mourir physiquement ou à petits feux. Quand le OFF devient insupportable de folie, il faut appuyer sur ON. Merci encore.
Il me fait penser aussi à mon nouveau truc / stuff dans l’oeil de Dali. Et aussi à un échange avec une femme médecin déboussolée par le refus des jeunes filles et jeunes femmes de prendre la pilule… Paradoxal, non ?
(aucun sous-entendu, c’est une expérience réelle qui nous a interloquées toutes les 2, elle comme moi, sur l’obstétrique).
Puisque je suis toujours punie (compte twitter indévérouillable…), je vous donne ma phrase, qui n’a pas changé d’un iota après la lecture de cette charade à tiroir : http://lelab.europe1.fr/t/cecilia-porte-le-chapeau-de-zorro-605
L’imperfection floue permet-elle de monnayer le prisme de confirmation ? (Question d’optométrie à l’usage des orthophonistes).
Non, en fait, c’était pas tout à fait ça (et je ne retrouve pas pour l’instant mais c’est l’idée) : écouter Allègre m’a vraiment accablée par son délire d’ancrage mental… http://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_cognitif
Avez-vous lu ce bouquin génial : http://www.amazon.fr/D%C3%A9cisions-absurdes-Sociologie-radicales-persistantes/dp/2070763021 ? Challenger = traumatisme américain.
Christian Morel a été plagié et grossièrement parodié partout… Et les erreurs persistent gravement dans le privé. En fait, je ne sais pas ce qui va sortir de cette « corrida » mais il est évident que la santé d’Allègre est en danger (plagiats, critères d’évaluation scientifique, négation des pbs climatiques, doctorat d’Elizabth Tessier, toussa…).
Une humiliation contre une autre. Même si celle de Claude Allègre me semble inévitable par rapport à l’enjeu. Bref, grosse dissonance en vue ?