Légendez cette « une »…
(…)
À vous…
Tout a commencé avec une tribune de Gérard Miller publiée dans Le monde, titrée "Jamais autant de juifs français n'ont perdu à ce point leur boussole morale". Pour moi, rien n'allait dans cette expression "juifs français". Reprenant l'écrit fulgurant de mon regretté...
Gloire aux FTP-MOI !
Livres de feuilles, feuilles d’automne ou l’orange selon la femme
Femme lisant Un Suicide Français
L’automne,le temps de lire…
« I plan to finish the reading of « les mémoires de Sylvia Pinel » by 2017. »
Lectures jusqu’au bout de la Vie
Feuille à feuilles
Depuis que tout le monde avait découvert « Le suicide français » et « merci pour ce moment » en téléchargement sur piratebay, Mélanie s’emmerdait un peu dans sa librairie déserte. Mais, seule avec des écrivains vivants ou morts, elle avait le temps de lire.
Une feuille, des livres.
Des feuilles délivrent.
L’ivresse des sonnets
Bon, comment je vais me débarrasser de tous ces invendus Lahoud ?!
Merci pour ces moments
En parodiant W. Guthrie et sa formule fétiche gravée sur ses guitares …
« This Machine Kills Fascists »
Ça donne :
“Machines à éliminer les terroristes”
— chuut(e).
Légendes
Vivre pour lire ou lire pour vivre ?
Lire à côté de soi
Piles effacent…
Le dernier homo codex…
Bonne après-midi 🙂
annonce de sortie imminente de l’iphone 6 chez apple
Ou bien
Faire le guet du savoir…
(en référence à Nietzsche)
C’est pas pour moi, c’est pas porno ((c) Gogol 1er)
Au suivant !
Il manque deux avions en papier.
Tous ces livres qui enrichissent de leurs bonnes feuilles découvrent la Terre de tous ses arbres.
Mille milliards de nuances de grey
La recette pour réussir sa vie est page 52.
Lire et lire encore…
une vie sans marque page
Impassiblement surbooké
« Toujours en ligne »
Le book, nouvelle révolution technologique
« je me souviens avoir lu ça quelque part… »
les feuilles mortes se ramassent à la pelle, les souvenirs et les livres aussi
Nadine Morano est triste, et j’ai lu tous les livres. Je vais mettre les voiles.
Lisez
Et lisez
Élise et
Jusqu’à plus soir .
« Autumn leavres »
cette dernière feuille qui tombe, comme le témoin d’une époque deja révolue a la couleur de la robe de cette lectrice plongée dans un monde de livre qu’elle ne semble pas avoir envie de quitter.
On est bien
La lecture des publications scientifiques du Docteur Cambadélis amène toujours à se souvenir que plus c’est long plus c’est bon.
Propositions 😉
Aline est là…
La survoltée du Bookty
Do not disturb. Je fais un résumé à touiter ce soir
Un sacré volume !
La parole s’envole, l’écriture est de plomb
Une tablette ! Une tablette pour mon royaume !
Vivre bien entouré.
« Maman, t’as pas vu mon Kindle ? »
Le mur de la liberté ….
On lit souvent plus de tristesse dans les livres vivants que dans les feuilles mortes.
Des livres et moi … du mal
Over-bookée
Adieu Twitter,adieu !
« Maintenant qu’il n’y aura plus jamais d’électricité, j’ai bien fait de garder la bibliothèque de Maman et Papa. »
Promis, demain j’arrête et je fais ma déclaration de revenus. Manuel V. peut dormir tranquille.
seuls les mots empêchent les feuilles de tomber.
Comment se passer de lecture, tome 196.
Dès que j’ai achevé la lecture de l’intégrale des publications des Editions Privé, je me bâche et me mets en route pour faire le djihad, non sans m’arrêter au commissariat de la gare de l’Est pour témoigner de ma solidarité après l’agression par Madame Morano.
« Elles lisent, ou la vraie vie »
Rha, je n’arrive pas à retrouver l’exemplaire du dernier Birenbaum dédicacé par Zahia !
ah! le calendrier « des dieux du stade »
Ces murs libèrent et protègent….quelle enfermement plus émancipateur, philosophe que celui -ci…. et l’on se prend à rêver…
Shirley lit un ouvrage de couture en novembre.
Quel talent !
L’Amazone dans le saint des saints ou des siens.
La feuille d’automne, emportée par le vent…
Aude is reading
Free women
first page of the book
last leaf of the tree
winter is coming!
Enfin, le catalogue : http://www.fauxbooks.co.uk/faux-livres/faux-livres-anciens/
J’ai toujours affirmé que seul le hêtre convenait aux livres, lorsque l’auteur est la vie, une feuille vert-tendre point de l’empilement. Hélas, sa bibliothèque est fréquentée de peupliers et de marronniers.
Et maintenant, quelle couleur choisir pour ma robe?
Empire State booking…
les catalogues de Noël sont arrivés
Un Roman de Housse de Racket :
http://youtu.be/_q-TnJRk0Mk
Et Fleur se saisit d’un Modiano.
Ingvar « Billy » Kamprad, his life, his work … his furniture
Floraison littéraire
Bonheur, Sérénité,Liberté…
Alleï un ptit dernier et j’arrête…
Ouf, enfin un avec des images…
« Comment sauvegarder la forêt amazonienne ? », Tome 184.
Madame Fleur Pellerin lit.
La lecture, c’est le temps qui a passé autour de nous, sans nous.
La lecture emporte la dame, jaune, comme le vent la feuille, jaune. Arrachée, la dame/la feuille, loin de son arbre et ses racines.
Aventure, envolée, liberté, mais on est resté là, au même endroit. La feuille tombe sous sa branche ou pas très loin. Le livre nous a ramené à nous-même, puisqu’on a mis derrière les mots ce qu’on a été capable d’y mettre, on a reconstruit à partir de soi le récit qui nous entraine. Donc le livre ne nous a pas emporté plus loin que nos limites: on est retombé au pied de notre arbre.
Les paroles volent, les écrits restent.
Magistral Regis Debray hier sur france 2, et en cerise un bon nomment sur Marcel Duchamps et sa peinture
C’est si rare que cela vaut bien une incitation….
Albatros, magistral et convaincant plaçant le curseur au bon endroit. Elie Cohen devenait écoutable, c’est dire.
La liberté de Régis Debray nous rassure sur notre propre capacité à nous entreprendre.
»Soit, et les autres autres seront » est trop rarement fondé, jamais enraciné, en France.
Poisson, toujours un plaisir, peut-être ajouter, l’arbre a davantage de racines, un tronc plus épais, des branches plus enveloppantes
Exactement, Martin, à nous entreprendre, à nous investir, à nous aimer ( nous même, sans l’approbation), à se construire Sujet….
Mais suite à ce bon moment, je me dis qu’en dépit du fait que les hommes passent une période grise, ils faut ne pas oublier, qu’ils ont connu la Lumière; alors patiente, après l’obscurantisme que les marchés nous infligent, les Lumières forcément reviendront…parce-que, simplement mais irréductiblement, viscéralement Humain.
Notre censeur, notre ennemi, c’est l’immédiateté…
Alors, nous devinons, que le chemin est long, mais au fond ce qui nous fonde, c’est bien ce chemin….faisant.
Je ne crois qu’aux forces de l’Esprit de la Pensée.
Bonne journée Martin
« François Maspéro »