Je ne lis plus Technikart depuis longtemps, mais je l’ai acheté, car je voulais lire leur « enquête » consacrée à la rumeur. Je n’y ai strictement rien appris, mais j’ai bien fait de me payer le mensuel…
Je ne lis plus Technikart depuis longtemps, mais je l’ai acheté, car je voulais lire leur « enquête » consacrée à la rumeur. Je n’y ai strictement rien appris, mais j’ai bien fait de me payer le mensuel…
(…)
Alors que je tournais nonchalamment les pages, je suis tombé sur ça, à ma grande surprise…
Je suis extrêmement flatté d’apparaître dans un journal aussi en vogue, mais je réfute avec force tout Personal-Branding.
Cette tendance, sans parler de ses « dimensions freudiennes », m’est inconnue.
Au demeurant, moi, si j’étais patron d’une rédaction, je ne laisserais jamais un gars (ou une fille ?) écrire une phrase aussi creuse et vide de sens que « Intégrant dans ses dimensions les plus freudiennes la tendance du Personal-Branding, Guy vient de lancer son épicerie journalistique« .
Passons…
Si je ne me reconnais pas dans cette caricaturale description, c’est parce que je ne crois pas du tout que les Hommes (et les Femmes) soient comparables à des marques. Et ce pour mal de raisons. Mais on ne va pas discuter de ça sérieusement, a fortiori un dimanche, parce que ça nous conduirait trop loin. Ou nulle part. Ce qui revient strictement au même.
Ce que nos amis de Technikart ne savent pas, en revanche, c’est que je plaide, après d’autres, pour l’élaboration d’une véritable charte du Personal-Branling.
Personal-Branling avec un l comme lamellibranches (« classe de mollusques aquatiques acéphales, bivalves, aux branchies en formes de lamelles ») ou lèchefrite (« ustensile de cuisine placé sous la broche pour recevoir la graisse et le jus de qui dégouttent de la viande qui rôtit »).
Je tiens à signaler, d’abord, que je ne suis malheureusement pas l’inventeur de cette géniale expression.
Je l’ai vue passer sur Twitter [et d’ailleurs, si quelqu’un est capable de me retrouver son papa ou sa maman et de me la/le ramener , par la main, au poste de secours, je suis preneur]. (Là ? En tout cas, c’est pas mal).
Il n’empêche qu’il me semble important de théoriser, et rapidement, le Personal-Branling.
En dépit de mon fort grand talent, je ne prétends pas en être capable seul. C’est en cela que je m’oppose à la secte des adeptes du Personal-Branding qui, eux, vous font croire qu’ils sont à même de définir le concept creux qu’ils ont créé, fort laborieusement.
Je vais donc me contenter d’un bref et simple propos liminaire.
Je pense, d’abord, que nous serons tous d’accord, ici, pour considérer que le Personal-Branling est l’activité privilégiée des Personal-Branleurs.
Il me semble important, ensuite, de tenter d’imposer d’emblée la meilleure traduction française de Personal-Branling.
Je pense que l’expression française qui se rapproche le plus de l’essence du Personal-Branling est probablement, et pour tout un tas de raisons, « touche personnelle« .
Oui, je sais c’est brillant.
Je rappelle, cependant, à ceux qui contesteraient, déjà, cette définition, en prônant, notamment, l’expression Self-service, que Self-service, c’est également de l’anglais…
Voilà.
J’en suis là.
Oui je sais, c’est peu.
Mais c’est une ébauche.
Je compte largement sur vous pour la suite.
Car contrairement à ce que pensent les esprits faibles, le Personal-Branling, c’est meilleur à plusieurs !
À vous de faire…
aaaahhhh… cette note participe à ton personal branding donc.
Oui, dés que tu l’ouvres sur un sujet, tu tailles ta pierre. Quand tu ne fais rien, n’écris rien, tu ne tailles pas ta pierre…
Personnal Branling ? Je dirais Branlette auto-administrée. Mais c’est moyennement vendeur. Technikart a ceci dit un métro de retard. Freud est apparemment totalement has-been ces derniers temps.
Je savais que mry serait le premier…
je savais que tu allais écrire cela…
Je savais que tu allais répondre ça…
Cette tendance, sans parler de ses “dimensions freudiennes”, m’est inconnue.
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Ben pourtant Freud même s’il est contesté, a quand même révolutionné le XXème siècle.
Faudrait voir de se mettre à la page et de s’intéresser un peu aux grands évènements culturels de l’époque 🙂
« Dimensions freudiennes » c’est parce que poser votre blog sous le label épicerie de pépé et mémé, ça veut dire que vous avez eu la tentative d’une renaissance en retournant au point zéro : vos origines.
Régression.
Ca fait parti de votre quête identitaire de vieux qui approchent de la mort (5O ans = mort dans le cerveau vu qu’avant on mourrait plus jeune, notre cerveau considère encore que la mort approche à ces âges là).
Mais, oui c’est pas freudien en fait (le journaliste s’est trompé), c’est plutôt lacanien comme délire.
Lacan s’est + penché sur la filiation grands-parents.
là où Freud est resté très « papa-maman ».
Freud, lui, aurait été intéressé par votre besoin de faire sauter la génération de vos parents pour arriver directement à celle des grands-parents comme point de retour identitaire.
Et il aurait écrit dans ses notes (que vous n’auriez jamais pu lire cause ça serait resté secret jusqu’à ce qu’il les fasse éditer pour gagner de la thune):
Guy B. rapport parents trop lourd à gérer donc régresse dans lien grand parents moins nocif et surtout moins anxiogène.
Pff je savais que j’aurais du être psy, c’est trop intéressant.
Comme tu viens de le voir sur le truiteur, j’ai une vision très personnelle du personal-branling.
Je ne me lance pas dans une grande explication, parce que c’est dimanche. (ça fait de toi un blogueur du dimanche, désastreux personal-branlinguement parlant)
PS: t’es sous wordpress, vires moi cette captcha et met askimet!
J’voudrais pas dire, mais Personnelle Branligne (oui c’est comme ça que je l’écrirais) m’a l’air un tantinet redondant avec une forte tendance au pléonasme teinté de tautologie.
Afin d’éviter cet écueil, je proposerai l’expression Branlette 2.0.
Dans les deux cas, je propose onanomarquage
Ou pourquoi pas « Pschrriiit ! », puisque c’est le bruit du fer rouge qui marque le cuir des bovins (sens original de « branding ») ?
Et pour les pseudonymes ?
L’impersonal branding ?
Mwarf !
Zgur
Bon c’est bon avec les branlettes et co…
Une fois ok, dix fois, ça devient lourd.
Vous pouvez pas changer de registre au niveau des com’ ?
Savoir se vendre c’est aussi important que de savoir se branler et les deux sont absolument nécessaires.
Vous avez quel âge ?
Parlez plutôt directement masturabation au lieu de vous cacher derrière des jeux de mots de gamins de 5 ans.
Parce que branli branlo sont en bateau, ça va cinq minutes mais vraiment là, dix com’ la dessus, c’est heavy.
Ah la potacherie française n’a pas de limite.
Vraiment d’actualité cette mention « renaître de ses cendres » 😉
C’est-à-dire qu’histoire de ne rien apporter au débat, moi je pose la bonne question concernant le premier commentaire, et les échanges qui ont suivi entre les deux « branleurs auto-administrés » (waouhhhh qu’est-ce que ça fait chic, écrit comme ça !) : qui est l’élève, qui est le maître ? attention MRY, tu vas te faire dépasser sur ta gauche, et oui, y avait encore une file que t’avais pas remarquée … 🙂
Pour satisfaire le sieur Badlove qui se verrait bien psychanalyste lacanien dans ses rêves les plus fous, voici un récapitulatif des expressions proposées ci-dessus :
Personal Branling
Branlette auto-administrée
Personnelle Branligne
Branlette 2.0
Onanomarquage
Pschrriiit !
Rien.
personal branding: « si matante.com en avait, on l’appelerait mononcle.com ».
personal branling: « tiens il pleut, RT svp »
variante: « lorsqu’un bocal ténébreux de social-spaghetting avoisine de timides fèves beurrées façon ramdam érotiquement correct, mélopée quasi-freudienne de namedropping et de jogging, l’épicerie vintage de cet onctueux journaliste deux point zéro symbolise le revival atypique de l’éditorialisme de quartier »
Moi j’ai rien à dire sur la branlette-machin-truc, mais j’avais envie de participer; alors voilà, c’est fait.
Ah si ! les cloches sonnent à tout va, ma femme va rentrer, je range la bouteille de Pineau…
Quand on regarde les blogs politiques de « gôche » mainstream où tout le monde y va de son jeu de mot débile de franchouillard moyen (sur sarko, sur ségo etc..), on se dit que la poésie est vraiment morte en France vu le niveau plus que lamentable et le degré zéro de subtilité et de raffinement.
Puis, on se tourne vers le rap 93 et on comprend que rien n’est vraiment mort dans la vie.
Tout se déplace simplement ailleurs. Encore et toujours. Pour vous, on ne peut que le constater : la messe est dite.
Amen.
Onan soit qui mal-y-pense.
alors vive le personal branling quand il est partagé avec l’auto-flagellation !
Le personal-branling c’est pour les marques de presse-tige.
Contentez-vous de la marque d’estime…
Afin d’étayer le sujet, Loïc Le Meur était à ma connaissance le premier à évoquer le personal branding, notamment dans cette vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=xxcUro4Ch0M&feature=player_embedded
Il y a de cela de nombreux mois (damnit j’aurais dû le noter quelque part) j’avais, non sans fierté, créer le terme d’égonanisme.
Peu sûre de ma capacité créatrice, j’avais rapidement taper ce mot sur google et à l’époque aucun résultat n’était apparu. Que j’étais fière. Las ! Cette belle époque est désormais révolu puisque je viens de voir sur le même google qu’un court-métrage portait désormais ce nom. Me voilà bien déçue…
Comme modeste contribution à l’édifice du Personal Branling je propose Bite Storming et Mickael Vendetta.
je savais que tu savais…
Je savais que tu savais que je savais…
Le petit épicier vient de s’auto-administrer un beau coup de pied au cul
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18 avril 2010 à 20h24
je savais que tu savais…
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Guy dit :
18 avril 2010 à 20h35
Je savais que tu savais que je savais…
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Mon dieu, c’est beau l’amour. Je verse ma larme snif.
Heu pardon, je voulais dire « l’amitié virile » bien sur. c’est beau l’amitié virile.
Je sors d’un époside de twiligh et ma cerveau a fourché »
Tiens je me demandais, les filles que mry met le jeudi, elles sont toutes majeures ?
Et si oui, elles posent pour le plaisir ou elles sont payées pour se foutre à poils et exciter les vieux croutons de 50 ans ?
Je veux dire c’est quand même pas des marylin qui crèvent de faim et qui trouvent ces jobs miteux pour survivre ?
Et carl de canadadry le vieux crouton, y’a combien de différence d’âge entre lui et ses proies sexuelles qu’il pêche sur le web gratos grâce à son txitter ?
20 ans ? >25 ans ?
Il ressemblait à quoi quand il avait 20 ans ?
ca pose beaucoup de questions toutes ces histoires avec les footballeurs.
Vous devriez lui poser ces questions chez lui.
Chez mry ? Impossible.
Il m’a interdit de séjour, lol.
Mais d’ailleurs, ça sert à rien.
Autant discuter avec un autruchon.
La tête dans le sable. Il censure tout ce qui dépasse. C’est pas dans sa nature le débat. D’ailleurs c’est pas pour rien qu’il est chez FM. lol. Le lieu du faux débat.
Marrant quand même qu’il semble tout à coup se réveiller sur les footballeurs et leurs gamines mineures au point d’écrire un article comme si c’était sa fille qui.
Lui qui passe son temps à jouer à Playboy avec des photos de fille qui ont à vu de seins entre 17 et 25 maximum.
.
En plus, on sait tous les liens entre la photo de charme, le porno et la prostitution.
Souvent les filles qui posent à poils, sont aussi les filles qu’on va retrouver dans les réseaux de prostitution.
C’est une chaine totalement raccordée.
Quant à se poser juste la question juridique du mineur ou pas mineur, ben c’est un peu limitant et immorale quelque part.
Pour dire à quel point ça peut-être immoral : c’est la seule question que se pose carl de canada quand il pèche une gamine sur son txitter.
Donc en fait c’est une vraie fausse question morale qui ne sert qu’à protéger le prédateur de toute attaque juridique.
Qu’un juge se pose la question, c’est normal c’est son job. Mais en tant que citoyen, je trouve vraiment qu’elle suffit pas.
Et encore moins quand on est une fille ou quand on a des filles dans son nid familiale.
Quand on est une fille, on sait très bien qu’il n’y a pas de différence psycho entre le moment où on a 17 ans et le moment où on a 20 ans.
Ces années là ne sont pas des années de maturité.
La maturité chez une fille peut commencer à arriver souvent vers 25-27 ans.
Et qu’un vieux mec de 40 ans ou 50 ans aille tourner autour d’une fille de 20 ans, ça révèle surtout un problème chez le mec.
Mais d’ailleurs c’est connu chez les filles : les vieux qui tournent autour des bb gamines sont de gros gros mauvais coup qui n’arrivent à rien avec des filles de leur âge.
Bref, ce sont les déchets d’une génération de filles. Et s’ils foncent sur les plus jeunes, c’est surtout pour éviter d’assumer cette réalité médiocre d’eux-même.
Les footballeurs ont encore la vingtaine… Eux. Contrairement à Mry & co.
Enfin les footballeurs… Je sais pas qui s’est fait chopper dans cette histoire, mais en général les footballeurs d’aujourd’hui dans l’équipe de France,
ils sont + souvent nés en 87.
Donc ils ont plutôt 23 ans.
Ce qui les rend assez proches des mineures qu’ils se sont fait. Niveau générationnel, y’a pas photo.
Ce sont pas des pauvres frustrés nés en 1965.
Ni 1961.
Comme on peut en croiser sur le net.
Très intéressante analyse générationnelle. La socio c’est votre truc en fait…
C’est pas de la socio, c’est juste du bon sens :
un mec de 40-50 ans qui se ballade avec une fille de 18-25 ans, ça fait juste gerber. Y’a comme qui dirait 20 ans d’écart qui posent problème.
Alors qu’un mec de 23 ans avec une fille de 17-18 ans, je me dis c’est encore jouable.
Prostitution ou pas.
Et je vois déjà venir les vieux pervers dans leur contre attaque, je précise donc :
je pensais déjà ça à 15-20-25 ans.
Quand je voyais les vieux venir s’agglutiner sur moi, j’étais plutôt du genre à leur cracher à la gueule. Et à les éjecter direct.
J’ai horreur de mettre papa dans mon lit.
Pourquoi faut-il que la plupart des discussions se barrent en… couilles, par ici ? Ca devient lourd à la longue. :/
Comme dirait Marie Bonaparte « je pratique avec persévérance l’onanisme personnel », donc opposer branling et freudisme est une erreur.
On pourrait même dire que l’onanisme a cessé de rendre sourd, quand Freud s’est mis à l’entendre.
http://anthropia.blogg.org
Autocongratulation
Et que se passe-t-il si [url=http://cequilfautdetruire.org/spip.php?article2214]le journaliste brande mou[/url]?
ah ben zut y prend pas les lien ou quoi?
http://cequilfautdetruire.org/spip.php?article2214
Belle brandette intellectuelle ! Intéressant, cet étiquetage, lorsque l’on traite d’un sujet sur lequel on donne son avis dans un espace réservé, cela se résume à une vitrine d’autopromotion, pardon my French, « personal branding », Guy devenu concept marketing (alors ça fait comment ?), valable au final pour tout blog, edito, j’ai même failli dire article, après tout ça se signe aussi, un article, j’élargirai à toute pensée écrite même, et par là, cela en fait des « personal branders » à travers l’Histoire… vil mercateur ! si j’ôrais su j’ôrais pas lu… :p
A propos, il est de ces instants où on souhaite moins la compagnie d’un commercial que celle d’un commerçant : j’ai franchi la porte de l’épicerie… C’est sympa L’installation. Fait chaud des couleurs, on n’y perd pas au change.
Finalement la brandette, c’est comme l’avion, l’important c’est de garder le manche !
@Cles de la Cité. Pardonnez moi, mais je n’ai pas bien compris votre propos…
Ah, m’en voilà d’autant plus confus alors ! :p
Mon message était un « deux en un » disposé sur l’un des rayons : – une réaction (épidermique) sur cette merveilleuse trouvaille vide, personal branding (comme si toute expression de nos jours ne peut être sans le sceau du marketing) ;
– et un compliment sur la tenue de la boutique dont je pousse les portes pour la première fois, même si j’en ai souvent regarder la vitrine, pour venir discuter avec le marchand 🙂
et j’en ai souvent regardé* aussi,
mais pas autant relu, à l’évidence
Bonjour,
Je signe la charte et j’avais Twitté ça (bien sûr sans avoir lu ce post) en septembre : http://twitter.com/#!/sebravut/status/25388185392
Je ne suis malheureusement pas la personne que tu recherche (l’inspirateur) mais je veux bien participer 🙂
Bonnes fêtes !
Sébastien