Comment ne pas croire que, parfois, petites et grande Histoire aiment à se croiser et à se mélanger, pour le meilleur et pour le pire ?
Comment ne pas croire que, parfois, petites et grande Histoire aiment à se croiser et à se mélanger, pour le meilleur et pour le pire ?
(…)
Il y a quelques jours, je découvrais cette nouvelle dans le New York Times (NYT)…
« Les coyotes sont entrés dans New York »
« La police de New York a détecté cette semaine la présence inhabituelle de plusieurs coyotes dans les parcs de la ville, en plein coeur de Manhattan, a révélé mercredi la presse locale. Selon le New York Times, l’Université de Columbia a envoyé dimanche un courriel à ses étudiants (par ici) pour les alerter de la présence de trois coyotes dans le campus, ce qui a été confirmé par la police. Un autre animal de cette espèce apparentée au loup et au chien avait aussi été repéré le mois dernier dans Harlem, un quartier du nord de Manhattan (voir ici le coyote de Harlem). Un autre a encore été vu à Central Park par un passant, qui l’a photographié et a publié l’image sur Internet (coyote on ice). Des experts cités par la presse expliquent la présence de coyotes en milieu urbain par la période de reproduction qui pousse ces animaux sauvages loin de leur habitat naturel des prairies ».
Des coyotes dans New York ?
Mais ils ont investi la place depuis bien longtemps !
Il suffisait de lire, hier, le même New York Times pour s’en convaincre…
On y apprenait, en effet (voir chez @si), que « des tactiques de Wall Street du style de celle des subprimes en Amérique ont aggravé la crise financière qui secoue la Grèce, et attaqué l’euro en permettant à des gouvernements européens de cacher la hausse de leurs dettes. (…) Une opération réalisée par Goldman Sachs a permis de cacher des milliards de dettes aux spécialistes du budget à Bruxelles. »
Rien ne change, donc.
Les coyotes, à New York, ça court les rues…
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