C’était chez les Carpentier…
(…)
Le 10 juin 1978.
Comme je n’ai pas le temps pour plus, je trouve que c’est un beau cadeau.
C’était chez les Carpentier…
(…)
Le 10 juin 1978.
Comme je n’ai pas le temps pour plus, je trouve que c’est un beau cadeau.
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
gratcios
simply cool.
Merci !
En retour, un cadeau aussi :
http://www.youtube.com/watch?v=zQjZ00ram7s
Autres temps, autres moeurs, autre Georges, autres humeurs : http://youtu.be/YCA8cFCL9_w
(Si vous aussi, vous remuez la tête au rythme de cette musique tout en esquissant un sourire sur vos lèvres et en ressentant ce sentiment mêlé de honte et de plaisir, alors je vous dis : bienvenue au club !)
A chaque fois il s’agit de résister et d’éviter de dire que c’était la bonne époque, que tout semblait bien plus doux, que c’était mieux avant 😉
Le paradoxe très gênant pour un progressiste c’est d’avoir à regretter une époque où le réseau de diffusion si limité donnait le sentiment que tout le monde était branché en meme temps sur la meme chose : le sentiment d’appartenir à la meme famille, une culture commune bien partagée, au moins cette illusion là !
Il y a quelque chose d’absurde à vérifier comme la révolution technologique a désormais dilué jusqu’à la faire disparaitre cette sensation « du tous réunis, du tous ensemble » par l’avènement de l’hyperindividualisme…
On y rajoutera le sentiment que la production musicale était drôlement plus talentueuse 🙂
On y rajoutera aussi qu’il s’agit du temps de notre jeunesse et que la question du temps qui passe se précise !
Je ne sais pas ce qui relève de l’objectivité, de la subjectivité dans ce qu’on appelle communément « la nostalgie » !
C’est étrange et si complexe la nostalgie !
Superbe !