Ouaf…
(…)
Je suis un chien de l’émotion…
C’est écrit sur le site de RTL « Affaire Leonarda : les chiens de l’émotion sont lâchés » ; c’est Éric Zemmour qui le dit…
Donc Ouaf !
Ouaf…
(…)
Je suis un chien de l’émotion…
C’est écrit sur le site de RTL « Affaire Leonarda : les chiens de l’émotion sont lâchés » ; c’est Éric Zemmour qui le dit…
Donc Ouaf !
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
Mais quand va-t-on lui fermer son claque merde ? C’est pourtant pas difficile. Il suffit de pointer sa malhonnêteté intellectuelle. Comme, par exemple, lorsqu’il parle des dizaines de milliers de Roms qui envahissent les villes. Ou lorsqu’au regard des 13 000 immigrés clandestins expulsés par an il évoque les 100 000 arrestations d’étrangers. Comme s’il y avait 100 000 clandestins qui entraient en France chaque année (depuis le temps, les étrangers seraient aussi nombreux que les « souchiens »).
Déjà, il avait fait le coup avec son syllogisme boiteux à propos des noirs et des arabes en prison, laissant sous-entendre qu’il y aurait des populations (des « races » oserait-il) criminogènes qui infiltreraient notre peuple sain.
Honte à RTL de recruter de tels bas du front.
l’emotion a du chien que l’aigreur n’a point.
Tant que la police française ira chercher un enfant à l’école, quelle qu’en soit la raison, je continuerai à aboyer. Et si ça perdure, attention aux morsures. C’est indigne, indécent, inhumain, contraire à toutes nos valeurs.
« Il y a plus d’humanité dans l’œil d’un chien quand il remue la queue que dans la queue de Zemmour quand il remue la bouche » (détournement).
Cet immigré-là est un envahisseur qui a pris ses risques : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Omidyar
What’s My Name ?
http://www.dailymotion.com/video/xgk39_snoop-doggy-dogg-what-s-my-name_fun
« nourris logés aux frais de la république… »
de mieux en mieux il ferait un excellent 1ER ministsérable de la lepen…allez, les faibles profiter de la crise pour imposer étendre sur les tribunes, et sur les ondes vos idées noirs …si les uns utiliseraient le registre de l’émotion, mais que fait cet indigne individus sinon que d »émouvoir les bons les vrais francais qui en bavent… surfer, frapper, planter son verbe haineux, sur leurs difficultés à vivre et ou survivre, alors que ces vilains roms viennent se chauffer, manger et « voler » gratis sous la protection bienveillante de la république…s’ils est des chiens, ils y a aussi des catégories…
je suis un de ces chiens pétrit d’émotion, de ceux qu’on enverrait aboyer pour les roms, les gays, les minorités, les noyés…
il est une de ceux de ceux qui plantent les crocs si une main, un pied venait à frôler sa pitance…
Leo Ferre Je suis un Chien (magnifique)
http://www.youtube.com/watch?v=piPxjgHtG38
…NOUS SOMMES DES CHIENS et les chiens, quand ils sentent la
compagnie,
Ils se dérangent et on leur fout la paix
Nous voulons la Paix des Chiens
Nous sommes des chiens de » bonne volonté »
El nous ne sommes pas contre le fait qu´on laisse venir à nous
certaines chiennes
Puisqu´elles sont faites pour ça et pour nous
Nous aboyons avec des armes dans la gueule
Des armes blanches et noires comme des mots noirs et blancs
NOIRS COMME LA TERREUR QUE VOUS ASSUMEREZ
BLANCS COMME LA VIRGINITÉ QUE NOUS ASSUMONS
NOUS SOMMES DES CHIENS et les chiens, quand ils sentent la
compagnie,
II se dérangent, ils se décolliérisent
Et posent leur os comme on pose sa cigarette quand on a quelque
chose d´urgent à faire
Même et de préférence si l´urgence contient l´idée de vous foutre
sur la margoulette
Je n´écris pas comme de Gaulle ou comme Perse l
JE CAUSE et je GUEULE comme un chien
JE SUIS UN CHIEN
(superbe)
Vous vous placez du coté des »chiens de l’émotion », c’est plus confortable. On est toujours mieux du coté des gentils.
Votre engagement est majoritaire… dans le monde des médias.
Les besogneux, les petits, les sans grade, eux, semblent penser autrement. Mal, mais autrement.
Comme vous l’écrivez modestement dans le Huff, il vous faut continuer votre travail de »conviction et d’éducation » ainsi que »d’information ».
Conviction : un nombre conséquent de Français ont de mauvaises pensées, il faut les détromper. Mais d’ailleurs, pensent-ils réellement ?
Education : bien qu’adultes, ils sont sots, n’ont rien compris. Il faut donc les éduquer.
Information : il ne savent rien, ne lisent pas, n’ont pas d’yeux ni d’oreilles. Il est impératif de les informer de ce qu’est la réalité de la vie.
Cela me rappel les éléments de langage des politiques quand un projet de loi est contesté : »nous devons faire preuve de pédagogie ».
Traduction: ces ânes n’ont pas compris, il faut reformuler et ré-expliquer.
A aucun moment ils ne se disent qu’on a parfaitement compris mais qu’on n’est tout simplement pas d’accord.
Eh non vous n’avez pas compris sacha, as usual. Je m’adresse justement aux journalistes qui traitent le sujet, puisque la méthode que je préconise les concerne eux… Travailler, écouter, lire le programme, décortiquer les faux arguments, la démagogie, et ensuite informer, éduquer, convaincre quand eux-même auront cessé de se passionner pour les buzz en 140 signes. Comment faites-vous pour toujours tomber à côté Sacha ? C’est dommage…
Léonarda est comme Cahuzac: les yeux dans les yeux l’émotion est à son comble. Riches ou pauvres l’instinct de survie est le même dans une dictature de l’émotionnel. La fin justifie les moyens: les caméras permettent à chacun de manipuler la larme à l’oeil. Il y a peu une mère pleurait devant les caméras sa souffrance de la disparition de sa fille, des marches blanches à n’en plus finir, des reportages sur la vertu des parents, le beau-père avait pris la place du père biologique. Et puis quelques mois plus tard, la gêne, la honte, par la main de la mère et du beau-père l’enfant était morte. Une gouvernance dans l’immédiatité, où les lois s’adaptent à l’agenda des communicants, riche ou pauvre, les associations décident du sort des pauvres, selon les subventions.
Eric Zemmour repris par f.desouche pour sa chronique quelle consécration.
C’est pas à la portée de n’importe quel clampin que d’être cité sur ce blog de superfachos….
Papy voise ,ça c’était de l’émotion saine et virile.
De plus en plus ,je souhaiterais que des Zemour et autres, nous disent à quelle France si vertueuse ils se réfèrent.
Oups !
Trop prompt à m’indigner, j’ai peut être manqué la marche…
Je relirai tout ça a tête reposée.
Toutefois, »as usual » peut avantageusement être remplacé (!) par »comme toujours » voire pour les plus téméraires »comme d’hab ».
Angliciser ses écrits n’ajoute rien à son propos.
J’anglicise ce que je veux. Vous pouvez pas arrêter de faire la police de ce qui se fait ? Vous voulez un képi pour noël 😉 ?
Alors là ! Être qualifié par Guy Birenbaum de donneur de leçon est un honneur. Vous connaissez le dossier.
Mais rien sur le fond.
Ca sent bon, je passe à table.
A bientôt si vous m’y autorisez…
Et quoi de mieux pour susciter l´émotion que des références indécentes et extravagantes á la rafle du Vel d´ hiv. Il a pas tort.