Le 6 février 2013…
(…)
J’écrivais ceci sur le Huffington Post :
« Pour filer la métaphore guerrière, il n’y a, pour les français, qu’un ‘théâtre d’opération’ qui, à moyen terme (cinq ans, ce n’est pas du long terme), justifie qu’ils soutiennent ou sanctionnent un président : le ‘front’ du chômage.
La seule ‘guerre’ que le président Français doit ‘gagner’ se situe sur ce ‘terrain’ et sur nul autre.
Chômage, plans sociaux, fermetures d’usines et d’entreprises, mal-logement, pauvreté, précarité, misère même, pour certains, tels sont les seuls enjeux sur lesquels, à terme, le président sera jugé au terme de son mandat.
Nicolas Sarkozy doit encore se mordre les doigts de s’être engagé, en 2007, dans l’émission ‘A vous de juger’ sur France 2, à ramener à 5% le taux de chômage à la fin de son quinquennat. Il proposait même aux Français d’en ‘tirer les conséquences’ s’il finissait à 10%… Ils l’ont donc fait.
De la même façon, la promesse de François Hollande ‘d’inverser la courbe du chômage en un an’, avancée en septembre et confirmée le 31 décembre, est l’unique mesure sur laquelle le bilan du président sera jaugé.
Tout le reste, ce n’est que du papier…
Pour une fois que j’ai comme l’impression que je ne me suis pas planté, je ne vois pas pourquoi je n’aurais pas le droit de frimer 😉 !
Plus sérieusement, je voudrais comprendre comment des gars « costauds », intelligents, entourés, comme Sarkozy ou Hollande (et tant d’autres) peuvent prendre le risque de se « mettre dans la seringue » avec des promesses intenables, dans une société où la moindre phrase la plus débile est désormais archivée et ressortie à son auteur.
Si quelqu’un a la réponse, je suis preneur…
Je ne connais pas l’expression « se mettre dans la seringue ».
C’est une tradition qu’on fait perdurer, on ne sait pas pourquoi comme beaucoup de traditions. Pétain n’était que lieutenant que déjà on allait raser gratis, ou pas, selon le vote. Maintenant que les femmes ont le droit de vote, et que les hommes se font arracher les poils du torse à la cire, on devrait dire « demain on épile gratis ».
Je ne crois pas qu’on se mette à croire aux promesses de campagnes plus qu’avant parce qu’on archive mieux. Est-ce qu’on ressort si souvent aux journalistes leurs contradictions?
Si quelqu’un a compris la « séquence ». Là aussi, je suis preneur… http://emploi.blog.lemonde.fr/2013/11/28/le-chomage-a-recule-en-octobre/
nous avons eu la fin des sdf avec jospin et sarkozy .
Une seule réponse me vient à l esprit
http://www.youtube.com/watch?v=xYMgdW7-s9E
Et avec Lolo, on aurait eu des croissants chauds tous les matins
Quelle honte ces politiciens qui promettent des choses qu’ils sont vie incapables de réaliser. Sombres crétins, escrocs !