Je préfère prendre les devants…
Je préfère prendre les devants…
(…)
Demain la Journée de la Femme emportera tout sur son passage.
Et je me dois d’initier les plus jeunes d’entre nous.
Ceux qui ne savent pas.
Pas encore.
Alors, j’ai choisi la veille pour les former…
7 mars 1983 !
Hu hu hu !
Quel bonheur.
Merci☼
la comédienne de l’époque a quelque chose de l’excellente Armelle 🙂
j’avais cru lire « la vieille » 😉
Pour former les jeunes c’est de bon aloi !
Toujours un régal 🙂
Définition tirée du Littré:
« bougre
nm (bou-gr’)
1/ Nom de certains hérétiques que l’on assimilait aux albigeois.
2/ Celui qui se livre à la débauche contre nature : dénomination venue de ce que les haines populaires accusaient les hérétiques de désordres infâmes.
3/ Terme de mépris et d’injure, usité dans le langage populaire le plus trivial et le plus grossier. Dans ce sens, il a aussi le féminin bougresse : un vilain bougre, une méchante bougresse. « Le bougre avait juré de m’amuser six mois ; Il s’est trompé de deux…. » [La Fontaine, Poésies mêlées, CLVI]
4/ Jurement très grossier. Ah ! b…. je me suis fait mal. Dans ce sens, ce mot ne s’écrit jamais que par sa première lettre ; et, quand il s’écrit, il se prononce bé. « Les B, les F voltigeaient sur son bec ». [Gresset, Ver-Vert] »
Source: http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/bougre/7852
Du recul et de l’ autodérision ça fait toujours du bien
Charles,
Il existe également ce bon vieux TLF (dico en ligne)
C’est plus direct pour définir le mot bougre 🙂
http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=935913750;
Ce lien c’est mieux http://atilf.atilf.fr/
🙂 Oui mais voyez-vous Malbrouck, j’aime moins.
Charles.
Désolé de pousser la trivialité dans ses retranchements mais au Moyen âge, la bougrerie désignait bel et bien la pratique sodomite… et un bougre était, ni plus ni moins qu’un enc… Ha ben ça, j’y peux rien ! Ne tuez pas le messager.
Merci Guy.
Tu nous manques Pierre…
Courageux votre billet du Huff….http://www.huffingtonpost.fr/2013/02/27/guy-birenbaum_n_2829473.html?utm_hp_ref=france
Les gazouillis de Maitre Eolas sur twitter sur le m^me thème, sont tout aussi pertinents, bien trempés bien envoyés, et comme votre billet, oxigénantes.
Oui vive les pleurants!
Désormais je parlerais d' »Yves Thréard ce pleurard » pas uniquement parce que ça rime…
Charles.