Que vois-je ? Trois pages sur la rumeur ce matin et la « une » de Libération. Je l’achète et je me dis que je vais apprendre des tas de trucs. Et là, decepción (accent espagnol)…
Que vois-je ? Trois pages sur la rumeur ce matin et la « une » de Libération. Je l’achète et je me dis que je vais apprendre des tas de trucs. Et là, decepción (accent espagnol)…
(…)
D’abord, j’y découvre, enfin, sous la plume acérée des sympathiques Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts (@garriberts sur Twitter), ce que je m’échine à répéter : « Un ragot, de ceux dont bruissent les rédactions et se repaissent ces pipelettes de journalistes, s’est transformé en rumeur ».
Enfin !
Des journalistes qui écrivent, noir sur blanc, que les rumeurs n’ont absolument pas démarré sur Internet, sur Twitter, sur les blogs, mais qu’elles y ont, à l’inverse, abouti !
Ouf.
Là, j’en déduis qu’ils ont tout compris, les duettistes, et qu’ils vont nous expliquer finement le trajet de la rumeur. Depuis l’univers médiatico-politique (et réciproquement) jusqu’au net.
Mais là… Patatras !
À peine quelques dix lignes plus loin, j’apprends que « l’Acte I » se serait, en fait, joué sur Twitter, le 17 février…
Et donc decepción.
Fallait-il, comme pour le Saint Suaire de Turin, daté au carbone 14, parvenir à une datation de la rumeur sur le net ? À son traçage ?
Bref, Los Garriberts ont bien failli écrire la véritable histoire. Mais ils font un pas de côté.
J’attaque alors, tremblant, l’éditorial de Laurent Joffrin, titré « Dilemme ».
Et je lis : « (…) les bruits qui ont couru sur la vie privée du chef de l’État n’ont, aujourd’hui pas plus qu’hier d’autre fondement qu’une élucubration gratuite publiée sur un blog et colportée de manière parfaitement farfelue par une partie de la presse européenne. »
Je note d’abord – et je m’en félicite – que Laurent Joffrin parle le NicolasSarkozy dans le texte, puisque « élucubration » c’est précisément le mot qu’employa le Président de la République, en déplacement à Londres, pour « répondre » à une question d’Arnaud Leparmentier du Monde, sur les fameuses rumeurs.
Mais je suis bien obligé de constater et de regretter, ensuite, que, là encore, l' »élucubration » sort du net.
Et donc decepción.
Alors, confronté à ces journalistes, éditorialistes, patrons de presse et autres politiques qui radotent sur tous les plateaux que c’est la faute au net (#célafotonet), il me vient, je le confesse, de bien mauvaises pensées.
Faudrait-il leur répliquer, salement, en singeant leur comportement ?
Et, par exemple, adopter le même genre de « méthodes journalistiques » (je vous laisse le soin de les qualifier) que celles préconisées, hier soir, dans le dernier opus des « Infiltrés » par Hervé Chabalier et son orchestre ?
Livrer les noms des « coupables » ?
Je veux dire balancer les noms des journalistes et des rédactions dans lesquelles les rumeurs ont commencé par circuler, bien avant de « tomber du camion » sur le net ?
Comme le dit Bartleby, l’admirable héros de Melville… « I would prefer not to« .
Il n’empêche qu’il y a des jours où, confronté à tant de mauvaise foi, je me dis qu’il faut être bien vertueux pour protéger des sources qui, elles, vous balance(raie)nt, sans vergogne…
J’abonde dans ton sens. Moi la première fois que j’ai entendu parler de la légèreté de la vie privée des Sarkozy-Bruni, c’était par un vrai journaliste dans la vraie vie et non sur twitter.
@ romain blachier pas de la légèreté, de la rumeur !
Très bon billet! Et effectivement, decepcion! En même temps, je crains que cette tendance à taper sur le net ne soit une tendance longue…
j’en profite pour faire un peu d’auto-promo, puisqu’au début de la « rumeur » j’avais fait un billet sur le même thème sur mon blog, ici-même: http://letempsdesmedias.blogspot.com/2010/03/la-rumeur-et-le-mechant-twitter.html
Sur ce que je lis, Libé écrit que la rumeur bruisse dans les rédac et qu’elle s’emballe lorsqu’elle atterrit sur Twitter, puisqu’elle touche un réseau beaucoup plus large. Donc si je comprends bien votre raisonnement, il aurait suffi que Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts écrivent Acte II au lieu d’Acte I pour que le papier soit parfait.
Quant à Joffrin, que je ne porte pas spécialement dans mon coeur, je pense qu’il fait directement allusion au blog du JDD et non qu’il se livre à une attaque en règle du web (même s’il est coutumier du fait).
Est-ce que vous même n’en faites pas un peu trop pour tirer systématiquement à boulet rouge sur les journalistes?
@ LB, vous ne devez pas bien écouter ce qui se dit et ce qui s’écrit PARTOUT de la responsabilité du web !!!
Ce que j’ai écris ne concernait que le papier de Libé, point de départ de votre billet, auquel je n’adhère pas en bloc.
S’il s’agit de dénoncer CERTAINS journalistes qui n’ont rien compris au Web (et Joffrin en fait régulièrement partie) et en font l’origine de tous les maux et de toutes les rumeurs, je ne peux qu’être d’accord avec vous.
J’ai simplement l’impression que sur ce papier, ce n’est pas le cas de Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts, je tenais à la défendre. Vous m’accuserez peut-être de corporatisme. Cdt
Je ferais bien une fine allusion à Don Quichotte et ses moulins à vent, mais j’aurais du mal à dire qui joue quel rôle dans cette histoire.
Je suis vraiment à la ramasse, j’en étais resté à l’histoire de Parisot et de arlette chabot. #lamèredesrumeurs.
Mmme Dati qualifie de « rumeurs » les insinuations qui l’accusent d’être à l’origine de « la rumeur »…Au secours,ils sont devenus fous!
Guy, t’as qu’à les « outer » IRL auprès de tout ceux que tu croises.
Avec un peu de chance, ça finira par transiter sur twitter ou un quelconque Blog 😉
Des noms! des noms!
Ras le bol que les journalistes et l’élite politico-intellectuelle utilisent le Net comme épouvantail pour masquer leurs discours de commères entre « gens initiés »
De toute façon, cette histoire est une vaste blague depuis le départ.
Pauvre presse ! Tellement en difficulté morale et financière (il suffit de voir les sondages sur la défiance des français envers la presse et les médias), qu’elle se tourne une fois de plus contre internet, la cause de tous leurs maux, si on les écoute ces journaleux comme barbier ou Joffrin !
Pitoyable ! Même Yves Thréard du Figaro (c’est dire) s’indigne sur son blog : « Tout cela est absurde, risible et, pourtant, cette affaire Clearstring, maintenant sur la place publique, risque de nous occuper un moment. Dommage. La presse française, régulièrement accusée d’être dans la main du pouvoir, se grandirait en gardant le silence et en ne se laissant pas embarquer là où le pouvoir veut précisément la conduire. Elle apporterait ainsi la preuve de son indépendance.
Mais, sans doute, est-ce là un voeu pieux ! »
http://blog.lefigaro.fr/threard/2010/04/laffaire-clearstring-apres-laf.html
Mais en Sarkozie le ridicule n’a pas de limite et là, on atteint des sommets dans la bêtise !! Le vrai coupable est donc Villepin, bien sûr !! 😉
«Outre le nom de Dati, celui de Dominique de Villepin est aussi évoqué par certaines sources proches du chef de l’État parmi ceux qui ont pu contribuer à amplifier cette rumeur» explique le Figaro.
http://www.marianne2.fr/Rachida,-Carla,-Nicolas-Elysee-parano_a190108.html
Pourquoi n’entend-on jamais sur les ondes et TV, ces députés de droite critiques envers la réaction de l’Elysée ?
« Alors que l’avocat du président ainsi qu’un de ses conseillers évoquent un complot, les élus de droite comme de gauche dénoncent la riposte élyséenne. »
http://tempsreel.nouvelobs.com/dossier/medias-pouvoirs/20100406.OBS1998/rumeurs-sur-sarkozy-des-deputes-s-emeuvent-de-la-reaction-de-l-elysee.html
Je vais finir par penser comme le blogueur Seb Musset : « Quand le peuple contredit, Sarkozy sévit » http://www.marianne2.fr/Quand-le-peuple-contredit,-Sarkozy-sevit_a190096.html?com#comments
Ne s’agit-il pas là d’une campagne d’intimidation, en plus de servir de diversion, contre tous ceux qui osent s’opposer ou simplement critiquer ?? leur but n’est-il pas d’instaurer un climat de peur, « celle qui doit changer de camp » ! Tout est dit dans cette phrase. L’auto-censure est chaudement recommandée !! 😉
Il n’est pas inutile de se rappeler que Sarkozy a mis le paquet sur le renseignement autrefois sous l’ordre de Matignon, maintenant par l’Elysée. Ce type est capable de tout pour garder le pouvoir, il faut donc s’attendre à tous les coups bas d’ici la Présidentielles 2012 !
la première fois que j’ai entendu parler de cette affaire c’était il y a un an, par un ami qui ne fréquente ni twitter ni les blogs
Ils sont déjà identifiés et il y a de fortes chances qu’ils soient sanctionnés par leur employeur. Ceux qui ont relayé cette rumeur d’égouts en tant que journaliste devraient se voir retirer leur carte de presse.
je retiens que Liberation sauce Voici fait un choix marketing efficace…
» je crains que cette tendance à taper sur le net ne soit une tendance longue… »
Une autre tendance lourde, et peut être plus dangereuse, est cette volonté de certains « acteurs » du net de vouloir maintenir le média Internet dans le non-droit et l’irresponsabilité. L’angélisme de GB et bien d’autres sur les dangers spécifiques à Internet est tout aussi désolant que puéril.
@Dante Haguel
Cela dépend de la conception que l’on a d’internet. Allez jeter un oeil du côté de la neutralité du net et vous comprendrez.
Internet n’est rien d’autre qu’un moyen de communication, un support. Vous n’accepteriez pas qu’on vienne censurer vos conversations téléphoniques ou votre courrier ? c’est la même chose sur le net ! Allez lire ce billet de GB, ça éclaire : http://guybirenbaum.com/20100401/la-lettre/ 🙂
@Dante Haguel
Mais où vous avez vu qu’Internet était une zone de non droit ?
On peut parfaitement porter plainte pour des propos diffamatoires, atteinte à la vie privé, plagiat ou que sais-je encore.
Quels sont les dangers vraiment spécifiques à Internet dont vous parler ?
MAIS!
Ah mais. Moi qui vous cause dans la lucarne prévue à cet effet, je ne peux que vous faire partager une certaine réflexion, pas celle avec des neurones, avec miroir sans tain.
Pour faire un bon ‘c’est c’suis qui s’voit qui est ‘ il faut un minimum de matériel.
Mais à qui sert la rumeur ??????
C’est de là que vient tout le pataquès, l’amphigouri, le baragouin tout à fait pathos.
À qui profite le crime ?
Et celui-là, de très loin inférieur d’un mauvais Hitchcock de bas niveau, en 39 gadins à nous donner des sueurs froides à les voir tous deux enchaînés dans la psychose de la fenêtre sur la cour où l’intrigante Dati ameute les oiseaux de tous poils habitués des caméos en trompe l’oeil . Alors qu’il n’y ait de printemps pour Dati parce qu’elle déchira son rideau Dior, on s’en tape. Reste que le plan com de l’Élysée se trouve dans un étau. Il ne peut y avoir crime puisqu’il n’y a pas de cadavre, si un tout petit et tellement exquis qu’on s’y perd
Mais y a pire.
Qui sait comment est fait Biolay en vrai ? Cherchez bien. Non j’dis ça parce qu’une autre très belle dame, légèrement plus mature et beaucoup moins mannequin que carla n’en a jamais voulu. Au moins quinze fois de force, elle dû le remettre sur le marché.
Mais ben tu t’es déjà regardé !
Sûr pour lui faire partie du scénar était inespéré. Comment il a été payé, on sait.
Carla a faim! :-))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))
Là on tombe dans le Chabrol bon teint. C’est la quincade prodigieuse sous l’œil de Vichy.
« la bêtise est infiniment plus fascinante que l’intelligence. L’intelligence, elle, a ses limites tandis que la bêtise n’en a pas. Voir un être profondément bête, c’est très enrichissant et l’on a pas à le mépriser pour autant. » Dixit le Claude tout seul.
Mais avec ce plan très com à trois euros à prendre les français pour des cons, on est très loin de l’orgueil d’un cheval.
Donc, À qui profite cette enluminure ? C’est bien l’enluminure ça habille le banal. C’est que dans cette rumeur on y trouve les biches, femme infidèle saupoudrée de moquerie bourgeoise, ce que l’on appelle la bêtise des parvenus.
Et là problème !!!!. Des supposées affaires de culs de Nicolas Sarkozy, tout le monde s’en tape. Sauf peut-être quelques rédacteurs pipolitiques en mal de connaissances, qui suis-je ? Où vais-je ?? Que sais-je ?? ? Et passa quelqu’un! Ou quelqu’une ? Où les deux !
Carlette pense avoir des dons de chanteuse et se produit en secret dans un music-hall de troisième zone. Dita cherche le grand amour, mais ne rencontre qu’un homme médiocre et égoïste. Scénario de Claude Chabrol et Paul Gégauff. 1960. Le président s’appelait Charly et sa Dame????
Et bien par exemple on pourrait citer:
– l’impossibilité d’y faire respecter les droits d’auteur. Ce qui est spécifique à Internet c’est l’ampleur sans précédent du piratage de contenus protégés.
– la confusion entre journalistes et « blogueurs »
– la diffusion à grande ampleur des « théories » négationnistes ou conspirationnistes
– la question de l’anonymat et ses conséquences sur le comportement des internautes (racisme, perversions sexuelles, etc.)
– les risques accrus pour les enfants de se faire piéger par un pédophile
La rumeur, le mot de la semaine alors. Cela me rappelle mes cours de philo (il y déjà 20 ans et plus…) où l’on nous avez parlé de la « rumeur d’Orléans ». Voici un extrait de Wikipédia, juste pour resituer pour ceux qui ne connaissent pas
WIKIPEDIA : « La « rumeur d’Orléans », apparue en mai 1969, laissait entendre que les cabines d’essayage de plusieurs magasins de lingerie féminine d’Orléans, tenus par des juifs, étaient en fait des pièges pour les clientes, qui y auraient été endormies avec des seringues hypodermiques et enlevées pour être livrées à un réseau de prostitution (Cf. traite des Blanches). Elle prit parfois un tour canularesque lorsqu’on prétendit que des clientes disparues étaient prises en charge par un sous-marin remontant la Loire. Cette version n’a été rapportée que par un seul témoin, mais recopiée dans presque toutes les gloses sur le sujet.
Aucun démenti, même officiel (signalant par exemple qu’aucune disparition suspecte n’a été répertoriée dans les environs par les services de police), n’a jamais réussi à mettre fin à la rumeur, qui a finalement cessé d’intéresser les médias, sans autre intervention que le temps et l’oubli.
Le rôle des médias dans la naissance et la diffusion de la « rumeur d’Orléans » est important : ainsi que le rapporte l’équipe de sociologues dirigée par Edgar Morin, le « scénario » avait été publié un an auparavant dans un livre de poche (aux Presses de la cité), puis dans l’ouvrage d’un journaliste anglais (chez Albin Michel), puis enfin dans un magazine disparu depuis (Noir et blanc). »
On le voit bien : 40 ans plus tard, les médias n’ont pas vraiment évolués, juste améliorés leurs technologies et comme le dit si bien Guy, il ne faut pas se tromper de « coupable », qu’il est ici bien entendu inutile de nommer. Arrêtons de stigmatiser sans cesse le média internet, appelé mail, blog, facebook ou twitter ou que sais-je.
je n’aurais pas dis mieux !!!
@Dante Haguel
Je vous réponds point par point :
– l’impossibilité d’y faire respecter les droits d’auteur. Ce qui est spécifique à Internet c’est l’ampleur sans précédent du piratage de contenus protégés.
Oui. Même si le mot « piratage » me dérange. Je vous accorde ce point.
– la confusion entre journalistes et “blogueurs”
Éduquons donc, éduquons. La confusion n’existe (si tant est qu’elle existe) que dans la tête des lecteurs.
– la diffusion à grande ampleur des “théories” négationnistes ou conspirationnistes
Au bistrot aussi. Et devant la machine à café, dans les repas de famille, etc.
– la question de l’anonymat et ses conséquences sur le comportement des internautes (racisme, perversions sexuelles, etc.)
Il n’y a pas d’anonymat réel sur internet. Sinon pourquoi le gouvernement ferait-il voter des lois types HADOPI ? Mouarf.
– les risques accrus pour les enfants de se faire piéger par un pédophile
Dans les jardins publics aussi, je peux en témoigner.
Les journalistes n’alimentent pas la rumeur, ils relaient en « OFF » « des bruits qui circulent ».
Les internautes propagent des ragots infamants.
C’est différent.
@ sandiet Si c’est une blague elle est bien amenée 😉
@ Dante Haguel
– Ok sur les problèmes posés aux droits d’auteur mais il n’y a pas d’impossibilité, juste un problème qui a été pris à l’envers par les autorités.
– Il n’y a aucune confusion entre journaliste et blogueurs. Il y a des journalistes professionnels avec une carte de presse (c’est le critère) et des blogueurs qui n’en ont pas et ne la veulent pas, pour la plupart.
– Les Protocoles des sages de Sion n’ont malheureusement pas attendu le net pour prospérer dans le monde entier. Relisez vos classiques…
– L’anonymat existe sur tous les réseaux : poste, téléphone et paradoxalement les ip rendent plus facile le traçage sur le net
– La pédophilie est la tarte à la crème des ennemis du net. J’ai trois enfants et croyez moi le danger est largement IRL. J’ai plus peur des chauffards dans la rue !
C’est une blague mais ne le répéter pas. C’est OFF.
Traduire : vous pouvez le répéter tout bas, mais à une personne à la fois et dont vous savez qu’elle fera de même puisque porteuse d’une carte de presse.
« – les risques accrus pour les enfants de se faire piéger par un pédophile
Dans les jardins publics aussi, je peux en témoigner. »
Les leçons de catéchisme aussi, c’est très risqué parfois ! 🙂
Et pour couronner le tout, les journalistes lancent la chasse à l’homme
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/pedophilie-un-elu-des-yvelines-piege-par-l-emission-les-inflitres-07-04-2010-877456.php
http://anthropia.blogg.org
I am not very proud of my English but I think some journalists might denounce the perpetrators of rumors. It seems to me they are working on France 2 and TF1. Friendships across the Channel
Question : Tous les journalistes sont-ils Sarkozystes ?
Hummm…Quelqu’un m’a dit….Hou hou hou
@ Adrien et Guy, merci pour vos réponses.
Certes, j’avoue avoir un peu chargé la barque des problèmes spécifiques posés par Internet, quitte à faire mon Finkielkraut de service (tout ce qu’il dit sur Internet n’est pas complètement idiot cependant).
Concernant la protection des droits d’auteur, on ne peut pas nier que le gvt s’y est très mal pris, Hadopi est vraiment très mal ficelée. Sur les délires conspirationnistes / négationnistes, je maintiens que ce qui a changé c’est l’ampleur de la diffusion de ces thèses. Exemple récent sur Le Post où je suis tombé sur un article révisionniste, sans parler de tous les articles racistes qu’on y trouve. C’est aussi un problème posé par l’anonymat, certes on peut identifier les gens avec leur IP, mais concrètement combien de personnes ont été condamnés pour des propos racistes publiés en ligne ?
D’accord avec vous deux pour ne pas sombrer dans le syndrome « célafotonet », mais attention à ne pas écarter toute critique sous prétexte que certaines seraient disproportionnées.
Je vous laisse, y a du foot, et j’ai déjà raté un but (la faute au net, cette fois ci, et oui).
Le conseiller et la théorie du complot, la députée bavarde privée de bodyguard, l’Avocat gâteux sans déontologie, Madamemonmari qui défend son mari, manque effectivement l’amant dans le placard et une porte qui claque.
Je vais rebondir sur Sainte Anthropia (hihihi) pour exiger que les journalistes qui ont dénoncé l’élu pédo soient nommés !
C’est vrai, d’aussi bons citoyens, ils méritent le tableau d’honneur !
PS Une rumeur ne marche que si elle est crédible. Qui a pu croire un seul instant que ces chauds lapins/ines aient cessé de chaulapiner pour avoir fait un passage éclaire devant un maire ?
Le plus inquiétant, maintenant, est ce que cela dit sur la déliquescence et le caractère torgadu du pouvoir. Et les conséquences négatives pour nous tous.
http://tinyurl.com/67j7vy
2 rumeurs circulent, l’une concerne un couple celebre, elle est tabou et de tres mauvais gout, appelle des sanctions, l’autre concerne une ancienne ministre privee de son chauffeur, celle la peut et doit etre relayee par tous ceux qui trouvent repugnant de parler de la premiere. Pas d’enquete a craindre pour la seconde ?
L’ethique est tres changeante ces jours ci…
Bonjour
Interpellé par le titre de ce billet, je me permets de vous donner mon sentiment sur le sujet :
s’il fallait « balancer » tous les journalistes qui colportent des rumeurs, les tribunaux en seraient pleins, tant il est vrai qu’à l’instar d’internet que les médias traditionnels ont le culot de pointer du doigt sur le sujet alors qu’ils le pillent régulièrement, les médias papier et télévisuels n’ont pas attendu l’avènement du net pour pratiquer la rumeur.
C’est le membre d’une minorité stygmatisée « secte » qui vous le dit.
René Jourdren – Raelien
René, pas Rael, pitié…